Joseph Ratzinger, alias Benoît XVI
gardien intransigeant du dogme !

Défenseur de l'Orthodoxie, le Fondamentalisme et l'Intégrisme Catholique (car pour lui c'est la seule vraie religion) et L'Enforceur ou le Panzer (char d'assault allemand de la 2e guerre mondiale qui avance sans se soucier ce qu'il écrase sur son chemin) de la nouvelle Inquisition pour ne pas dire du fachisme religieux en préparation avec la collaboration du bastion interne du Vatican, l'Opus Dei, dont font parties beaucoup de nos membres du gouvernements et Kovenbach, surnommé le Pape Noir reliés à la "Haute Franc-Maçonnerie Internationale" et la Banque du Vatican. Ils dirigent de loin les extrémistes de droite, évangélistes et tous les nouvelles sectes fondamentalistes dirigées par les évangélistes.

Né d'un père gendarme et engagé dans la jeunesse hitlérienne contre son gré, il fuiya son peloton d'armée à la fin de la 2e guerre mondiale pour se réfugier chez les américains. La ceinture de la Bible qui tenait les pantalons de Bush a jouer un grand rôle dans sa ré-élection. Bush promit aux fondamentalistes et intégristes mer et monde au nom du Christ qui l'aurait choisi pour lutter le Mal, c-à-d, tous ceux qui s'opposent au Nouvel Ordre Mondial de la clique à son père, les Illuminati. Il ne faut jamais oublié que Jean-Paul 2 avait "incité" les fidèles chrétiens du monde en 2004, à se joindre au Nouvel Ordre International, afin d'éradiquer la faim, la pauvreté et la violence dans le monde. WOW ! Quelle bonne nouvelle ! Mais de quoi parle-t-il ? Ne connait-il pas les acteurs qui sont derrière cet agenda ?

Bien entendu !

Ratzinger, élu Pape Benoît XVI, a été formé, de l’École Gardienne jusqu’à la fin de l’École Secondaire, dans la meilleure tradition de l’Élite Hitlérienne. Il a aussi suivi des cours théoriques et pratiques pour devenir "Führer".

C'est Rat-zigner qui dans une lettre adressée au Cardinal Théodore E. McCarrick de Washington, conseillait au clergé de refuser la communion aux supporters des droits à l'avortement et de ne pas appuyer les candidats électoraux qui appuyaient l'avortement. Plusieurs évêques américains refusèrent de se plier à cette exigence en disant qu'ils devraient aussi la refuser à ceux qui prônent la guerre et la peine de mort. Maurice Duplessis était également contre l'avortement mais il préférait placer les enfants dans des orphelinats et exposer les filles-mères à la méprise et disgrâce totale de la communauté. Demandez aux enfants de Duplessis s'ils ont appréciés les asiles d'aliénés dans lesquels, sous la bonne grâce de l'Église Catholique, ils ont été expédiés. En plus, aux dernières élections étatsunienne, il incita les fidèles à voter pour G.W. Bush en disant que Kerry était un grand pêcheur qui favorisait le droit des femmes à l'avortement... Les droits des gais... etc. etc. Kerry était trop libéral pour ce cardinal inquisitioniste.

Il a décidé de régner sous le nom de Benoît XVI et son apparition a été saluée par des acclamations aux émotions moyennes et surprises. Beaucoup était déçus. La prophétie de Malachie semble se confirmer du fait qu'il était bénédictin et que leur symbole était l'olivier. Qu'il serait aussi l'avant-dernier pape et que le dernier serait le dernier. Ça fait bien du sens au train où les événements se dévoilent...

Il était le grand confident de Karol Wojtyla, Jean-Paul 2. Mais c'est Ratzigner qui proposa Wojtoyla au titre de cardinal. Ça faisait déjà un petit bout de temps que ces deux-là trinquaient le vin ensembles. En 1981, Karol choisi Ratzigner pour ramener l'Ordre de l'Inquisition parfois surnommé "la Sainte Office" l'équivalent de la NSA aux É-U) et la souder à l'Opus Dei (l'équivalent de la CIA aux É-U).

C'est Ratzigner qui essaya d'étouffer, minimiser et banaliser auprès des médias, en les accusant de gonfler l'affaire hors proportion, les 12.000 accusations d'agression sexuelle que l'Église avait subit en dedans de quelques années. C'est quand même un nombre significatif de victimes. Tout cela fait évidemment partie de l'agenda des Illuminati pour affaiblir d'un côté le pouvoir de l'Église Romaine et fomenter une guerre mondiale de toutes les religions en préparation à la religion universelle bien orchestrée qui se prépare en secret dans les coulisses des hautes sphères des "planificateurs" du futur de cette planète.

In clergy sex abuse epicenter, Ratzinger's selection seen to block to reform efforts ABUSE TRACKER

A digest of links to media coverage of clergy abuse.

Si vous désirez vous renseigner sur les scandales sexuels de cette église et ses réactions et agissements, cette page vous donnera des douzaines de liens et articles pertinents. Vous saurez sûrement traduir.

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Source de l'article ci-bas:
August 08, 2021


Cardinal Ratzinger: "The Enforcer"
How much do you know about Cardinal Joseph Ratzinger, nicknamed "The Enforcer" or the "Panzerkardinal"? He's been head of Congregation for the Doctrine of the Faith (formerly the Inquisition) for more than 20 years and he has been described as being even more zealous in the defense of orthodoxy than the pope himself.
The Australian has a profile of his life and beliefs:

He shares the view of the Polish Pope ... that only a united Catholic Church with absolute values can stand against totalitarianism and the temptations of Western materialism. The cardinal was shocked by the reforms of the Second Vatican Council in the 1960s, when the old certainties gave way to intellectual and theological debate. ... The cardinal has also condemned Buddhism, Hinduism and other Eastern religions as offering false hope through "auto-erotic spirituality", accused the media of exaggerating the extent of the pedophilia scandals in the North American Church and encouraged a return to the Latin Mass.
Ratzinger won't be the next pope, but he will play a key role in who will become the next pope because he will chair the conclave that votes. It simply isn't credible to think that he won't do everything in his power to ensure that the next pope fits his personal idea of what Roman Catholicism should be.

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A dozen U.S. cardinals. The ranks include two, Bernard Law of Boston and Edward Egan of New York, accused of shuttling pedophile priests among parishes, of covering up their own mismanagement and of caring more for their own image than ministering to hundreds of victims.
After a secret meeting with the pope last week, Law said he would not resign. It's unlikely he'll come out with his cardinal's red hat in hand on Wednesday evening.


AP
Law

Church critics say it's less love for Law that keeps him a cardinal than concern by the Vatican for appearing that the church is run by U.S. public relations surveys, not its own standards of forgiveness, penance and restitution.

"This is the church of Mary Magdalene. We believe in forgiveness," says Sister Mary Ann Walsh, a spokeswoman for the bishops' conference.

Eight of the cardinals lead major dioceses in the USA; three, including Stafford, are based in Rome. Cardinal Avery Dulles, a theologian and priest, will attend. The ailing Cardinal James Hickey of Washington, D.C., who retired in 2000, will not make the trip.

The highest-ranking cardinals of the curia, the church's governing arm. They'll be led by archconservative heads of Vatican offices: German cardinal Joseph Ratzinger of the Congregation for the Doctrine of the Faith (once known as the Inquisition) and Colombian Cardinal Dario Castrillon Hoyos of the Congregation for the Clergy.

Ratzinger led the meetings the last time the pope summoned all the American bishops to Rome. That was in 1989, when the American Catholic voices of dissent — on birth control, human rights, abortion, homosexuality, feminism, women's ordination and other hot-button issues — had reached a clamor.



Associated Press Ratzinger

Ratzinger, possibly the pope's closest confidant, told the bishops then to cease acting as though dissent were equal to truth. Behave, he said, as guardians of the faith, evangelists for a truth "worth suffering for." If they were not willing to be martyrs, they should not "lay hand to the plow."

