Vaccination, agression et désinformation

En Angleterre, Jerry Friedman poursuit son employeur suite à son
congédiement, parce qu'il ne veut pas se faire vacciner contre la
rougeole. Le végétarien évoque la discrimination religieuse pour
refuser le vaccin car il est préparé sur des embryons de poulets.

En effet, le vaccin contre la rougeole est cultivé sur des embryons de
poulets, tout comme celui de l'influenza (grippe) , de la fièvre jaune et les oreillons. Ces embryons se forment entièrement après 35 heures
d'incubation. On peut voir leur coeur battre dès le cinquième jour. Les
oiseaux proviennent d'immenses poulaillers contenant plus de l0 000
poules et près de 700 coqs. Pendant la période de production de ses
vaccins contre la grippe, une compagnie pharmaceutique consomme l60.000 oeufs par semaine.

Celui contre l'encéphalite japonaise est pour sa part cultivé dans des
cerveaux de souris et des sous-produits de l'abattoir se retrouvent
dans plusieurs étapes de fabrication des vaccin En plus d'être cultivés
sur des cellules animales ou humaines de foetus avortés, les vaccins
baignent dans du formaldehyde, du phenoxyethanol, du mercure, de
l'aluminium, de la gélatine, du serum bovin ou foetal de veau, de
l'albumine provenant de sang humain, de l'aspartame et des
antibiotiques.

Rien d'étonnant à ce que ces cocktails vaccinaux aient de multiples
effets secondaires: douleur au point d'injection, fièvre, courbatures,
douleurs articulaires, crises d'asthme ou d'eczéma,allergies, choc
anaphylactique, risque de mort subite du nourrison,autisme,méningite,
convulsions ,encéphalite, syndrome de Guillain-Barré, sclérose en
plaque, diabète, lupus, polyarthrite rhumatoïde et cancers divers.
L'utilisation de vaccins multiples potentialise les risques d'effets
secondaires de chaque vaccin et leurs interactions est une bombe à
retardement.

Ces sous-produits animaux dans les vaccins comportent un grand risque de contamination virale. Aucun laboratoire ne peut garantir l'asepsie des cellules animales servant à la culture vaccinale.

Celui contre la grippe, par exemple, en plus d'être préparé dans un
embryon animal peut contenir un virus de la leucémie propre au poulet ( leucose aviaire) et être transmis à l'humain vacciné. Il possède de
plus des éléments provenant du cochon car une enzyme tirée de l'estomac de l'animal sépare les cellules en laboratoire. Une découverte par des chercheurs suisses et rapportée dans le Washington Post (9 décembre 1995) fait état d'une enzyme, la "transcriptase renversée ", qui a contaminé des vaccins de la rougeole et des oreillons. Cette enzyme vient des embryons de poulet entrant dans la fabrication des vaccins.
Elle a aussi contaminé des vaccins contre la grippe et la fièvre jaune.
Cette enzyme est associée avec la présence de rétrovirus, une classe de virus qui peut modifier de façon permanente les gènes.

MERCURE

Le thimérosal, un sel composé d'éthylmercure et de thiosalicylate est
un agent de conservation, un additif pour prévenir la contamination
bactérienne et fongique (contient 49.6% de mercure ). Il fut introduit
dans les vaccins dans les années 30 mais, suite à de nombreuses études sur ses effets secondaires graves, on tend à fabriquer des vaccins n'en contenant plus . Cependant, au Canada, le thimérosol se retrouve encore dans nombre de vaccins dont ceux contre l'hépatite B, la méningite, la rougeole et l'influenza.

Ce dérivé mercuriel dans les vaccins est excessivement
allergène, cancérigène et toxique car injecté directement dans le sang. Il s'accumule dans le cerveau et affaiblit le système respiratoire,
digestif, nerveux et immunitaire. Selon Hugh Fudenberg md , un
immunogénéticien de renommée mondiale, un individu ayant recu 5 vaccins consécutifs contre la grippe, a l0 fois plus de chance d'avoir la
maladie d'Alzheimer's qu'un individu non vacciné.

