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ARMES SILENCIEUSES

POUR DES GUERRES SANS BRUIT

( pour un nouvel ordre mondial)

Les Illuminati sont un ordre secret connu depuis le 18�me si�cle dont un manifeste est apparu au grand jour au d�but du 19�me si�cle sous le nom de "  protocole des sages de ZIONS ". En 24 paragraphes, ce manifeste d�crit comment subjuguer et dominer le monde � l�aide d�un syst�me �conomique (pour la cr�ation d�un nouvel ordre mondial).

Etant donn� la difficult� qu�il y avait � maintenir le secret au niveau international, il fut d�cid� de mettre en place un groupe ext�rieur afin de coordonner et contr�ler les efforts internationaux et de prot�ger les secrets et les gouvernants de la curiosit� habituelle de la presse. Ce groupe, d�nomm� les Bilderbergergs, (du nom de l�h�tel o� s�est tenue leur r�union de constitution en 1952) a �volu� sous l�infiltration des Illuminati en un gouvernement mondial secret contr�lant �conomiquement toute la plan�te (les Nations Unies n��tant qu�une aimable plaisanterie internationale).

Un groupe priv� d��tude dont l�objectif est de travailler � construire une coop�ration politique et �conomique entre l�Europe de l�Ouest, l� Am�rique du nord et le Japon dans le cadre d�un nouvel ordre mondial a �t� constitu� en 1972 par D. Rockfeller et Zbigniew Brzezinski � l�aide de contacts avec les Bilderbergers. Il est constitu� d�une �lite de 300 d�cideurs importants dans le monde �conomique, politique et intellectuel, sur les 3 continents. Ce groupe se nomme la commission trilat�rale. Vous allez trouver dans la suite de ce document une des strat�gies �conomiques des Bilderbergers.
 

Note de William Cooper (ancien sous-officier des services secrets de la marine US): "  j�ai lu des documents top secret qui expliquaient que "  Armes silencieuses pour des guerres sans bruit " est une doctrine adopt�e par le comit� politique du groupe Bilderberg durant son premier meeting connu en 1954. Une copie trouv�e en 1969 �tait en possession des services de renseignement de la Marine U.S. "

Le document actuel est dat� de mai 1979 , et a �t� trouv� le 7 juillet 1986 dans une photocopieuse de marque IBM qui avait �t� achet�e � une salle des ventes.
 

Ce document r�dig� en am�ricain a �t� traduit en fran�ais en un document de 27 pages dont voici un r�sum�.

Les �l�ments de texte mis entre guillemets sont des extraits du document et les commentaires sont en italique.
 

Que veulent-ils ?

" Toute science est simplement un moyen orient� vers une fin. Le moyen c�est la connaissance, la fin, c�est le contr�le . Au-del� de tout cela, il reste un seul probl�me : qui doit �tre le b�n�ficiaire ? "

Leur but est le contr�le de l��conomie. Le moyen est la connaissance des m�canismes �conomiques.

 
Comment contr�ler l��conomie ?
 

a) Pour contr�ler, il faut pouvoir pr�dire et pour cela il faut un mod�le �conomique.

" L�objectif de la recherche �conomique telle qu�elle est [...], est l��tablissement d�une �conomie qui soit enti�rement pr�visible et manipulable. "

" On avait pressenti qu�avec des fondements math�matiques suffisants et des donn�es, il serait presque aussi facile de pr�dire et de contr�ler la tendance d�une �conomie, que de pr�dire et de contr�ler la trajectoire d�un projectile. Ainsi que cela a �t� prouv� par la suite, de plus, l��conomie a �t� transform�e en un missile guid� vers une cible. "

Le mod�le �conomique :

" Dans l��tude des syst�mes �nerg�tiques, il appara�t toujours 3 concepts �l�mentaires. Ce sont : l��nergie potentielle, l��nergie cin�tique et la dissipation de l��nergie. 3 contreparties essentiellement purement physique et id�alis�es appel�es " constituant passif " viennent en correspondance avec ces concepts. "