Se site expose tous les abus sexuels qui ont été perpétré par l'Église.
La liste est ahurissante.

Cardinal Joseph Ratzinger slaps
reporter's hand when questioned
about cover up of
sex scandal by Vatican

LES ÉLECTIONS PIPÉES:
LE PAPE DÉJÀ CHOISI PAR JEAN-PAUL 2

Wojtyla s'était assuré que son protégé Ratzi entre premier dans la course en nommant des dizaines de cardinaux quelques semaines avant sa mort, assurant ses maîtres de perpétuer ce qui avait été mis en place, c-à-d, la centralisation du pouvoir catholique romain au Vatican et enlevé tous les pouvoir de décision au évêques et cardinaux des diocèses. La banque du Vatican va bon train en blanchissant l'argent infecte de la CIA et autes institutions machiavélique et en frappant sa propre monaie.

Voici un article qui parut quelques jours avant les élections du conclave pour vous démontrer que tous savaient qui seraient élu, enfin tous ceux qui avaient à le savoir, mais je n'ai pas enlevé les éloges hollywoodiennes à faire suer toute personne qui se respecte et les demi-vérités de l'information d'un journaliste qui tient à son job. :

VATICAN
Joseph Ratzinger, un pape de transition
Par Mathieu Perreault, La Presse,
Rome Jeudi 16 avril 2005

[Voici un papier qui, cinq jours à l’avance, donnait tous les détails sur le nouveau pape aujourd’hui connu, et qui décrit surtout sa mission de transition]

À partir du 18 avril, les cardinaux de l'Église catholique seront réunis en conclave pour choisir un nouveau pape. Jusqu'à ce qu'un nouveau pape soit élu, La Presse publiera une série de portraits des candidats les plus en vue.

Dossier
La mort du pape

«Jean-Paul II nous regarde maintenant de la fenêtre de la maison du Père, il nous voit et il nous bénit.» Ce très beau passage de l'homélie du cardinal Joseph Ratzinger, durant les funérailles de Jean-Paul II vendredi dernier, en a surpris plusieurs. Mgr Ratzinger est mieux connu comme théologien que comme pasteur. Et pourtant, son homélie était émouvante, rappelant habilement plusieurs paroles et gestes du pape pour montrer qu'ils se poursuivent dans l'au-delà.

Il n'en fallait pas plus pour que sa cote de papabile monte en flèche. Son nom est cité comme «pape de transition»: vu qu'il aura 78 ans samedi, et que sa santé a connu des défaillances au 21e siècle, son pontificat ne durerait probablement pas très longtemps, ce qui permettrait de passer plus facilement à l'après-Wojtyla. Des vaticanistes ont annoncé hier que Mgr Ratzinger recueille déjà 40 voix, sur les 77 nécessaires pour être choisi.

«S'il est élu, ce sera à cause de son homélie des funérailles, estime Gunther Lawrence, juif qui dirige le Centre d'information interreligieuse à Washington, et qui organise cette semaine une conférence à Rome pour des journalistes américains spécialisés en religion. En plus, il y a la proximité des Journées mondiales de la jeunesse, cet été à Cologne: si le nouveau pape ne parle pas allemand, la comparaison avec Jean-Paul II sera nécessairement difficile. Les JMJ étaient des moments forts pour Jean-Paul II.»

Né en Bavière d'un père gendarme, Mgr Ratzinger a été baptisé la veille de Pâques. Cela lui a inspiré une mystique toute allemande. «Ma vie a été immergée dans le mystère pascal», a-t-il expliqué dans sa biographie Le Sel de la terre, dont le titre évoque un passage de l'Évangile selon Matthieu, selon lequel la foi doit être pour le monde ce que le sel est au pain. Il a ensuite étudié avec un théologien allemand célèbre, Urs von Balthazar, dont la pensée- parfois appelée «théologie à genoux»- joint elle aussi une exaltation de la beauté de la foi et une rigueur morale traditionaliste.

Mgr Ratzinger, qui n'a jamais été pasteur, a participé au concile Vatican II comme secrétaire du cardinal allemand réformiste Jozef Frings. Son ardeur réformiste s'est ensuite refroidie, et en 1981, il a été nommé préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, qui veille au respect du magistère catholique par les théologiens et le clergé. Il est proche de l'Opus Dei, un mouvement laïque traditionaliste et a écrit une bonne partie de l'encyclique Dominus Iesus qui, en 2000, a réaffirmé la primauté de l'Église catholique, refroidissant les relations avec les autres chrétiens et les autres religions.

Avortement

Deux épisodes montrent l'impact qu'a eu Mgr Ratzinger sur l'Église, et expliquent pourquoi il est surnommé Panzerkardinal par les médias, en référence aux tanks allemands de la Deuxième Guerre mondiale.

Pendant 15 ans, le président de la CEA, Walter Kasper, a été ignoré lors des nominations de cardinaux parce qu'il est en faveur de la communion aux divorcés. La recommandation venait directement de Mgr Ratzinger, selon les vaticanistes.

À la fin des années 90, Mgr Ratzinger a obligé la CEA à cesser de participer aux centres de consultation sur l'avortement. Une visite à ces centres était obligatoire pour qu'une femme ait un avortement. Chaque année, 20 000 femmes s'y rendaient, et 5000 d'entre elles se laissaient convaincre de garder leur enfant. La CEA considérait que participer aux centres permettait de sauver 5000 bébés. Mais Mgr Ratzigner voyait surtout que la CEA donnait son assentiment à 15 000 avortements par année.

Pardon pour le présent

Durant son homélie du chemin de croix, qu'il célébrait cette année à la place de Jean-Paul II, Joseph Ratzinger a bâti sur un thème cher à Jean-Paul II, le pardon. Mais au lieu de demander pardon pour le passé, il l'a fait «pour les erreurs du présent». «Seigneur, ton Église semble une barque sur le point de couler. Les vêtements et le visage sales de ton Église nous inquiètent. Mais nous les salissons nous-mêmes. Nous-mêmes te trahissons chaque fois, malgré nos grands discours, malgré nos grands gestes.»

Vraiment, s'il est élu pape, le Panzerkardinal poussera la mystique wojtylienne à des niveaux insoupçonnés.

Autre article sur l'élection de Ratzigner

Christian Spillmann
Agence France-Presse
Source: http://www.cyberpresse.ca/monde/article/article_complet.php?path=
/monde/article/19/1,151,314,042005,1000216.php

Cité du Vatican
Le cardinal allemand Joseph Ratzinger, 78 ans, élu mardi 265e pape de l'Église catholique et évêque de Rome, est le gardien intransigeant du dogme contre les dérives d'une Église devenue, selon lui, une «barque qui prend l'eau».

Donné favori, il a été élu au quatrième tour de scrutin par les 115 cardinaux électeurs âgés de moins de 80 ans entrés en conclave lundi après-midi. Il a décidé de régner sous le nom de Benoît XVI et son apparition a été saluée par des acclamations. Visiblement ému, il s'est décrit comme un «humble et modeste travailleur dans les vignes du Seigneur» dans sa première intervention avant de donner sa bénédiction «Urbi et Orbi».

Brillant et fin théologien, il dirigeait avant la mort de Jean-Paul II la puissante congrégation pour la doctrine de la foi, l'héritière de la sainte inquisition tristement célèbre pour ses bûchers et ses autodafés de la fin du Moyen-Âge. Ses partisans l'ont d'ailleurs fièrement surnommé «le grand inquisiteur» et saluent son action pour «réduire au silence les théologiens dissidents» et «écraser les hérésies».

Doyen du collège des cardinaux, il a fustigé lundi «la dictature du relativisme», fait le procès de ceux qui, dans l'Église, se sont laissés séduire par des «courants de mode» et a défendu le dogme, même si «avoir une foi claire est souvent étiqueté comme fondamentalisme» dans son homélie lors de la messe célébrée avant l'entrée en conclave.