Ce phénomène s'explique par le fait, entre autre, que le vaccin contient
du mercure ainsi que de l'aluminium et que son accumulation atteint les
fonctions cognitives du cerveau. Les chercheurs Markesbery's et Ehmanns ont démontré, par des autopsies sur des patients souffrant de la maladie d'Alzeimer's, que le cerveau de ces derniers contenait un taux plus élevé de mercure que ceux ne souffrant pas de la maladie. Cette accumulation de mercure dans les vaccins s'ajoute à celle contenue ailleurs, notamment dans les amalgames dentaires , l'alimentation et certains produits biologiques comme les gouttes ophtalmiques , nasales, les solutions pour lentilles ophtalmiques ou les immunoglobulines.

(Note de Nenki: je ne peux m'empêcher de rajouter que Santé Canada continue d'affirmer que les preuves des liens entre l'autisme et le thimérosal ne sont pas concluantes et que d'autres recherches devront être faites. Voir le lien suivant: "Les meilleurs données scientifiques dont nous disposons jusqu'à présent ont montré qu'aucun lien n'a été établi entre les vaccins contenant du thimérosal et l'autisme ni d'autres troubles du comportement. Des organismes internationaux tels que l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la U.S. Food and Drug Administration (U.S. FDA) et l'Institute of Medicine américain sont également de cet avis." Faut-il croire que les données qu'ils possèdent sont biaisées ? Ou bien que, tout comme la FDA et l'OMS, ils représente bien plus le consortium pharmaceutique que la population qu'ils se vantent de protéger. Et pourtant il existe 40,000 familles qui ne peuvent poursuivre les coupables de cette infâmie et doivent payer de leur poche pour trouver les preuves. Ces institutions n'ont jamais voulu accepter les résultats de ceux qui ont dénoncé les effets nicifs du thimérosal. Santé Canada continue de plus belle: " Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) s'est penché sur l'innocuité du thimérosal et a conclu que des preuves n'ont jamais été fournies pour étayer un effet néfaste allégué du thimérosal contenu dans les vaccins sur la santé. Néanmoins, par mesure de précaution, le CCNI, ainsi que d'autres organismes consultatifs internationaux, préconisent l'utilisation des vaccins ne contenant pas de thimérosal afin de réduire l'exposition inutile au mercure." Pourtant ils se contredisent en reconnaissant que l'exposition au mercure est pathologique. Et pourtant lisez-bien l'excuse débile d'une agence de santé publique pour refuser la preuve et sa contradiction vers la fin de sont affirmation: "Une étude publiée dans l'édition de février 2004 de la revue Molecular Psychiatry suggère que le thimérosal et plusieurs autres produits chimiques pourraient affecter le développement du système nerveux et mener à un risque accru de troubles neurologiques tels que l'autisme.