L��nergie �conomique est un concept analogue � celui d�autres types d��nergies : �nergie m�canique ou �lectrique. En physique, il est possible de traduire des probl�mes m�caniques en probl�mes �lectriques lorsque l�on a � traiter des ph�nom�nes m�caniques mettant en jeu uniquement des �l�ments associ�s aux 3 concepts fondamentaux �l�mentaires de l��nergie pr�c�demment cit�s. L��nergie �conomique peut elle aussi �tre traduite en termes de langage �lectronique par le m�me type de proc�d�s gr�ce � des �quivalences entre �nergie �lectrique et �conomique.

" Toute la th�orie math�matique d�velopp�e pour l��tude d�un syst�me �nerg�tique (par exemple, la m�canique, l��lectronique, etc.) peut �tre imm�diatement appliqu�e dans l��tude de n�importe quel syst�me �nerg�tique (par exemple, l��conomie). "

" Pour r�sumer tout ceci, on a d�couvert que l��conomie ob�issait aux m�mes lois que l��lectricit� et que toutes les th�ories math�matiques et pratiques, et que tout le savoir-faire informatique d�velopp� dans le champ de l��lectronique, pouvaient �tre appliqu�s imm�diatement � l��tude de l��conomie. La d�couverte ne fut pas d�clar�e au grand jour, et ses implications plus subtiles furent et sont toujours un secret gard� jalousement. Par exemple, le public ne sait pas que dans un mod�le �conomique, la vie humaine est mesur�e en dollars, et que l��tincelle �lectrique engendr�e lors de l�ouverture d�un interrupteur branch� sur un inducteur actif est math�matiquement �quivalente, dans le mod�le �conomique, au lancement d�une guerre.

Enfin, parce que les probl�mes d��conomie th�orique peuvent �tre traduits tr�s facilement en probl�me d��lectronique th�orique, les solutions �conomiques peuvent �tre obtenues par r�solution dans le domaine �lectronique puis par traduction inverse ; il s�en suit donc que seul un livre de traduction entre les 2 domaines et des d�finitions conceptuelles sont n�cessaires pour faire de l��conomie. Le reste peut �tre obtenu � partir des travaux classiques en math�matiques et en �lectronique. Ceci rend inutile la publication de livres sur l��conomie avanc�e et simplifie grandement la s�curit� du projet. "
 
voir appendice technique pour plus de d�tails

b) Une fois que le mod�le est d�fini il faut d�finir les param�tres qui permettront de faire fonctionner le mod�le.

" [...] la r�ponse [...] peut �tre pr�dite et manipul�e, et la soci�t� devient un animal bien domestiqu� avec ses r�nes sous le contr�le d�un syst�me de r�gulation informatique sophistiqu� : un syst�me de comptabilisation de l��nergie sociale.

Finalement, chaque �l�ment individuel de la structure passe sous le contr�le de l�ordinateur � travers la connaissance des pr�f�rences personnelles; une telle connaissance �tant garantie par l�association informatis�e des pr�f�rences de consommation (code universel sur les produits). Tout ceci identifie le consommateur (identifier via la liaison � travers une carte de cr�dit et plus tard, un " tatouage " corporel num�rique [...])"

De tr�s nombreux param�tres de mesure de la soci�t� sont d�finis parmi lesquels, entre autre : la surveillance du comportement des enfants � l��cole, l�analyse des standards de vie � travers la nourriture, l�habillement, l�habitation, les moyens de transport ; le trac� des habitudes d�achat � travers les relev�s de compte, les cartes de cr�dit; la constitution de profils de comportement � l�aide de factures de t�l�phone, d��lectricit�, les choix d�investissements et de d�penses , etc (il y a plusieurs dizaines de param�tres �num�r�s dans le document original).
 

c) Puis, il faut pouvoir mesurer ces param�tres ou bien essayer de r�duire leur influence si on ne peut les ma�triser.