Chargé cette année par Jean-Paul II de rédiger les textes de méditation du chemin de croix pour la semaine sainte, il avait livré un véritable réquisitoire dans lequel il avait fustigé «les souillures», «l'orgueil» et «l'autosuffisance» au sein de l'Église.
«Souvent, Seigneur, ton Église nous semble une barque prête à couler, une barque qui prend l'eau de toutes parts», avait-il déploré.
Le ton n'avait pas surpris de la part de ce prince de l'Église intransigeant, mais à la santé fragile. Il a eu une attaque cérébrale et a fait une chute dans les années 1980 lors d'une visite à Pordenone, au nord de l'Italie.

Né le 16 avril 1927 à Marktl-am-Inn, dans le diocèse de Passau, en Bavière, Joseph Ratzinger a été ordonné prêtre le 29 juin 1951, fait archevêque de Munich en mars 1977 et cardinal quatre mois plus tard, le 27 juin 1977, par le pape Paul VI. Il était l'un des trois cardinaux électeurs à ne pas devoir sa pourpre à Jean-Paul II.
Le cardinal Ratzinger est détesté de nombreux catholiques progressistes. De 1981 à aujourd'hui, ses interdits ne se comptent plus : non à l'ordination des femmes, non au mariage des prêtres, non à l'homosexualité, non au communisme, non à la Turquie dans l'Europe.
Ses prises de position sont tranchantes, comme son regard bleu métal et son sourire pincé. Elles ont souvent menacé de provoquer des crises politiques. En 2004, il s'est ainsi opposé à l'intégration de la Turquie musulmane dans l'Union européenne, la qualifiant «d'énorme erreur» et de «décision contre l'histoire».
Face à une Église en crise, il préconise le repli et le rapprochement avec les mouvements catholiques les plus radicaux, voire «fondamentalistes». «Plus une religion s'assimile au monde et plus elle devient superflue», a-t-il affirmé en octobre 2004 dans un entretien à l'hebdomadaire italien Panorama.

«En revanche, les nouveaux mouvements chrétiens, comme les évangélistes, les charismatiques ou les églises libres en Allemagne sont en plein essor parce qu'ils défendent bec et ongles les grandes valeurs morales contre l'évolution des mentalités», a-t-il souligné.

«Ces groupes étaient considérés il y a peu par l'Église comme fondamentalistes et étaient récemment encore des adversaires acharnés de l'Église catholique, mais ils commencent à se rapprocher, car ils ont réalisé que seule l'Église défend les valeurs morales et nous acceptons avec joie ce rapprochement», a-t-il conclu.

Associated Press

Cité du Vatican
Rappel de commentaires, ces dernières années, du cardinal Joseph Ratzinger, élu mardi nouveau pape, sur certaines des questions qui se posent à l'Église catholique :

Sécularisation :
"Nous sommes à un moment très grave (de l'Histoire); la sécularisation radicale pourrait détruire l'humanisme".
(Discours devant l'ordre salésien, 2 décembre 2004)

Clonage :
"Une menace plus dangereuse que les armes de destruction massive".
(Débat à Rome, le 27 octobre 2004)

Interdiction de la prêtrise des femmes :
"Nécessaire afin de protéger la vraie doctrine, sauvegarder la communion et l'unité de l'Église et guider la conscience des fidèles".
(Décret de janvier 2003 confirmant l'excommunication de femmes ayant participé à un simulacre de cérémonie d'ordination)

Autre article qui me fut envoyé par courriel que j'ai choisi de partager avec vous dans un esprit de libre-penseur et non-raciste qui relie quelques informations et points de vue pertinents:

Après "les juifs du pape", le "pape des juifs"

On les a longtemps connus sous le nom de "Juifs du Pape". Lorsque la papauté s'est installée à Avignon, ou "en" Avignon, comme le disent certains, les juifs qui faisaient le business de l'état temporel de l'Église ont suivi. Ils ont prospéré parce que le pape, comme presque toujours l'Église catholique, a protégé les juifs contre le désir de revanche que soulevaient parfois leurs exactions financières. Toute cette longue litanie de "malheurs" des juifs au cours des temps mérite un grand coup de révisionnisme. Après le retour de la papauté à Rome, les juifs sont restés dans le Comtat, autour d'Avignon. Pendant longtemps ils furent les seuls juifs "français". Ceux de Bordeaux étaient des Portugais et ceux d'Alsace des Allemands.

Sautons les étapes et arrivons à la seconde guerre mondiale. Le Pape et l'Église catholique de Rome ont protégé les juifs contre les lois raciales que l'infortuné Mussolini a dû signer en contrepartie du soutien des Allemands. Des milliers de juifs furent cachés dans les innombrables couvents de la Ville Éternelle. Après guerre la gratitude fut telle que le Grand rabbin de Rome choisit de se convertir!

C'est avec la création (NdN: des Rothchild.) de l'État dit d'Israël (un nom historique parfaitement usurpé) que s'est développée une guerre visant à détruire l'Église catholique qui refusait de se soumettre, comme les bons protestants, à la volonté des sionistes redoutant l'influence chrétienne au Moyen-Orient. Une énorme campagne de calomnie était lancée contre Pie XII, pape pendant la guerre. (NdN: décidément on aime fabuler sur les grands personnages. Eugenio Pacelli, l'ex-nonce apostolique de Berlin qui signa un concordat avec Hitler et jouait aux cartes des deux côtés de la table, fut élu pape en 1939. Coïncidence ? Il détenait une vaste expérience politique et est issue d'une famille riche et très influente. La famille Pacelli était lié au Vatican depuis 3 générations et appartenait à la petite "aristocrassie" papale. Mêlé aux accords de Latran, une des grande arnaque du Vatican, ses trois frères se trouvent très bien placés au sein de l'Église romaine. Pacelli était si imbu de lui-même qu'il s'installa un petit trône papal dans son ascenseur privé. Je vous recommande fortement de lire le livre "Les Héritiers de l'Impérialisme Romain" dans lequel vous retrouverez tous les détails de cette histoire et celle de la chronologie des papes). Des manœuvres forcenées aboutirent, au concile de Vatican II, à modifier l'attitude traditionnelle de l'Église sur la question de ses rapports avec les juifs. Mais elles ne parvinrent pas à réviser les textes, en particulier celui des Évangiles relatant la mort de Jésus.

Puis vint le pape Wojtyla, premier pontife polonais, qui prit le nom de Jean-Paul II. (Mais il a oublié le pape Jean-Paul 1er qui fut assassiné ou empoisonné après 33 jours de reigne). Au début, il a semblé un peu dur à la détente et il s'est montré réticent à suivre le chemin indiqué par les docteurs juifs. Et finalement, il a peu à peu accepté de se courber et de passer sous le joug. Il a fait pression sur les carmélites installées à Auschwitz, qui étaient dans leur bon droit. Il a fini par reconnaître politiquement Israël, alors que ses prédécesseurs, gardiens de la Terre Sainte, s'en étaient bien gardés. Il est allé se ridiculiser à la synagogue de Rome, en leur donnant du "grand frère". Il a cardinalisé le juif Lustiger, archevêque de Paris (NdN: retraité de son clergé de Paris et de la cthédrale de Notre-Dame, vous verrez, il deviendra l'un des conseillers privés de Ratzigner). Il a ralenti et bloqué le procès en canonisation de Pie XII. Il a fini par se rendre en Israël pour faire un petit rite absolument païen, en glissant un papier dans le mur du Kotel, prétendument mur du Temple de Salomon. Il y faisait acte de "repentance" pour des crimes imaginaires. Bref, il a gagné ce beau surnom, qui lui a été octroyé par tous les satanés rabbins, de "pape des juifs". Inutile de dire que beaucoup de bons chrétiens vont se sentir bien débarrassés par le décès providentiel de ce lèche-juif.