Santé Canada a examiné cette étude et considère que les données ne permettent pas de tirer cette conclusion. L'étude s'est penchée sur l'impact de faibles concentrations de thimérosal sur des cellules cancéreuses en culture de tissu. Puisque l'étude particulière a été effectuée sur une culture cellulaire, la signification des résultats n'est pas claire chez l'homme. De nombreux médicaments ont des effets en culture cellulaire, mais n'ont aucun effet lorsqu'ils sont administrés à des personnes. Nous savons que le mercure peut léser le cerveau si une quantité suffisante atteint les cellules cérébrales, mais l'étude n'a pas étudié la quantité de thimérosal dans les vaccins qui atteindrait véritablement les cellules cérébrales. " Non mais, combien peuvent-ils nous faire suer ces experts. Et pourquoi Santé Canada ne se préocupe pas elle-même d'étudier, de rechercher et trouver le taux de thimérosal qui atteindrait le cerveau ? Où va l'argent qu'on donne à cette saloperie d'Institution ? À voir à ce que personne ne manque de vaccins cet hiver? Et pour finir Santé Canada nous dit combien nous sommes dispensables: " Santé Canada encourage les Canadiens à se faire immuniser. Les avantages que présentent l'immunisation l'emportent sur les risques réels ou perçus." Cependant si une seule petite recherche infirme le contraire, alors on exibe et promulgue les résultats haut dans les airs et on s'en lave les mains. Santé Canada répond à la question: " Y a-t-il des études qui infirment tout lien entre le thimérosal et l'autisme?
Oui. En mai 2004, l'Institute of Medicine (IOM) a publié un rapport concluant que selon de nombreuses études épidémiologiques, le vaccin ROR et les vaccins contenant du thimérosal ne causent pas l'autisme. Le comité d'examen de la sécurité de l'immunisation (Immunization Safety Review Committee) de l'IOM a conclu que tout lien entre ces vaccins et l'autisme est théorique et que les causes de l'autisme demeurent inconnues." Les avantages $$$ l'emporte sur les risques. Il faut être totalement inconscient pour penser comme tel. Pas si vous êtes les parents d'un enfant autiste ou qui souffre du syndrôme du déficit d'attention hyperactif.
"En effet, les chercheurs du CDC et du projet VSD ont découvert une association statistiquement significative entre le thimérosal et certains troubles neurodéveloppementaux comme les retards de la parole ou du langage, les trouble d’hyperactivité et de déficit de l’attention, le bégaiement et les tics. Cependant, aucune relation formelle avec l’autisme n’a pu être établie." Donc la vente du Ritalin qui bat son plein chez les enfants atteint de ce syndrôme "nouveau" pourrait être dûe aux suites de la vaccination contenant du thimérosal. Voyez-vous que nous sommes rendus très loin déjà. Et les regroupements de l'autisme se débate comme des bons avec des statististiques réelles: "À l’origine, les chercheurs mettaient sérieusement en doute le fait que des variations dans les concentrations de thimérosal contenus dans les vaccins pouvaient avoir une influence sur le taux d’incidence des troubles neurodéveloppementaux apparaissant après les immunisations de l’enfance.
Cette étude, qui s’appuie sur les effets de plusieurs dizaines de millions de doses de vaccins administrées aux États-Unis, présente la première preuve épidémiologique d’un lien entre des taux croissants de thimérosal en provenance des vaccins et les troubles neurodéveloppementaux."
Combien de millions d'enfants à travers le monde souffre du déficit d'attention, autant en Europe qu'en Amérique ? L'autisme a augmenté de 150%. Assez approprié !

Mais pas assez pour Santé Canada qui nous refile dans un aure de ses communiqués sur les amalgames dentaire et le thimérosal (qui contiennent du mercure à la question 31-32: "Q31. Si le patient peut choisir entre un vaccin contenant du mercure et un vaccin qui n'en contient pas, lequel est préférable?
Il est préférable de choisir les vaccins qui ne contiennent pas de mercure, dans la mesure du possible, quand ils sont aussi efficaces que les vaccins qui en contiennent. Il est recommandé de consulter son médecin et de suivre ses conseils. Il est surtout important que les parents ne négligent pas d'immuniser leurs enfants. À l'heure actuelle, le seul vaccin contenant du thimérosal administré d'office aux enfants selon le calendrier de vaccination de certaines provinces ou territoires du Canada est le vaccin contre l'hépatite B (voir http://www.hc-sc.gc.ca/pphb-dgspsp/
publicat/ccdr-rmtc/02vol28/rm2809fa.html

http://www.hc-sc.gc.ca/pphb-dgspsp/publicat
/ccdr-rmtc/03vol29/acs-dcc-1/index_f.html).