Les personnes doivent entrer dans des cat�gories de moules et pour cela on les y incite en proposant des standards de soci�t�, des mod�les de comportement type : que devez-vous regarder � la t�l�vision, � quoi devez-vous vous int�resser, pour quels sports devez-vous vous passionner, que devez-vous approuver ou d�sapprouver, que devez-vous acheter et consommer, etc : les m�dias sont la pour nous proposer des r�ponses toutes faites � travers leur choix d�information et de divertissement et la publicit� sert " d�amplificateur �conomique " en incitant � acheter selon les standards propos�s. Les comportements sociaux sont dict�s par des st�r�otypes qui s�auto-entretiennent :

" Les m�dias, la publicit�, etc.. ont pour vocation de s�assurer que le futur p�re sera bien soumis � son �pouse d�ici � ce qu�il soit mari�. On lui apprend que soit il se conforme au moule social qui lui a �t� pr�par�, soit sa vie sexuelle sera entrav�e et la tendre compagnie sera r�duite � z�ro. On lui apprend � voir que les femmes demandent plus de s�curit� que de raison, et qu�elles demandent � ce que le comportement de l�homme soit honorable et �dict� par des principes. "
 

Quelques extraits de leur " table des strat�gies " : 

Faites ceci : 

pour obtenir cela :

Maintenir le public dans l�ignorance Moins d�organisation publique
Cr�er des pr�occupations Des d�fenses affaiblies
Attaquer l�unit� familiale Contr�ler l��ducation des jeunes
Encourager le conformisme social  Simplification des programmes informatiques
Affermir le consensus Des coefficients simples (dans les programmes informatiques)
Renforcer le contr�le des variables Des donn�es d�entr�e informatiques simples fournissant une plus grande pr�visibilit�
Maximiser le contr�le Un minimum de r�sistance au contr�le
Effondrement de la monnaie D�truire la confiance que les am�ricains ont les uns envers les autres

Quant aux cat�gories de personnes qui ne pourront pas rentrer dans les moules, soit par choix de non conformisme soit parce qu�elles sont exclues des syst�mes de consommation par manque de moyens financiers, elles doivent �tre ma�tris�es ou isol�es ; le but �tant de minimiser et m�me d��touffer leur impact dans les mod�les de comportement de la soci�t�.  

" Dans le but d�atteindre � une �conomie totalement pr�visible, les �l�ments des classes les moins �lev�es de la soci�t� doivent �tre sous contr�le total, [...] et on doit les mettre sous le joug d�un travail social sur le long terme d�s le tout jeune �ge, avant qu�ils aient l�opportunit� de se poser des questions sur la justesse de la situation. De fa�on � obtenir un tel r�sultat, les unit�s familiales des classes inf�rieures doivent �tre d�sint�gr�es par un processus de pr�occupation de plus en plus accaparent des parents.

La qualit� de l��ducation � donner � la classe inf�rieure doit �tre du genre le plus pauvre de telle sorte que le foss� d�ignorance s�parant la classe inf�rieure de la classe sup�rieure soit et reste insurmontable pour la classe inf�rieure. Avec un tel handicap initial, m�me les individus brillants des classes inf�rieures ont peu d�espoir de se sortir eux-m�mes de la situation de vie qu�on leur a impos�e. Cette forme d�esclavage est essentielle pour maintenir une certaine mesure d�ordre sociale de paix et de tranquillit� pour la classe sup�rieure dirigeante. "

" Un programme d�assistance sociale n�est rien d�autre qu�un syst�me de compensation et de cr�dit illimit� qui cr�e une industrie du capital fictive pour donner aux personnes improductives un toit sur leurs t�tes et de la nourriture dans leurs estomacs. Cela peut �tre utile cependant car les b�n�ficiaires de cette aide deviennent une propri�t� d��tat en retour des dons qui leur sont faits, une arm�e potentielle pour l��lite : " celui qui paie est celui qui donne le ton ". "
 

d) Enfin, il faut un outil efficace pour simuler l��conomie � partie de ces param�tres et en pr�voir le comportement : l�ordinateur.