Le nouveau pape a fait partie de la Hitlerjugend. Involontairement dit-il. Il avait 12 ans, dit Michels, l'exécuteur des basses œuvres du centre Wiesennéanderthal à Paris. Or il avait 17 ans en 1944... Il faut garder à l'esprit qu'il a été le bras droit de Jean-Paul II et qu'il a depuis longtemps donné des gages à la clique des rabbins fanatiques. D'après eux, c'est lui qui a fourni la manipulation théologique qui a permis le "rapprochement", c'est-à-dire la subordination. Les juifs n'ont pas encore obtenu l'essentiel de ce qu'ils demandent: la réécriture radicale des origines du christianisme. Ces juifs sont donc révisionnistes: ils veulent la révision de cet ensemble littéraire qui est appelé "Histoire Sainte". On a bien vu la sarabande qu'ils ont menée l'an dernier au moment de la sortie du film de Mel Gibson sur La Passion. Le plus énorme, dans cette histoire, c'est que leurs propres textes, dans le Talmud, expliquent très bien comment les juifs de l'époque ont fait condamner celui qui leur paraissait un faux messie et comment ils ont manipulé les Romains pour le faire exécuter. Il y a une sorte de concordance entre les sources chrétiennes, très précises, et les sources juives, très explicites, sur le fait que les juifs officiels ont fait tuer le personnage de Jésus-Christ. C'est ça qu'ils veulent aujourd'hui faire effacer des tablettes où cette histoire (vraie ou fausse, on ne peut pas la vérifier et c'est une tout autre question) est gravée depuis près de 2000 ans... A notre avis, on doit s'attendre au pire et à la judaïsation complète de l'Église catholique, à moins d'un ultime soubresaut.

Pour connaître Ratzigner, il faut connaître son mentor ou son disciple ! Jean-Paul 2

Extrait du livre "Les Héritiers de l'Impérialisme romain" par François-J Lessard chez et avec la permission et gracieuseté de Louise Courteau Éditrice.

Pour comprendre la situation actuelle du Vatican et son implication dans le monde, autre que de canoniser des saints et béatifier des bienheureux, voici un très bon apreçu de ce que vous retrouverez dans ce livre.

"La banque du Vatican" commande 950 millions $ de titres forgés, en 1971

Sur la quatrième de couverture du livre de Richard Hammer Vatican Connection, publié en 1982, on peut d'abord voir des photocopies d'articles de trois journaux français de juillet de cette année-là : Le Figaro titre : Enquête à la banque du Vatican; Libération écrit : Les financements pas très catholiques de la
Banque du Vatican ; et Le Matin déclare : Marcinkus, le banquier du Vatican, en accusation. Je précise l'évêque Paul Casimir Marcinkus, de descendance lithuanienne et originaire de Chicago, est surnommé « le gorille » de Paul VI et, promu par celui-ci en 1969 à la présidence de la Sacra Congregazione dei Religiosi
(la banque du Vatican). Il est le grand argentier du « Saint-Siège ».
Puis, en dessous desdites photocopies, on peut lire cette synthèse du volume « Si l'existence d'un trafic international d'or et de devises est chose fort connue, on possède beaucoup moins d'informations sur celui qui concerne les titres, obligations et bons d'État volés ou falsifiés.
« Leurs acquéreurs, de bonne ou mauvaise foi, les utilisent, le plus souvent, en tant que garantie susceptible de leur procurer prêts ou découverts bancaires destinés à monter des opérations immobilières de grande envergure ou à renflouer des entreprises voire d'autres banques, elles-mêmes en difficulté. Après quoi, ces titres, animés d'un véritable mouvement perpétuel, passent de main en main multipliant ainsi, à l'infini leur rentabilité. Et ce au profit de leurs «propriétaires» qu'il s'avère bien difficile de démasquer en raison de l'incroyable imbroglio de ce genre de trafic, bien entendu pratiquement entièrement contrôlé par la Mafia américaine ».
« C'est au cours d'une de ces enquêtes qu'un petit policier new-yorkais, joseph Coffey, découvrit l'effarant, l'incroyable marché passé entre certaines autorités du Vatican et une bande d'escrocs internationaux pour la somme fantastique de 950 millions de dollars. Le tout en faux titres et dans le but de renflouer les finances de cet État».
« Ce livre n'est en aucun cas une fiction (ce souligné est du rédacteur du présent texte, et non pas de moi). Les faits que rapporte Richard Hammer sont étayés par le témoignage de Joseph Coffey (aujourd'hui chef de la brigade anti-mafia de New York), les bandes des écoutes téléphoniques, les rapports de police et les aveux des principaux inculpés. À cela s'ajoute, et cela n'est pas négligeable, l'étrange silence du Vatican ...

Quant à « l'Avertissement» de Richard Hammer, en pages 7 et 8, il se lit comme suit : « Les faits que rapporte ce livre sont authentiques. Les personnes qu'il décrit existent ou ont existé réellement. Hormis certaines interprétations ou conclusions, dont seul l'auteur est responsable, le récit est principalement tiré des souvenirs et des rapports de Joseph Coffey qui est aujourd'hui chef de la brigade anti-mafia de New York et assistant spécial pour les affaires du crime organisé du chef de la police en civil de New York.
«Voici mes autres sources
"Comptes rendus d'écoutes téléphoniques ou de conversations enregistrées par micros-espions aux États-Unis et en République Fédérale d'Allemagne."

p. 274

Autre extrait du livre "Les Héritiers de l'Impérialisme romain" sur la mort "mystérieuse de Jean-Paul 1 qui aurait peut-être été capable de réduire « en miettes » la clique corrompue du Vatican, s'il n'était pas mort prématurément.

Des faits sont certains. Il est le premier pape à refuser le rite du couronnement et le port de la tiare. Une phrase de ce rite exprimait clairement, encore sous Paul VI, la prétention de la papauté à la domination politique du monde entier, en vertu des Fausses Décrétales : Recevez, la tiare, ornée de trois couronnes, récitait le cardinal diacre à l'adresse du nouveau pontife, et sachez que vous êtes le père des princes et le souverain des rois.

On apprendra, plus ou moins tardivement, par la suite, certains détails concordants.

Alors archevêque de Venise, Albino Luciani avait vendu des bijoux religieux lui appartenant pour secourir des malheureux et avait incité son clergé à en faire autant. Son opposition officielle, mais non nécessairement définitive, à l'émancipation de la Femme et à l'égalité des sexes, ne l'avait pas empêché de lire et de citer parfois le poète Trilussa, auteur de vers galants. Au conclave qui l'avait élu, il n'avait certainement pas été le candidat de la « Curie ». Pape, il lui arrivait de se comporter en public comme un simple curé de campagne, au grand désespoir des snobs « romains ». Il avait été aussi très indigné du peu qu'il avait eu le temps d'apprendre des finances du Vatican, pendant les quelques semaines où il fut en poste.

Il eut donc certainement le loisir de montrer ses vraies couleurs à son entourage immédiat. Par hasard, serait-il allé jusqu'à exprimer sa ferme intention de mettre la hache dans certains des pans de murs les plus pourris de « 1 Eglise romaine » ? Par exemple, de laisser la justice humaine châtier les principaux responsables de la commande de 950 millions$ de titres forgés? Ou de poser un point final aux accords du Latran, qui allaient justement expirer dans quelques mois ... et qui furent renouvelés depuis, sous son successeur, Karol Wojtyla, jusqu'en 1990? Si oui, il risquait certainement sa vie, comme Célestin V, Adrien VI et quelques autres hommes honnêtes pris dans « l'engrenage romain ». Si oui, il a sûrement été assassiné. Dans cette hypothèse on ne peut plus plausible, les mobiles du crime ne font pas plus défaut que le nombre d'assassins potentiels. Personne, sauf de rarissimes initiés du plus haut rang, ne saura jamais de façon certaine et objective, la cause physique de sa disparition rapide.