Q32. Pourquoi le gouvernement fédéral ne recommande-t-il pas l'élimination des vaccins à base de thimérosal s'ils présentent un risque?
Le gouvernement fédéral ainsi que les fabricants de vaccins se préoccupent constamment de rendre les vaccins plus efficaces et plus sécuritaires. Toutefois, les décisions doivent être fondées sur l'évaluation des risques et des avantages rattachés à chaque vaccin. Dans certains cas, les solutions de rechange sans mercure ne sont pas disponibles ou se révèlent moins efficaces que les préparations à base de thimérosal. L'absence de vaccin exposerait les enfants à la maladie. Étant donné que les vaccins à base de thimérosal contiennent uniquement des niveaux infimes de mercure, les avantages du vaccin compensent grandement les risques minimes que présente le thimérosal."
Toujours les avantage$ sur les risques. Que sommes-nous ? Des cochon d'Indes dont on peut disposer à sa guise ? Et pourtant les risques des vaccins sont bien plus importants que les bénéfices. 68% de la population du Québec a refusé la vaccination cette année, et cela ils ne l'ont pas dit. Et ceux qui ont eu la grippe s'étaient fait vacciner. Ça non plus ils ne le disent pas. Et pendant ce temps, ils nous vendent à bon prix des milliers de doses de leurs produits infectes. Il est grand temps de réveiller les gens si vous l'êtes déjà.
Même des médecins qui préconisent la vaccinations sont contre le thimérosal.
Alors Santé Canada, quand sortirez-vous ce poison néfaste pour les jeunes enfants de ce pays de vos étagères ? Pour qui travaillez-vous ? Avec quelle argent payez-vous vos bureaux et vos salaires ? N'attendez pas que le bon peuple vous mettent à votre place, c'est-à-dire, chez vous dans votre cuisine à chercher un autre emploi. Des médecins commencent à joindre les rangs. Le mensonge de la vaccination ne fait que commencer à être exposé. Fin de la note de Nenki.)

ALUMINIUM

Selon le concept vaccinal, l'aluminium sert d'adjuvant de l'immunité,
en créant une réaction inflammatoire qui augmente la réaction
antigène-anticorps. Il entre dans la composition de la majorité des
vaccins. On estime qu'un enfant , par les vaccins, reçoit jusqu'à 3.75
mg d'aluminium durant les premiers six mois de sa vie. La forte toxicité de l'aluminium est bien connue : troubles neurologiques et immunitaires. Sa présence dans les vaccins est de plus en plus souvent mise en relation avec l'augmentation des allergies dans le monde.
Plusieurs médicaments renferment de l'aluminium. L'aspirine enrobée a
44 mg d'aluminium tout comme certains antiacides; des médicaments
contre la diarrhée ont plus de 600 mg d'aluminium par comprimé.
(Note de Nenki: dans les retombées des chemtrails, on a retrouvé d'importante quantité d'aluminium et de baryum. On nous en pulvérise toutes les semaines).

GÉLATINE

Dans un grand nombre de vaccins la gélatine a une fonction de
stabilisateur . C'est un produit fabriqué à partir de débris d'abattoir
tels que les cartilages, la peau et les os d'animaux . Prélevé sur des
bovins ou des cochons mais aussi sur des moutons (en Australie ). En
Europe, la contamination de la gélatine par l'encéphalopathie
spongiforme bovine (ESB) est évoquée et l'utilisation d'os en
provenance de pays où un grand nombre de cas d'ESB a été signalé -
comme le Royaume Uni et le Portugal - fut récemment interdite. La
gélatine dans les vaccins est fortement allergène.

SERUM BOVIN

En octobre 2000, le Département de la Santé de Grande-Bretagne
retirait du marché un vaccin polio oral cultivé sur du serum foetal de
veau suspecté d'être infecté par le prion de la maladie ESB ou maladie
de la vache folle . Le vaccin donné à 11.5 millions d'enfants et
d'adultes durant les deux dernières décennies a été préparé avec du
serum provenant de vaches anglaises peut-être contaminées. Au Canada , du serum bovin est présent dans le vaccin antipoliomyélitique, ainsi que dans celui contre la rage, la varicelle et l'hépatite A. Lié à
l'élevage intensif et à l'horreur des abattoirs, le sérum bovin peut
lui aussi être l'hôte de virus qui, lorsqu'ils entrent dans l'organisme
humain ,deviennent mutagènes. Le virus de la leucémie bovine (VLB)
existe de façon endémique dans les troupeaux américains tout comme un virus génétiquement proche du H.I.V impliqué dans le Sida humain . Ces virus peuvent se transmettent aux humains et provoquer des leucémies.