"  L�ing�nierie sociale (l�analyse et l�automatisation d�une soci�t�) n�cessite la corr�lation d�une tr�s grande quantit� d�informations �conomiques changeant constamment (donn�es). C�est pourquoi un syst�me informatis� du traitement des donn�es � haut d�bit �tait n�cessaire pour calculer � l�avance l��volution de la soci�t� et pr�voir son arriv�e � la capitulation.

Les ordinateurs � relais �taient trop lents mais les ordinateurs �lectroniques invent�s par Presper Eckert et W.Mauchly permettaient d�atteindre le but fix�. "

" Puis, en, 1948, le transistor invent� par J.Bardeen, W.H.Brattain et W.Shockley a permis une grande expansion de l�activit� des ordinateurs gr�ce � la r�duction des surfaces et � la diminution des puissances �lectriques consomm�es.

Avec ces [...] inventions � leur disposition, ceux qui �taient en position de pouvoir ont tr�s nettement compris la possibilit� qu�ils avaient de contr�ler la totalit� du monde en appuyant uniquement sur un bouton. "

Les ordinateurs servent aussi bien dans la simulation du comportement �conomique d�une situation donn�e que dans l�analyse de la structure �conomique dans son ensemble � fin de pr�visions.

En reprenant une analogie extraite du document : les vibrations des diverses parties d�un avion peuvent s�ajouter et provoquer sa destruction par effet de r�sonnance. La constitution de la structure peut �tre connue en faisant des tests de choc de ses constituants et des enregistrements de ces tests, apr�s un traitement des donn�es recueillies.

" Pour utiliser cette m�thode des jeux de test en ing�nierie �conomique, les prix des produits sont secou�s (un produit de base est s�lectionn� comme le caf�, l�essence ou le sucre et un changement soudain est provoqu� sur le prix ou la disponibilit� du produit) et la r�action du consommateur public est contr�l�e. Les �chos r�sultant du choc �conomique sont interpr�t�s th�oriquement par des ordinateurs et la structure psycho-�conomique de l��conomie est alors mise � jour. "

 
Comment endormir le public face � l�attaque ?
 

" Le public en g�n�ral ne peut pas comprendre le fonctionnement de cette arme et ne peut donc pas croire qu�il est en train d��tre attaqu� et soumis par une arme. Le public peut ressentir instinctivement que quelque chose ne va pas, mais � cause de la technicit� inh�rente de l�arme silencieuse, il ne peut pas exprimer son sentiment de mani�re rationnelle. Par cons�quent, il ne sait pas comment appeler � l�aide et ne sait pas comment s�associer avec les autres pour se d�fendre contre cette arme. Lorsqu�une arme silencieuse est appliqu�e graduellement, le public s�adapte et s�ajuste � sa pr�sence et apprend � tol�rer l�empi�tement de cette arme sur son mode de vie, jusqu'� ce que la pression (psychologique � travers l��conomie) devienne trop forte, et alors il craque. "

Et pour s�assurer que le public n�aura pas l�occasion de se poser de questions sur le fonctionnement du syst�me �conomique, on l�occupe:

Comme dans toute approche d�un syst�me social, la stabilit� est obtenue par la compr�hension et la prise en compte de la nature humaine (permettant de d�finir les mod�les d�action et de r�action). L�impossibilit� de cette prise en compte peut �tre, et est g�n�ralement d�sastreuse. "

" L�exp�rience a prouv� que la m�thode la plus simple pour s�curiser une arme silencieuse et obtenir le contr�le du public, c�est de maintenir le public dans l�indiscipline et dans l�ignorance des principes fondamentaux des syst�mes d�une part, alors que d�autre part on les maintient dans la confusion et la d�sorganisation et on les distrait avec des sujets n�ayant aucune r�elle importance.