Dans Ô Vatican, Paul Hofmann écrit, en page 50 : « Ce que le premier rapport officiel (sur la mort subite de Jean-Paul 1er) ne disait pas c'est, qu'apparemment, le pape, ne se sentant pas bien, avait essayé d'appeler au secours en appuyant sur un bouton disposé sur sa table de chevet. Le secrétaire censé être de service dans les appartements pontificaux ne l'avait pas entendu, non plus les religieuses de Venise qui s'occupaient de lui, ni le garde suisse posté dehors. Même si l'on avait soigné rapidement ce qui semble avoir été une occlusion de la coronaire, on n'aurait pas pu disposer vite d'un défibrillateur ni d'autre matériel de soins intensifs ... »

p. 286-287

À la suite de cette disparition mystérieuse, Karol Wojtyla (Jean-Paul II) devient pontife en octobre 1978.

L'élection d'un pape polonais, ... embêtement pour l'URSS.


L'élection d'un polonais à la papauté en 1978, de n'importe quel polonais, fut encore, elle aussi, un acte politique de la part de « l'Église romaine ». Deux réalités le démontrent.
Première réalité : la Russie, qu'elle soit tsariste ou communiste, a été, depuis des siècles, le principal ennemi de la Pologne. Tout Polonais sait cela ! Par conséquent, jeter un Polonais dans les jambes des Russes, un Polonais qui va influencer du haut du poste de pape huit ou neuf cent millions de personnes à travers le monde, « c'est de la stratégie élémentaire, mon cher Watson ».
Deuxième réalité : les premiers et principaux parrains du Polonais Karol Wojtyla sont des cardinaux des États-Unis d'Amérique, ennemis numéro un de l'U.R.S.S. Nommément, en tête de cette cabale, le cardinal de Philadelphie, John Krol, ... d'origine polonaise, secondé notamment par le cardinal de Cologne, joseph Joffner, et par le cardinal de Munich, joseph Ratzinger (fils d'un policier et lui-même « grand inquisiteur » de « l'Église romaine » à partir de 1982). Ces deux derniers individus sont citoyens de l'Allemagne de l'Ouest qui héberge sur son territoire, en 1978, les fusées étatsuniennes pointées vers Moscou.
Ce noyau de zélateurs bien placés grossit vite de tout ce qui est russophobe et anti-communiste, tel le cardinal de Barcelone, Narciso Jubany Arnau, dans l'Espagne commençant seulement en cette année 1978 à se débarrasser, au moyen d'une nouvelle constitution, des séquelles de la dictature farouchement anti-soviétique de Franco.

Le poids de l'influence des parrains de Wojtyla sur les autres électeurs s'appesantit du fait que Krol, le Polonais de Philadelphie, et ses collaborateurs représentent les pays les plus riches d'Occident, les ÉtatsUnis et l'Allemagne de l'Ouest. D'où proviennent, très naturellement, les dons les plus considérables que reçoit le Vatican. Comment les cardinaux de la Curie, qui mangent dans ces mains-là, pourraient-ils voter contre le candidat de leurs principaux bienfaiteurs? Et comment pourrait-il utiliser leur influence respective sur d'autres cardinaux dans le monde autrement qu'en faveur de Wojtyla ? Machiavel n'aurait pas conçu meilleur plan pour faire élire le candidat des États-Unis d'Amérique, contre l'URSS. Ce qui fut fait.

Il faut être bien naïf pour croire que les Russes ne savent pas, eux aussi, et depuis belle lurette, premièrement, que, depuis sa naissance, en 754-56, la haute direction de « l'Église romaine » a pactisé sans cesse avec l'État qu'elle estimait le plus fort et le plus favorable à ses intérêts financiers et politiques; deuxièmement, que les milliards du «Saint-Siège» sont investis dans les entreprises de leurs rivaux, les capitalistes ; troisièmement, que le Vatican reçoit même régulièrement, et depuis des lunes, des rapports secrets du fameux service d'espionnage étatsunien, la C.I.A., ce qui indique clairement de quel bord loge le Vatican.

La première procession triomphale de Karol Wojtyla dans sa patrie, peu après son élévation à la papauté, n'a certainement pas diminué la méfiance russe à son endroit. Non plus que son appui ouvert au mouvement Solidarité, appui très louable émanant de n'importe quel démocrate, mais inadmissible de la part d'un personnage dont la neutralité absolue en politique internationale est indispensable à son supposé rôle de pacificateur.
Le fait que Wojtyla a bien posté en haut lieu un grand nombre de ses compatriotes au Vatican, et partout ailleurs dans le monde où il en avait le pouvoir, constitue un autre sérieux indice de son nationalisme farouche. Marcinkus, pourtant demeuré protégé de Jean-Paul Il après Paul VI, n'a pu se retenir de rugir devant témoins, au cours d'un voyage pontifical en Afrique, en 1982 : Si j'entends encore une fois prononcer le mot «polonais», je hurle!

Le signe du 666 fait avec la main...


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Croix de Malte et l'Aigle Royal des Annunakis.
Faites les liens ! 

 

En octobre 1978, l'encombrant Albino Luciani étant disparu, l'évêque Marcinkus est demeuré solidement en selle. Sa biographie mouvementée n'est pas terminée. Sur la photo (rare), ci-devant, le cardinal Marcinkus qui ouvre le chemin à Jean-Paul II.

L'affaire Sindona

Précisément à l'époque où devait s'effectuer la livraison des 950 millions$ de titres forgés commandés par la Sacra Congregazione dei Religiosi, en septembre 1971, la presse italienne faisait de plus en plus état des liens existant entre l'évêque Marcinkus et le financier Michele Sindona, qui s'était taillé en quelques années un empire international de quelque cent cinquante entreprises de tous genres. Il était déjà su, à ce moment-là, que la Sacra Congregazione avait misé des centaines de millions de dollars dans l'empire sindonien. Pour être plus précis, il est certain que la « pieuse » institution de Marcinkus et le groupe Sindona avaient ensemble des intérêts considérables dans les firmes suivantes, au moins : la Finabank et la Banque de Financement de Genève, en Suisse; la Fasco International Holdings, au Luxembourg; l'Edilcentro International, aux Bahamas (où, de plus, l'évêque Marcinkus était administrateur de la Cisalpine Overseas Bank of Nassau) ; la Banca Union
de Milan et Banca Privata Finanziaria Italiana, en Italie évidemment, cette dernière étant associée à la Continental Illinois National Bank et à la Trust Company of Chicago aux USA, ainsi qu'à l'Hambros Bank, en Angleterre (renseignements tirés de Vatican Connection et de O Vatican).
Les ombres à cet impressionnant tableau provenaient de ce que Michele Sindona était un superescroc et que son empire ne tenait que par les fils de transactions n'ayant absolument rien de «catholique». Toutes choses qui allaient bientôt finir par être éventées, comme l'affaire des 950 millions$ de titres forgés.
L'effrondrement du château de cartes de Sindona commença par la faillite, en 1974, de la Franklin National Bank, aux États-Unis, dont l'aventurier avait pris le contrôle deux ans auparavant par le truchement de la Fasco International Holdings, au Luxembourg, nommée précédemment, à laquelle Marcinkus était incontestablement associé. Sindona avant siphoné frauduleusement une partie des fonds de la Franklin et en avait perdu une autre, encore plus considérable, dans les spéculations malheureuses sur le marché des changes étrangers. Si les banqueroutes des entreprises du milliardaire-escroc se succédèrent à un rythme rapide, l'enquête, elle, traîna en longueur en raison de la complexité du réseau sindonien et aussi du fait que cinq des principaux enquêteurs italiens furent assassinés...