Le dr. Ryo Harasawa de l'Université de Tokyo au Japon, le dr. Massimo Giangaspero de l'Université de Milan en Italie ainsi que nombre de
leurs collègues d'Allemagne et de Belgique ont détecté le virus de la
diarrhée bovine dans plusieurs vaccins - rubéole, influenza, rougeole,
oreillons - produits en Europe, aux Etats-Unis et au Japon.

Le serum bovin est utilisé dans plusieurs étapes de la culture
cellulaire en laboratoire. Dans le vaccin BCG , le bacille tuberculeux
provient du bovin.

MALADIES ET VACCINS

Les effets secondaires graves à court et à long terme des vaccins
existent mais demeurent délibérément occultés puisque la désinformation est bien orchestrée . Tous les vaccins, sans exception, ont des effets secondaires négatifs et les monographies fournit par les laboratoires pharmaceutiques les décrivent très bien. Cependant, après leur description, les fabricants émettent souvent la directive : "aucun lien de causalité n'a pu cependant être établie entre ces réactions et la
vaccination".

Le vaccin grippal, répété chaque année et donné massivement aux
personnes âgées , peut entraîner des réactions de type allergique comme l'urticaire, l'angio-odeme, l'asthme allergique , des maladies
neurologiques notamment la paralysie faciale, l'encéphalite,
l'encéphalopathie, des troubles de démyélination , la labyrinthite et
le syndrome de Guillain-Barré.

Le vaccin de l'hépatite B pourrait être à l'origine, chez l'adulte, d'une augmentation de troubles neurologiques conduisant à la sclérose en plaques, une maladie grave et invalidante . En France, plus de 300
cas de démyélinisations aiguës imputables au vaccin ont été recensés ,
parmi eux un petit nombre d'adolescents. (Le vaccin lèse la myéline, la
gaine des nerfs et cette dégénérescence est le premier symptôme de la
sclérose en plaques)

Un nombre impressionnant d'articles publiés dans des revues
scientifiques font état de sévères complications auto-immunes et
neurologiques suite à une vaccination contre l'hépatite B: nausées,
vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations
cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de
Guillain-Barré, névrite optique, conjonctivite, troubles de la vision .
Aussi des cas d'arthrite , de rhumatisme, de problèmes de foie,
d'asthme et même des décès. Le Pr. Barthelow Classen, connu pour ses travaux sur le diabète de type l, croit qu'il existe un lien entre la
vaccination, paticulièrement celui de l' hépatite B et le diabète
insulino-dépendant. Dans le New Zealand Medical Journal (mai 1996) il
constatait une augmentation de 60% de diabète juvénile après une
campagne de vaccination massive contre l'hépatite B entre 1988 et 1991.

Le vaccin de l'hépatite B n'est pas le seul en cause dans cette
relation diabète - vaccination. Classen a aussi découvert que l'incidence du diabète en Finlande était stable chez les enfants en bas de 4 ans jusqu'à ce que le gouvernement fasse des changements dans le calendrier vaccinal des enfants.En 1974, 130 000 enfants de 3 mois à 4 ans furent vaccinés contre l'hépatite B et la méningite (de type C).
Puis on leur injecta le vaccin contre la coqueluche . Dans les années
qui suivirent, il y eut une augmentation de 64% de cas de diabète de
type 1 chez les enfants vaccinés.

Le vaccin contre la coqueluche /acellulaire (donné en même temps que
ceux de la diphtérie et du tétanos aux enfants) aurait aussi un lien
avec le diabète. Ce vaccin contient une toxine sécrétée par un microbe
le Bordetella pertussis , une toxine décrite par certains comme un
"poison virulent" et ayant un effet désastreux sur le pancréas.

Il peut mener aussi à l'hypoglycémie: deux chercheurs allemands,
Hennessen et Quast trouvèrent ,en 1979, que sur 149 enfants ayant eu ce vaccin, 59 d'entre eux avaient développé des symptômes de
l'hypoglycémie. Des cas de diabète juvénile sont survenus aussi après
des vaccinations contre les oreillons et la rubéole.