Ceci est obtenu :

En d�tournant les pens�es ; en sabotant ses activit�s mentales ; en fournissant un programme d��ducation public de basse qualit� dans les domaines des math�matiques ; de la logique, de la conception des syst�mes et de l��conomie ; enfin, en d�courageant la cr�ativit� technique. 

En faisant appel � ses �motions, en intensifiant son autoconfiance et ses faiblesses � travers des activit�s �motionnelles et physiques comme suivent :

         En provoquant des affrontements et des attaques �motionnelles incapables � travers des viols mentaux et �motionnels ; tout ceci pour l�utilisation d�un barrage constant de sexe, de violence et de guerre dans les m�dias (sp�cialement � la t�l�vision et dans les journaux).

         En lui fournissant ce qu�il d�sire en exc�s - " nourriture avari�e pour la pens�e " - et en le privant de ce dont il a r�ellement besoin.

         En r��crivant l�histoire et la loi, et en soumettant le public � des constructions anormales et ainsi en devenant capable de r�orienter sa pens�e vers des priorit�s ext�rieures enti�rement pr�fabriqu�es au lieu de ses besoins personnels.

         Ceci emp�che le public de d�couvrir ou m�me d�accorder de l�int�r�t � une technologie sociale automatique fond�e sur les armes silencieuses. La r�gle g�n�rale est qu�il y a du profit dans la confusion ; plus il y a de confusion, plus il y a de profit. Donc, la meilleure approche est de cr�er des probl�mes, puis de proposer les solutions � ces derniers. "

" RESUME POUR LA DIVERSION

Les m�dias : �carter l�attention du public adulte des v�ritables probl�mes sociaux mais captiver son attention par des sujets sans r�elle importance.
L��cole : maintenir le jeune public ignorant des vraies math�matiques, de la vraie �conomie, des vraies lois et de la v�ritable histoire.
L�amusement : maintenir l�amusement du public en dessous d�un niveau primaire.
Le travail : maintenir le public occup�, occup�, occup�, sans avoir le temps de penser du tout ; rel�gu� au rang d�animal de ferme. "

" Le comportement du public est soumis, d�s la naissance � la peur, la paresse, et la recherche de l�int�r�t personnel.
Un tel comportement permet de fonder l��tat providence comme une arme strat�gique utile contre ce public sordide. "

En application du principe  diviser pour r�gner :

" la cellule familiale doit �tre soigneusement d�sint�gr�e et l�on doit g�n�raliser et imposer l�galement la mise en place de l��ducation publique contr�l�e par l��tat, ainsi que les centres d�assistance publique sous la responsabilit� de l��tat ; tout ceci afin de pr�parer le jeune enfant � se d�tacher de son p�re et de sa m�re � un �ge de plus en plus pr�coce. La prise de drogue comportementale peut acc�l�rer cette transition pour l�enfant. "
 

Mais pourquoi contr�ler l��conomie ?
 

" Par exemple, il existe une relation quantitative mesurable entre le prix de l�essence et la probabilit� qu�une personne ressentirait un mal de t�te, ou bien aurait l�envie d�aller voir un film violent, ou de fumer une cigarette ou bien d�aller dans un bar boire une chope de bi�re.

Il est des plus int�ressant qu�en observant et en mesurant les sch�mas �conomiques par lesquels les gens essaient de fuir devant leurs probl�mes et de s��chapper de la r�alit� et par l�application de la th�orie math�matique [...], il est possible � des programmes informatiques de pr�voir la combinaison la plus probable d��v�nements que l�on pourrait fabriquer et qui apporteraient un contr�le complet et la soumission du public � travers la subversion d�une �conomie publique [...] "

" L�objectif de telles �tudes est d�acqu�rir le moyen de mettre l��conomie publique dans un �tat dont les mouvements sont pr�visibles ; et m�me de la mettre dans un �tat contr�l� de mouvement vers l�autodestruction qui convaincrait le public que certaines personnes d�nomm�es experts pourraient reprendre le contr�le du syst�me mon�taire et r�tablir la s�curit� pour tous (plut�t que la libert� et la justice). Lorsque les citoyens soumis sont rendus incapables de contr�ler leurs affaires financi�res, ils deviennent bien entendu totalement esclaves, et sont une source de travail bon march�. "