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Les milliards du Vatican

D'abord, il faut savoir que la Banque du Vatican (... la Sacra Congregazione dei Religion ou l'Institut pour les OEuvres de la Religion ...), fondée en 1942 par l'aristocrate Eugenio Pacelli (Pie XII) et placée sous l'autorité directe du pape, est loin d'être le seul instrument financier de «l'Église des Romains». À ses côtés, beaucoup d'autres organismes manipulent en effet des sommes énormes. En voici les principaux.

Au premier rang, on trouve l'Administration du Patrimoine du Siège Apostolique. Celle-ci est issue de la fusion, sous Montini (Paul VI), de l'Administration des Biens du Saint-Siège, autrefois chargée de veiller sur ses vastes propriétés immobilières, avec l'Administration Spéciale du Saint-Siège, qui avait été créée par Ratti (Pie XI) pour gérer la fortune arrachée aux contribuables italiens par les accords de Latran en 1929.

Cette administration du Patrimoine du Siège Apostolique se subdivise en deux sections
a) « l'ordinaire », qui s'occupe des biens immobiliers et tangibles;
b) « l'extraordinaire » ou « spéciale » qui voit aux investissements, partout dans le monde, et aux opérations, à proprement dit, financières.
Il arrive que les directeurs des deux sections se regardent comme chiens et chats.

Cette Administration du Patrimoine du Siège Apostolique en deux sections est théoriquement sous la surveillance d'un autre organisme : la Préfecture des Affaires Économiques du Saint-Siège. Mais, même le chef de cette Préfecture pendant une douzaine d'années jusqu'à son décès en 1980, le cardinal Egidio Vagnozzi, constata qu'il n'avait aucun moyen de vérifier ce que daignaient lui dire les fonctionnaires de « l'ordinaire » et de « l'extraordinaire » et qu'on allait jusqu'à lui cacher des faits importants. Il n'obtint jamais un bilan complet des deux départements placés sous sa juridiction, ni son successeur, non plus que la quinzaine de cardinaux constitués en commission par Wojtyla, dont plusieurs, venant de pays riches, s'aperçurent vite qu'on les avait placés là pour accroître la perception de fonds chez les fidèles plutôt que pour poser des questions, d'ailleurs toujours sans réponse précise.

Il y a ensuite le Denier de Saint-Pierre, qui recueille, deux fois l'an, les millions de dollars que souscrivent les bons catholiques. Puis la Fabrique de Saint-Pierre, chargée des revenus et dépenses de la basilique elle-même, constitue une autre entité distincte.

Il existe aussi Le gouvernement de la Cité du Vatican, qui émet monnaie, médailles commémoratives, timbres-poste (que s'arrachent bon nombre de collectionneurs à travers le monde), etc., et qui est responsable de l'entretien et du bon fonctionnement général de la Cité, jusqu'à ses stations de pompes à essence. Finalement, diverses autres institutions, comme l'Osservatore Romano, fonctionnent également de façon autonome.

Quant à « l'argent de poche du pape », provenant de cadeaux en espèces que lui remettent « pour ses bonnes oeuvres », de nombreux pèlerins reçus en audience publique ou que d'autres zélateurs lui postent, bien que suffisant pour nourrir plusieurs dizaines de familles nécessiteuses, ne représente qu'une goutte d'eau en regard du réseau complexe des institutions financières importantes de « l'Eglise romaine ».

Il n'est pas surprenant qu'une vache ne puisse retrouver son veau dans un pâturage si plantureux, si immense, si diversifié et dont les gardiens conservent le secret de leurs pérégrinations aussi jalousement que des contrebandiers de drogues. L'on comprend aisément que, dans son avant-propos de O Vatican, Hofmann ait écrit : Pour obtenir des informations sur la papauté et sur ce qui se faisait en son nom, j'ai dû
que1quetois recourir aux mémés méthodes que lors de mes reportages pour le New York Times dans des pays soumis à un régime dictatorial ...

Jusqu'à maintenant Wojtyla n'a pas manifesté plus d'empressement que ses prédécesseurs à rendre publics des états financiers complets qui seraient dressés par des vérificateurs totalement indépendants et à la suite d'une inspection surprise comportant la saisie de tous les livres et pièces comptables, selon une pratique courante dans les banques, et qui montreraient actif et passif, revenus et dépenses, liste détaillée de tous les investissements mobiliers et immobiliers incluant leur coût et leur valeur actuelle, provenance et utilisation des fonds. Ce, de toutes et chacune des nombreuses institutions financières de « l'Eglise des Romains ». Ainsi qu'un bilan consolidé de celle-ci. De tels états financiers devraient couvrir les trente-cinq dernières années, afin de faire une fois pour toutes, la pleine lumière sur l'affaire des 950 millions de titres forgés commandés par la Sacra Congregazione ainsi que sur les circonstances et les effets de la participation de la Banque du Vatican, et peut-être d'autres entreprises-sueurs, dans les malversations de Sindona et de Calvi.

Les premiers à avoir pleinement droit à pareils éclaircissements sont les catholiques du monde entier. Si les grands patrons actuels du Vatican n'ont personnellement rien à cacher, ni coupables plus ou moins nombreux et éminents à protéger par faiblesse ou par peur, pourquoi ne feraient-ils pas le grand ménage qui s'impose?

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En 1982, Wojtyla écrasa du poids de son autorité pontificale les dernières résistances, encore nombreuses, et accorda à l'Opus Dei ce qu'elle machinait d'obtenir depuis des décades : le statut de « prélature personnelle », unique dans « l'Église romaine ». Si le prochain pape est un membre avoué ou secret de « la Pieuvre », le mérite en reviendra certainement à Wojtyla. Ce futur pontife sera peut-être l'actuel chef de l'Opus, Alvaro del Portillo y Diez de Sollano, successeur d'Escriva. Quant à ce dernier, déjà depuis 1981, ses disciples et admirateurs, c'est-à-dire plus de la moitié du Sacré Collège et du tiers des évêques, intriguent pour le faire canoniser. Ils ont fini par réussir. Wojtyla l'a canonise récemment.
« Le vent de Vatican II a bien cessé de souffler sur Rome », comme le constatait de son côté le journaliste Jean Lapierre dans un article ainsi intitulé et paru dans « La Presse, Plus » du 2 mars 1985, alors qu'il exposait d'autres des innombrables facettes décevantes de la situation du Vatican à notre époque.

La misogynie de Wojtyla et de son organisation Eugenio Pacelli, devenu pape Pie XII, s'était fait venir d'Allemagne, où il avait auparavant signé le concordat avec Hitler, quatre religieuses, dont la fameuse Pascalina, pour « connaître, aimer, adorer et servir » son olympienne personne.

Pour ne pas être en reste avec Pacelli, Wojtyla, lui, s'est importé de sa Pologne natale, non pas quatre, mais cinq servantes, religieuses naturellement, très précisément de la communauté des Servantes du Sacré-Coeur de jésus, afin de lui cuisiner ses plats favoris, nommément borscht (potage à base de betterave ou de choux), Kelbasa (saucisson épicé), rôti de porc et pâtisseries à la polonaise, afin aussi de lui rendre les multiples autres menus services domestiques dont ne saurait se passer tout macho qui se respecte.

Évidemment, les centaines d'évêques des trois premiers siècles, incluant ceux de Rome, qui christianisèrent l'Empire, n'avaient ni le temps ni le fric nécessaire pour se payer un tel luxe. Les prêtres ouvriers, les missionnaires et la plupart des évêques d'aujourd'hui, eux non plus. Mais revenons au sexisme.
Si la misogynie de Wojty la n'était pas viscérale, il aurait spontanément songé à embaucher des marmitons et des valets. Au minimum, il aurait eu le souci que la moitié, ou à peu près, de l'équipage de sa maison soit de sexe mâle. C'eut été un moindre mal que Sa Majesté Impériale démontre que, puisqu'elle pratique le servage, elle a au moins la décence de s'y adonner de façon égalitaire vis-à-vis des deux sexes.