Le DCaT(diphtérie, coqueluche/acellulaire et tétanos) et sa relation
avec l'autisme s'affirme. Après la généralisation de ce vaccin et aussi
de ceux contre la rougeole et l'hépatite B, on note une augmentation de
l'autisme chez les enfants . Une étude menée par Ray Gallup constate
une augmentation de plus de 300% de cas d'autisme entre 1992 et 1997 dans vingt-cinq états américains. De nombreux spécialistes croient de plus en plus que l'affaiblissement du système immunitaire constitue réellement un syndrome chez les personnes autistes, un trouble neuro-immunologique. Plus d'un tiers des enfants atteints présente un nombre réduit de lymphocyte T CD4 et T CD8 , empêchant peut-être leur organisme de fabriquer les anticorps nécessaires pour combattre les virus provenant des vaccins.

Le DCaT peut déclencher des crises d'épilepsie , des méningites et
créer des encéphalites allergiques induisant à leur tour de l'autisme
et autres troubles du comportement. "Les parents d'enfants autistes
rapportent couramment des désordres immédiatement après l'inoculation avec le RRO (rougeole, rubéole et oreillons) et le DCaT" a déclaré le Dr. Vijendra Singh, professeur d'immunologie.Ce dernier a publié dans le Clinical Immunology and Immunopathology (1998) une étude sur des enfants autistes qui mettait en évidence qu'une exposition au virus de la rougeole pouvait déclencher une réponse auto-immune interférant avec le développement de la myéline. On note la présence persistante du virus de la rougeole dans l'intestin des personnes autistes. Le Dr. Andrew Wakefield, directeur d'un groupe de recherche au Royal Free Hospital de l'Ecole de médecine de Londres a publié dans le Lancet (février 1998) une étude sur huit enfants qui furent atteints de graves affections intestinales puis devinrent autistes tout de suite après la vaccination RRO.

Le vaccin contre la rubéole peut mener à l'arthrite rhumatoïde. Des
recherches indiquent que 41% des femmes vaccinées ont développé des douleurs articulaires, 9% une arthrite transitoire et 5% une arthrite
chronique.

MÉNINGITE

La méningite bactérienne est provoquée, selon la médecine scientifique, par 3 germes: les méningocoques, les pneumocoques ( surtout responsables des pneumonies) et les H. Influenzae (type B/ Hib) .
Récemment au Québec, de nombreux cas de méningites ont fait leur
apparition . L'affaiblissement du système immunitaire des enfants qui
reçoivent des doses répétés de vaccins depuis leur naissance n'est
sûrement pas étrangère à ce fait.

Le vaccin contre le méningocoque groupes A,C Y et W-l13 combinés
comporte des effets secondaires tels que céphalées, malaises ,frissons
et fièvre. Le vaccin pneumococcique peut provoquer un érythème et une induration au point d'injection, de la fièvre, des céphalées, un
malaise général, des réactions de type allergique comme l'urticaire, l'odème angioneurotique ou une anaphylaxie ainsi que vasculite, éruption cutanée généralisée, arthrite, myalgie et divers troubles neurologiques y compris le syndrome de Guillain -Barré. Celui de l'Haemophilus influenzae (type B/Hib) donné aux bébés de deux mois
peut induire des crises convulsives , douleurs au point d'injection, irritabilité, somnolence, diarrhée, vomissement, otite, éruption cutanée et infection des voies respiratoires supérieures.

En septembre 2000, le journal Observer de Londres, suite à la découverte de documents secrets, faisait état de la mort de 11 personnes suite à une récente vaccination massive contre la méningite
de type C. Le vaccin causa l6 500 réactions négatives et quand on sait
que seulement de l0 à l5% de ces réactions sont rapportés au Ministère de la Santé ,le nombre d'effets secondaires et de morts est fatalement
beaucoup plus élevé. Deux des morts déclarés succombèrent à une
"septicémie méningoccal", une infection du sang lié à la méningite. Le
vaccin au lieu de protéger, leur donna plutôt la méningite. Plus de l3
millions de bébés, d'enfants et d'adultes ont reçu le vaccin, en Angleterre, durant l'année 1999/2000. On soupçonne même le fabricant du vaccin d'avoir délibérément caché les effets secondaires au grand
public et ce avec la complicité de fonctionnaires gouvernementaux
responsables de la campagne de vaccination. Deux de ces fonctionnaires faisaient partie du conseil d'administration du laboratoire
pharmaceutique fabricant le vaccin.

