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Source de l'article:
http://www.organicconsumers.org/foodsafety/antibiotics112305.cfm
11/22/2005- Les antibiotiques
donnés au bétail peuvent terminer dans les légumes
et poser une menace pour la santé des consommateurs, selon
une étude concernant l'utilisation d'excréments
d'animaux comme engrais.
L'université de l'étude
du Minnesota s'ajoutera au niveau du souci public au sujet de
la nourriture à manger. Il sert également d'avertissement
aux producteurs de nourriture. Qu'ils doivent être vigilants
quant à l'approvisonnement de leurs légumes.
L'industrie de transformation
est sous la pression de la normalisation et du monde de la consommation
de s'assurer de la sûreté de leurs produits alimentaires.
Pannes régulières dans la sûreté de
la nourriture et les rapports sur la contamination ont ouvert
la conscience du consommateur au sujet du problème.
L'étude, publiée
au journal de la qualité environnementale, indique que
les fabricants devront faire attention quand à l'approvisonnement
de leurs légumes, peu importe qu'il soit non-organiques
ou biologiques. La menace de contamination est due aux lois des
USA permettant à des fermiers d'employer des excréments
d'animaux comme engrais dans l'agriculture conventionnelle et
biologique.
Dans l'étude, les chercheurs
de l'université du Minnesota ont trouvé que le
maïs, le chou, et les échalottes ou oignons verts
ont absorbé la chlortétracycline provenant du purin
de porc à qui ont avait administré l'antibiotique.
La chlortétracycline est
un membre de la classe des antibiotiques de la tétracycline
qui sont employés dans la médecine humaine pour
traiter les infections respiratoire de la région supérieure
et d'autres maladies. Les tétracyclines et autres antibiotiques
sont également employés en tant qu'additifs dans
l'alimentation de la volaille, les porcs et les cheptels bovins.
Les additifs d'alimentation ne
sont pas employés pour traiter la maladie, mais pour favoriser
légèrement plus rapidement la croissance et pour
compenser les conditions anti-hygiéniques et la surabondance
d'animaux dans les fermes productrices à l'échelle
industrielle.
Quand les antibiotiques sont
ingérés par un humain ils peuvent stimuler les
bactéries naturellement présentes dans les intestins,
y compris des types de bactéries qui peuvent causer une
maladie sérieuse, résistant à la drogue,
ont indiqué les chercheurs.
Les « végétariens
peuvent penser que l'abus démesuré de l'utilisation
des antibiotiques dans le bétail et la volaille ne les
affectera pas, mais ce n'est pas vrai pour deux raisons, «
indiqua Margaret Mellon, directeur de l'Union de la Nourriture
des Scientifiques Engagés et du Programme d'Environnement.
« Les consommateurs mangent des légumes produits
sur des sols fertilisés avec de l'engrais peuvent, sans
le savoir, ingérer des antibiotiques. Encore plus important,
les bactéries résistantes qui sont créées
à la ferme peuvent souiller l'air, l'eau et le sol qui
peuvent voyager des distances significatives. «
Tandis que l'engrais pur et composté
peut être employé avec peu de restriction dans l'agriculture
conventionnelle, les règles du ministère de l'agriculture
des USA exigent que l'engrais utilisé dans l'agriculture
biologique soit composté ou soit appliqué au moins
90 avant la moisson. Dans l'étude, les récoltes
ont été moissonnées en dedans de 42 jours
seulement, ainsi les résultats peuvent ne pas s'appliquer
aux légumes biologiques, ont indiqué les chercheurs.
La demande pour les aliments
biologiques a augmenté de presque de 17 pour cent par
rapport à l'an dernier, selon un rapport qui paru cette
semaine par Whole Foods Market. Le dernier sondage commissionné
par les supermarchés biologiques indique qu'environ deux-tiers
des consommateurs des USA ont acheté des produits biologiques
en 2005, comparé à un peu plus de la moitié
en 2003 et 2004.
Selon le sondage de l'Organic
Trade Association, organique des manufacturiers en alimentation
pour 2004, l'industrie alimentaire biologique obtint $10.8 milliards
de revenus en 2003 et s'est développée à
un taux moyen de 19.5 pour cent par année depuis 1997.
Le chargé d'études
de marché Euromonitor prévoit que des ventes des
nourritures biologiques emballées à elle seule,
vaudra $8.6 milliards au détail d'ici 2009 un saut de
5.1 milliards pour 2003.
La plupart des participants ont
dit qu'ils optent pour les produits biologiques afin d'éviter
les pesticides, pour leur fraîcheur et leur goût,
pour leurs bénéfices nutritionnels alimentaires
et dans effort d'éviter les nourritures génétiquement
modifiées.
Une majorité des consommateurs
s'est également sentie que les produits biologiques étaient
d'une qualité supérieure,
aussi bien qu'être meilleur pour la santé et l'environnement. |