Ses talents de comédien, déjà reconnu alors qu'il était encore étudiant à Cracovie, peuvent bien avoir entraîné Wojtyla à faire monter Soeur Teresa  à bord de sa papamobile au cours de son voyage en Inde. Mais sa galanterie spectaculaire envers la récipiendaire du prix Nobel de la paix, ne peut être interprétée comme une quelconque reconnaissance de l'égalité de la femme avec l'homme. Pourquoi? Parce qu'il savait pertinemment que la dévouée Albanaise envers les déshérités de l'Inde était par ailleurs une partisane farouche de la servilité des femmes et conséquemment une opposante à leur accès à la prêtrise. Devenir servante, a-t-elle affirmé textuellement, selon le journal religieux «L'Informateur», de Montréal, numéro 22, du 24 novembre 1984, constitue la réelle mission de la femme.

Au cours de la guerre de Sécession des ÉtatsUnis, de 1861 à 1865, un grand nombre de Noirs, complètement intoxiqués par la mentalité d'esclave qu'on leur avait inculquée depuis des générations, combattirent volontairement et bravement leurs libérateurs, aux côtés de leurs maîtres. Toujours, il y a eu et il y aura des infortunés élevés dans l'esclavage pour refuser la liberté et ses responsabilités.

Les gestes théâtraux de Wojtyla peuvent être d'autant moins pris au sérieux que, dans son royaume, il expédie ses propres compatriotes féminines au fourneau et au lavoir pendant qu'il couvre les Polonais mâles de galons et d'épaulettes.
La mentalité esclavagiste, particulièrement impitoyable envers la Femme, de l'actuel empereurpontife du Vatican, est commune à tous les insulaires de Papimanie, à l'exception de quelques dissidents

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Faisons une petite révision du dernier siècle de corruption politique et monétaire...

Depuis la disparition de ses États, en 1870, la Rome impériale papale a d'abord clopiné pendant quelques décades. Elle a été ensuite ragaillardie par une puissante transfusion d'argent en 1929, obtenue aussi frauduleusement que les premiers États Pontificaux eux-mêmes ont été constitués douze siècles auparavant, puisque Pie XI vend à l'Italie des territoires qui n'ont jamais été la propriété légitime de « l'Église romaine » mais bel et bien le patrimoine de l'Italie.

Du même coup, Ratti (Pie XI) extorque du gouvernement fasciste de Mussolini, en quête de sa bénédiction papale, le statut d'État que « l'Église romaine » avait perdu depuis 1870. «L'État de la Cité du Vatican » est aussi illégitime et immoral que les défunts États Pontificaux, dont il prend la relève politique, parce qu'il a pour fondement de son existence les mêmes antécédents mensongers et parce qu'il est aussi superflu, coûteux et nuisible à la propagation du christianisme que le furent les États Pontificaux.

Profitant donc de la grande crise économique et de la chute consécutive des marchés boursiers de 1929 et 1930, « l'Église romaine», plutôt que de secourir les victimes de la misère, repart à la conquête du monde, sur le plan financier cette fois. Tout en continuant, comme toujours, à jouer le jeu de « la religion ».
Les milliards de lires italiennes suffisant d'autant moins à l'appétit «romain» qu'elles subirent des pertes, la Banque du Vatican commande à la mafia étatsunienne, en 1971, presqu'un milliard de dollars, en faux titres (l'usage de faux étant bien enraciné dans « l'Église romaine » depuis Christophore). D'autres scandales financiers ont suivi.

Apparemment, un petit homme simple et honnête a cherché, en 1978, à voir clair dans cet antre de ténèbres, ainsi que quelques rares de ses prédécesseurs depuis 752 l'avaient tenté en vain avant lui. Il est mort « mystérieusement » au bout d'un mois.
Son successeur, lui, donne asile à des suspects de multiples transactions malhonnêtes dans lesquelles la Banque du Vatican a trempé. Il a même promu le premier en liste de ces suspects, Marcinkus, et il bloque les enquêtes policières à la porte de son État politique.

Quoi qu'il en soit, l'ex-comédien de Cracovie, qui pleure si opportunément et baise tous les pavés du monde devant les caméras de la télé, est aussi un auteur dont le succès en librairie de son seul livre est mille fois suffisant pour se payer le luxe de cinq servantes polonaises.

En effet, titre La Presse du 30 mai 1986 : « Zappia porte un roman du pape à l'écran ». Le journal en question précise ensuite : "L'homme d'affaire joseph Zappia, devant les tribunaux depuis des années dans une affaire touchant le Village olympique de Montréal, ... contre qui pèsent huit chefs d'accusation, ... est l'un des producteurs d'un film, tiré du roman « La boutique de l'Orfèvre », écrit dans les années '50 par le prélat polonais Karol Wojtyla, aujourd'hui le pape Jean-Paul Il". ... « Sortie en librairie en 1960, l'oeuvre ... traduite en une vingtaine de langues, s'est depuis vendue à quelque 80 millions d'exemplaires ».
Dans ma bibliothèque j'ai, aussi, un exemplaire du « chef d'ceuvre » de « Karol Wojtyla - Andrzej Jawien » (son pseudonyme), acheté au coût de 8,40 $ plus taxes, pour ses 81 pages, aux « Éditions Paulines » à Montréal.

Remarque initiale : La première phrase du troisième paragraphe en page 9, de l'avant-propos signé par jean Offredo, se lit comme suit : « Karol Wojtyla est un homme de théâtre. Il fut l'un des premiers acteurs du Théâtre Rhapsodique, créé dans la clandestinité en 1941 à Cracovie, par un autre enfant de Wadowice, sa ville natale, Miczoyslaw Kotlaczyk ».

Wojtyla est bel et bien un comédien. Je n'ai pas inventé ça, ni rien d'autre. Un pape acteur : voilà qui est inquiétant à propos de la sincérité de ses paroles, de ses gestes et de tout son comportement. Même ses silences peuvent devenir suspects de complicité.

Deuxième remarque : « L'homme d'affaire joseph Zappia, devant les tribunaux depuis des années ... est l'un des producteurs d'un film tiré du roman «La boutique de l'Orfèvre» ...
Pourquoi faut-il que toujours, ou très souvent, on trouve une ou des personnes ayant des démêlés devant les tribunaux, ou étant sous enquête, qui ont des relations étroites avec le Vatican ?

Troisième remarque : « Sortie en librairie en 1960, l'oeuvre ... s'est vendue depuis à quelque 80 millions d'exemplaires». À seulement un dollar pièce à l'auteur ou à une compagnie formée par lui pour encaisser les droits d'auteur, on arrive à 80 millions$. À seulement vingt-cinq sous l'exemplaire, à 20 millions$. Wojtyla, le comédien, a-t-il confié l'administration de cette fortune à son ami américain Marcinkus ? Ou en a-t-il fait don à des oeuvres de charité ?

Si saint Pierre savait ça ...

Du côté du «romanisme, les choses en sont là, au même point qu'il y a des siècles, sauf que « l'Église romaine » n'a plus le pouvoir de tuer en public. Le cardinal Pericle Felici, l'un des protégés de Wojtyla, a bien précisé, il n'y a pas si longtemps, mais rappelonsle, que sa bande n'avait nulle intention de lâcher prise : « Les évêques du monde veulent les clés du gouvernement de l'Église ? Eh bien, évidemment nous les leur donnerons ... et nous changerons ensuite les serrures ». La mentalité est toujours la même depuis Étienne II.
D'autre part, pendant que le «romanisme » est demeuré figé dans son impérialisme dictatorial millénaire avec toutes ses méthodes malhonnêtes, l'humanité, elle, a évolué à partir du jour où l'imprimerie a été inventée et, de façon plus accélérée encore, depuis que la Révolution française a remis à la mode trois mots-idées que Jésus-Christ prêchaient dans le langage de son époque : liberté, égalité, fraternité.