" [...]un gouvernement lorsqu�il fait fonctionner la planche � billet au-del� des limites du produit national brut s�engage dans un processus �conomique appel� inflation. Cette m�thode met une grande quantit� d�argent dans les mains du public, permet de contrebalancer la cupidit� du public, cr�e une fausse confiance en soi du public et, pendant quelques temps, maintient les fauves en cage.

Les gouvernements doivent finalement avoir recours � la guerre afin d��quilibrer les comptes parce que la guerre n�est, en dernier ressort, que l�acte de destruction du cr�diteur. Les politiciens sont des gens � succ�s pay�s publiquement qui l�gitiment le fait de tenir la conscience publique � l��cart des responsabilit�s et des tueries.

Si les gens prenaient r�ellement soin de leur prochain, ils contr�leraient leurs app�tits (avidit�, procr�ation, etc.) . "

" Puisque la majeur partie du grand public ne sait pas se contr�ler, il y a donc une seule alternative pour r�duire l�inductance �conomique du syst�me :

         Laisser la populace s�entre-tuer dans une guerre, ce qui aurait comme seul r�sultat une totale destruction de ce qui vit sur Terre.

         Prendre le contr�le du monde � travers l�utilisation d�une " arme silencieuse "  �conomique sous la forme d�une " guerre sans bruit " et ainsi r�duire l�industrie �conomique du monde jusqu'� un niveau acceptable � travers un processus d�esclavage bienveillant et de g�nocide.

La derni�re option a �t� retenue comme �tant de mani�re �vidente la meilleure. [...] Le public, en g�n�ral, refuse d�am�liorer sa mentalit� et sa foi dans son prochain. Le public est devenu un troupeau grandissant de barbare et pour ainsi dire une scorie sur la face de la Terre.

Le public ne se pr�occupe pas assez de science �conomique pour comprendre pourquoi il n�est pas capable d��viter les guerres en d�pit de la morale religieuse. Le refus, pour cause de religion ou pour cause d�autosatisfaction de traiter des probl�mes de la Terre, rend la solution au probl�me de la Terre incompr�hensible pour lui. C�est du ressort du petit nombre de ceux qui veulent r�ellement penser et survivre comme �tant les plus aptes � survivre, de r�soudre le probl�me pour eux-m�mes, parce qu�ils font partie du petit nombre de ceux qui cherchent r�ellement. "

  

Le document traduit complet est disponible ici en version Word95: Armesilencieuse.doc
Autre traduction sur le site "SytiNet" de ce document

Le document am�ricain original est disponible dans un livre de Mr William Cooper (� qui il a �t� communiqu�) intitul� " Behold a pale horse ".
Intitul�: " Behold a pale horse "
Editions : Light Technology Publishing
                P .O. Box 1495
                AZ 86336
                USA

Il est aussi possible de l'obtenir � lui seul avec les coordonn�es suivantes:
Intitul�: Silent Weapons For Quiet Wars (a programming and study in economic manipulation)
Editions: Cosmic Voyage Publications
              P.O. Box 1116
              McMinnville
              OR 97128
              USA

Quant � ceux qui sont int�ress�s par des compl�ments d�informations sur le groupe Bilderberger et les activit�s d�autres soci�t�s secr�tes, ils pourront se r�f�rer au m�me livre de Mr Cooper, ainsi qu� au " Livre Jaune n�5 " aux �ditions Felix, �crit par un collectif d'auteurs (qui remplace et compl�te le livre: " Les soci�t�s secr�tes " de Mr Jan van Helsing aux m�mes �ditions Felix). Des r�f�rences compl�tes sont disponibles dans la page intitul�e: Le Nouvel Ordre Mondial.

 


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