DÉSINFORMATION.

Il y a quelques mois une session d'information pour les parents sur le
thème "Pourquoi faire vacciner vos enfants?" se tenaient à l'hôpital
Sainte-Justine de Montréal . Elle était présidée par deux pédiatres
dont le Dr. Jean-Francois Chicoine et commanditée par la compagnie
pharmaceutique Merck Frosst, fabricant de vaccins. Histoire de
culpabiliser au maximum les parents , le pédiatre Chicoine déclarait
"c'est une grosse responsabilité sociale. On va aussi se faire vacciner
pour les autres".

Pourtant, si la vaccination de masse protège et est aussi efficace
contre les maladies, comme on veut nous le faire croire, pourquoi avoir
peur des non-vaccinés ? Les vaccinés transportant les virus restent
bien plus une menace pour les non-vaccinés - comme c'est le cas pour le vaccin contre la polio - que le contraire.

Malgré d'innombrables études scientifiques de spécialistes en
allergie, en immunologie, en neurologie ainsi qu'en biochimie sur les
dangers des vaccins, des pédiatres continuent d'affirmer que la
vaccination n'affaiblit pas le système immunitaire , que les risques
demeurent mineurs et que la malnutrition ou l'hygiène n'ont rien à voir
avec la prévention des maladies.

S'agit-il de mauvaise foi chronique ou d'une triste connivence avec les
laboratoires pharmaceutiques ?

Heureusement, de plus en plus de médecins intelligents dénoncent ce
dogme vaccinal et osent le remettre en question. Nombreux à nous dire
que toutes ces maladies contre lesquelles les enfants sont vaccinés
étaient déjà en voie de disparition avant l'administration des vaccins.
Plus grave encore, malgré qu'ils aient été entièrement immunisés, des
enfants souffrent tout de même de la maladie. Et que tous les vaccins
affectent gravement notre système immunitaire , qu'ils possèdent une
dangerosité certaine ouvrant la porte à diverses maladies.

Au Japon par exemple, l'incidence de mort subite du nourrisson a chuté
de façon drastique dès qu'on a cessé de donner des vaccins aux enfants de moins de deux ans.

La Suède, en 1979, a banni le vaccin contre la coqueluche (pertussis)
après la découverte que la maladie frappait des enfants vaccinés et
qu'il provoquait des désordres neurologiques . Malgré que les enfants
suédois ne soient plus vaccinés contre la coqueluche , le taux de
mortalité par coqueluche n'est pas plus grand en Suède que dans les
populations vaccinés de d'autres pays. Aux Etats-Unis, selon Susan
Ellenberg PhD, directrice de la "Division of Biostatictics and Epidimiology of FDA" ,en 1997 , 43 enfants en bas de 2 ans succombèrent à l'hépatite B., suite à la vaccination.

IMMUNITÉ NATURELLE

Les enfants québécois reçoivent dès l'âge de 2 mois toute une série de
vaccins et de rappels échelonnés sur quelques mois , plus de 18
bouillies chimiques. On vaccine systématiquement contre des maladies
rares comme le tétanos, la diphtérie ou l'hépatite B des bébés qui ont
autant de chance de les attraper que de gagner à la loterie. Si l'on
part à l'étranger, on nous recommande les vaccins de la méningite, de
la rage, de l'encéphalite japonaise, de la fièvre jaune, du tétanos, de
la typhoïde, trois rappels d'hépatite A , B et un petit dépistage de la
tuberculose. De quoi vous rendre malade avant même de mettre le gros orteil dans l'avion.

