Le virus de Marburg en Angola. 


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http://permanent.nouvelobs.com/etranger/20050413.FAP7672.html?1503

LUANDA (AP) -- L'Angola menacé par le virus de Marburg. Environ 200 personnes ont déjà succombé à cette souche incurable dans ce pays d'Afrique équatoriale et, selon les experts qui cherchent à la contenir, il faudra des semaines pour déterminer si elle peut être éradiquée.
D'ores et déjà, ces spécialistes ont annoncé avoir recruté des chefs tribaux et un groupe de musiciens pour aider à informer les villageois qui cachent des membres de leurs familles infectés. Certains ont même attaqué des représentants d'organisations humanitaires envoyés sur place pour évaluer l'ampleur de la propagation de ce germe, de la même famille que le virus Ebola. Les symptômes des fièvres hémorragiques Marburg et Ebola sont d'ailleurs pratiquement impossibles à distinguer.
«Des familles entières sont mortes. C'est très traumatisant pour la population locale», reconnaît Monica de Castellarnau, coordinatrice des opérations d'urgence de Médecins sans frontières (MSF).
L'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui a déjà dépêché 50 experts, continue de soutenir ses équipes en envoyant d'autres spécialistes. MSF a aussi une présence importante sur place, et les Centres américains de prévention et de contrôle des maladies (CDC) ont envoyé des experts à Uige, dans le nord de l'Angola, une des zones particulièrement touchées.
En six semaines, 214 cas ont été signalés, ce qui constitue la plus forte éruption de ce virus à ce jour et au moins 194 en sont mortes.
Désormais, l'objectif est de détecter rapidement les infections, en isolant les personnes touchées, de former le personnel des hôpitaux locaux au contrôle des infections et à la meilleure façon de se débarrasser des dépouilles, qui peuvent répandre la maladie, explique l'OMS. Celle-ci a conseillé aux pays voisins de renforcer leur surveillance, certaines régions où le virus a été repéré étant proches des frontières. «Les prochaines semaines seront cruciales», selon le Dr Mike Ryan, spécialiste de ce virus à l'OMS.
Actuellement, des scientifiques de l'Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l'armée américaine effectuent des recherches pour savoir si une molécule prometteuse contre le virus Ebola pourrait aussi fonctionner contre le Marburg. Des tests ont été effectués sur des singes, mais selon le Dr Ryan, il faudra sans doute des mois avant qu'un médicament puisse être testé sur l'homme.
La fièvre hémorragique due au virus de Marburg est une maladie très rare qui provoque presque toujours une mort atroce. Le virus se propage par le contact des fluides corporels. Il est possible d'être infecté par le virus sans être malade mais une fois que la maladie s'est déclarée, les risques de mortalité sont supérieurs à 90%. La mort survient en moyenne neuf jours après les premiers symptômes. Il n'y a pour l'instant ni vaccin, ni traitement. AP

Évidemment l'ONU réclâme encore des fonds comme pour le Sumatra qui attent toujours.

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Si le virus Marburg se déclarait à Kinshasa

Le Potentiel (Kinshasa)

13 Avril 2005
Publié sur le web le 13 Avril 2005

DAVID TSHALA
Kinshasa

Un groupe de jeunes hommes revenaient hier du marché central. Après avoir manqué de bus au niveau du marché, ils ont décidé de longer l'avenue Bokasa avec espoir d'attraper un moyen de transport aux arrêts suivants.

Pour dissiper leur fatigue, ils échangeaient sur tout ce qui leur arrivait à l'esprit : football, musique, et des milliers de dollars gagnés en Angola, enfin déboucher sur le virus de Marburg qui sévit actuellement à Uige. Dans leur entretien, ils parlent de la contamination qui se fait par contact direct. Le sujet a intéressé bon nombre de personnes et chacun pouvait commenter à sa façon sur les dégâts que peut causer le dit virus dans une ville comme Kinshasa. C'est alors qu'un homme flirtant la cinquantaine, après s'être excusé pour se faire entendre, pose la question à la quelle il a lui même répondu parce qu'elle est restée quelques instants sans réponse : «Si le virus de Marburg se déclarait à Kinshasa, que feraient les usagers de transport en commun, les élèves à l'école, les étudiants à l'université, et les vendeurs au marchés dans cette ville où l'on se frotte au moindre déplacement ? » Personne n'a tenté de donner une quelconque réponse en dehors du souhait de ne plus voir cette épidémie traverser les frontières. A lui de répondre : « Il faudra fermer les écoles, les universités, se promener à pied si on ne veut pas être contaminé ».

Au regard de la population de la ville de Kinshasa, si ce virus se déclarait, il serait difficile de pouvoir assurer une surveillance de malades. A l'heure qu'il est, l'Etat doit prendre des mesures pour sécuriser toutes les frontières de la Rdc en vue d'épargner la population au pire.
Fin.

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Luc écrit:

- Les premières éruptions du virus datent de 1967, en Allemagne
et en ex-Yougoslavie. Elles étaient liées aux recherches en laboratoire sur
des singes verts africains importés d'Ouganda. De nombreux cas ont été
détectés en Afrique. (citation de l'art. ci-après).

Si c'était une maladie naturelle, elle aurait été connue en
Afrique d'une manière endémique avant cette date, depuis longtemps dirions
nous. Nous apprenons ainsi que le virus de Marburg a été développé dans un
laboratoire allemand au milieu des années 1960.

Est-ce le début de l'épidemie gigantestque qui depeuplera
l'Afrique. Le SIDA est certainement trop lent pour leur agenda.

Le génocide des Tutsi rwandais en 1994 a été précédé de
"mini"-génocide d'essai dans les 3 à 4 ans qui ont précédés. Ces essai ont
servi de laboratoire pour organiser le grand génocide de 1994. Ils ont
également permis de tester les réactions de résistance locales et
internationales dans le but de les anihiler. Il en va de même ici. Cette
information est un test de vérification de la propagande de contrôle mental
véhiculée par les mass média sur l'ensemble de la planète.

Aucune voie ne s'élève pour dénoncer ces manoeuvres criminelles,
le jour est proche ou une épidémie de ce genre tueras un pourcentage
important de la population africaine. Remarquez que nous y sommes peut-être
déjà (un tiers ou plus, les trois quart).

Luc.


Note de Nenki:
Après la menace d'une pandémie de la grippe aviaire, après l amenace de la gripppe asiatique type H2N2 expédié par erreur dans 2700 labos qui tiennent les gens dans la peur, voici qu'on nous annonce cette épidémie comme si on condamnait l'Angola. Le virus de Marburg, tout comme l'Ébola et le SIDA, est un virus créé en laboratoire à des fins de guerres biologiques. D'ailleurs
le livre du Dr. Len. Horowitz "La Guerre des Virus" en donne un bon aperçu. Le Dr Robert Strecker également.

Avec quelle son de trompette faudra-t-il éduquer les gens que l'Eugénisme a commencé il y a plus de 100 ans mais qu'il accélère à une vitesse effarante.