Au Québec, aucun vaccin n'est obligatoire . Tout individu peut refuser
un vaccin et l'obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l'article 1 de la Charte québécoise et à l'article 7 de la Charte canadienne . Lors d'un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d'une "épidémie" de rougeole, les parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l'école jusqu'à ce que se résorbe la dite "épidémie".

Aucun vaccin n'est obligatoire pour voyager à l'étranger, excepté celui de la fièvre jaune que certains pays - d'Afrique ou d'Amérique du Sud - peuvent demander si vous venez d'une zone d'endémie. (Sept complications sévères, dont six décès, rapportées après la vaccination contre la fièvre jaune dans la revue médicale britannique The Lancet - juillet 2001 - soulèvent des questions sur la sécurité du vaccin. Au Brésil, une fillette de 5 ans frappée d'une fièvre, de maux de tête, de
malaises et de vomissements 3 jours après avoir reçu le vaccin
anti-fièvre jaune et le vaccin combiné rougeole,oreillons, rubéole est
morte cinq jours après l'innoculation. Le Dr. Michael Martin et ses
collègues du Centre américain de contrôle des maladies (CDC, Atlanta)
rapportent des complicaitons post-vaccinales ayant affecté quatre
touristes américains qui ont entraîné trois décès en 1996 et 1998. Ils
suggèrent une relation causale possible avec le vaccins et conseillent
de vérifier si les voyageurs se rendent vraiment en zone infestée et de
prendre des précautions avant de recommander le vaccin.)

Continuer à vacciner des bébés avec des substances hautement
cancérigènes, mutagènes et allergènes et dont le système immunitaire
n'est pas encore vraiment développé est consternant. Le système
immunitaire ne devient à peu près mature que vers 6-7 ans , continuant
d'évoluer jusqu'à l'âge adulte. La complexité de nos mécanismes
naturels de défense ridiculise toutes les théories sur la vaccination
et elles font partie d'une conception dépassée et erronée de la santé.
Notre système immunitaire n'a absolument pas besoin de produits
artificiels et chimiques pour se bâtir une immunité. Comment peut-on
faire croire à la population qu'un mélange de cadavre d'animal malade,
de virus ,de substances toxiques, augmente notre immunité contre les
maladies, que cette terrible agression de notre intégrité nous donnera
la santé?

Une alimentation saine, une bonne hygiène, entretiennent nos défenses naturelles. Par prévention ou lors de maladies infectieuses de multiples voies naturelles peuvent être envisagées - comme l'homéopathie, l'acupuncture, les plantes médicinales, des cataplasmes d'argile, des apports de vitamines C, A , de zinc, le repos, les messages , les bains tièdes contre la fièvre, une bonne hydratation, le jeûne, etc. Ces thérapies pourront aussi drainer de notre organisme les toxines et poisons de ces trop nombreux vaccins que nous avons reçu depuis l'enfance .Autre fait important, les enfants non-vaccinés, ayant
un meilleur système immunitaire, traverseront l'enfance sans parfois
jamais souffrir d'aucune maladie infectieuse. (Selon l'expérience
personnelle de l'auteure de ces lignes, mon fils maintenant âgé de 24
ans , n'a reçu aucun vaccin et n'a jamais contracté aucune maladie
infectieuse de l'enfance, que ce soit la rougeole, la rubéole, la
coqueluche ou autre; nous avons faits aussi plusieurs voyages en Inde
et au Népal , sans vaccins et sans maladies).

Pour être vraiment en santé, il faut avant tout ne pas céder à la peur.

Même en n'ayant aucune formation scientifique, nous serons , en tant
que parents, voyageurs ou suite aux pressions des médecins et du lobby des multinationales pharmaceutiques, de plus en plus confrontés à nous interroger sur les vaccins. Car pour certains scientifiques, l'avenir appartient aux vaccins. Plus de 200 nouveaux vaccins sont actuellement expérimentés: cocktail de vaccins pris d'une seule dose, vaccin inoculé par voie intranasale ou d'autres génétiquement incorporés dans les fruits et les légumes.

Notre capital santé nous appartient et ne passe pas nécessairement par la dictature des laboratoires pharmaceutiques.