Quant au christianisme et à la religion dite « catholique » leur survivance ne fait pas l'ombre d'un doute. L'évêque Romero et Gandhi et Martin Luther King, tous trois assassinés en sont les témoignages. Mais le christianisme n'a cessé d'être lourdement handicapé depuis que les évêques de Rome ont commencé à se gonfler d'orgueil au quatrième siècle et surtout depuis la fondation de « l'Église romaine » quelque quatre cents ans après, celle-ci perpétuellement confondue avec « christianisme » et « catholicisme » qui ne cessent d'être éclaboussés par toutes les saloperies du «romanisme ». La confusion demeure telle que j'ai trouvé il y a quelques années, dans le cendrier d'un restaurant de Montréal, une petite carte, sans doute distribuée à des milliers d'exemplaires, sur laquelle était imprimé : «Catholique du Canada, oui ... catholique de Rome, non». Erreur : il n'y a pas de «catholique» dans «l'Église des Romains»; il n'y a que des endosseurs et des profiteurs de tous les crimes commis depuis 754. Ce que le ou les auteurs et propagantistes de ce message voulaient sans doute signifier est : « Catholique, oui ... « Romain », non ».

351-354

 

Conclusion

Le règne de Benoît XVI sera court, sa santé étant précaire et son rôle aussi. Il ne se rendra pas en 2012. Comme il faut inverser les affirmations des Illuminati pour en comprendre leur sens réel, l'unification de l'Église romaine qu'il prône virera en déchirement entre male et femelle du clergé et une division totale entre les intégristes/fondamentalistes catholiques et les progressistes chrétiens prévaudra la naissance d'une guerre des religions mondiales, chacun voulant tenir son bout du bâton et se refusant d'accepter les règles, prophètes et commandements des autres. La terre s'entretuera pour savoir qui avait le "bon" Dieu.

On dit de lui que c'est un grand théologien. Le pauvre. S'il avait vraiment posséder quelques rudiments ou vraies connaissances dans la science de Dieu, il aurait su depuis longtemps que la religion chrétienne en est une d'astrothéologie comme bien d'autres, que les évangiles rafistolés du 3e siècles sont des faux et que l'histoire de Jésus les a rendu très riches et puissants. Beaucoup d'apôtres étaient mariés dans l'histoire des évangiles et jamais Jésus n'a prétendu forcer les apôtres à pratiquer le célibat. Le fait que Ratzi ne veuille pas des femmes en prêtrise ou de prêtres mariés fera qu'il perdra beaucoup d'adeptes. Évidemment le pape qui lui succédera nous fera oublier celui-ci et instaurera avec les autres chefs religieux un premier exposé de la future religion universelle. Le Dalaï Lama sera sûrement de la photo avec le révérend Moon, Billy Graham et Pat Robertson. Et qui sait Raël tant qu'à y être ! La farce des religions continue. Heureusement que je n'ai pas besoin de cette maladie pour être un être moral de compassion, de respect et d'entraide envers mes prochains et la créations. L'amour n'appartient pas à la religion. Elles est un état d'être et non une institution

Imaginez, si'il s'agissait de lui, le fait qu'il devait s'appelait Retinger...
Extrait de Jan Van Helsing "Sociétés Secrètes" page 170...

ci-bas, photo de Kovenbach.

extrait : Le général des Jésuites (le chef) est si puissant qu'il est appelé le "PAPE NOIR".

D'autres loges secrètes infiltrèrent en force l'Eglise catholique pendant la Deuxième Guerre mondiale. Ce fut le cas, entre autres, de l'OSS (le précurseur de la CIA), du MI6, des membres du "BLACK NOBILITY" italien, des francs-maçons et de la loge P2 (Propaganda Due) ; toutes ces loges étaient sous la protection du "Comité des 300". La loge "P2" est la loge franc-maçonnique la plus influente en Italie. La "GRANDE LOGE DU VATICAN" y est annexée, c'est elle qui fut a l'origine du "Scandale P2" en 1976 lorsqu'une liste des membres de la loge fut produite au Vatican avec les noms et les dates d'entrée de 121 grands dignitaires ecclésiastiques avec, parmi eux, des cardinaux de la curie, des achevêques, des évêques, des prélats et des laïques. On fit une vraie chasse aux sorcières pour trouver ceux qui avaient publié cette liste au lieu de demander des comptes aux personnes citées sur cette liste. Tout commentaire est superflu.

Entre autres noms, celui du secrétaire d'Etat du cardinal Jean Villot, du ministre des Affaires étrangères du Vatican Agostino Casaroli, du cardinal Sebastiano Baggio, du cardinal Ugo Poletti et du chef de la banque du Vatican, l'évêque Paul Marcinkus.

Les Illuminati soutiennent, comme nous avons pu le constater, les deux camps des nations en guerre. Ce fut de plus en plus évident à la fin de la Deuxième Guerre. Allen Dulles (chef de la CIA), par exemple, avait des rencontres secrètes avec le chef des SS Gehlen.

On s'arrangea pour faire passer des officiers SS en Suisse sous le couvert de l'Eglise catholique. Quelques officiers SS prirent le titre de prêtres et furent conduits dans d'autres pays, surtout en Argentine, au Paraguay et aux Etats-Unis. Après la guerre, Gehlen reçut la mission de prendre en charge la "RADIO DE L'EUROPE LIBRE". Beaucoup de SS furent intégrés dans la CIA à cette même époque.

Un autre membre intéressant du "Comité des 300" fut Joseph Retinger (Ratzinger ?). La CIA lui apporta son soutien après la guerre afin qu'il puisse conclure des contrats avec le Vatican. Il gagna, entre autres, à sa cause la Dr Luigi Gedda, conseiller médical du pape Pie VII et dirigeant des activités catholiques. Gràce à lui, il réussit a consolider ses relations avec le pape Paul VI qui avait déjà collaboré auparavant avec l'OSS (Office of Strategic Services = Bureau des services stratégiques), organisation qui allait devenir, plus tard, la CIA.

Retinger rencontra aussi le prince Bernhard des Pays-Bas, le Premier ministre italien, Sir Collin Grubbin, directeur de la SOE (Special Operations Executive, service secret britannique) et le directeur de la CIA, le général Walter Bedell.

Le PRINCE BERNHARD était chez les SS avant la guerre et obtint, ensuite, un emploi à la I. G. Farben. Par la suite, son mariage le lia à la maison Orange-Nassau et il occupa un poste dans la compagnie Shell Oil. Le petit groupe de de personnes citées ci-dessous se rencontra en mai 1954 à l'hôtel "De Bilderberg" à Oosterbeek, en Hollande, ce fut le noyau du groupe qui devait être connu, plus tard, sous le nom de "Bilderberger". Le prince Bernhard des Pays-Bas, membre du Comité des 300, fut le premier directeur des "Bilderberger" (voir ci-après).

Le cardinal Spellman fut une des personnes de la CIA qui eut une influence importante dans l'Eglise catholique. Spellman soutint, entre autres, la CIA lorsque celle-ci renversa la démocratie au Guatemala en 1954. Ce fut lui aussi qui introduisit le père Paul Marcinkus de Chicago auprès du pape. En 1971, Marcinkus devint archevêque et chef de la BANQUE DU VATICAN. Il développa aussi d'étroites relations avec Michele Sindona, membre de la loge franc-maçonnique P2, et avec Roberto Calvi. Le grand maître de la loge P2 était Licio Gelli. Calvi, chef de la BANQUE D'AMBROSIANO, aida le Vatican à transférer plus de 100 millions de dollars au mouvement "Solidarité" en Pologne. Il fut mêlé, plus tard, au grand scandale de cette banque. En 1982, on trouva son corps suspendu au pont Blackfriars à Londres. Dans chacune de ses poches se trouvaient deux briques et ses jambes étaient garrottées en angle droit. C'était un meurtre rituel chez les francs-maçons. Mais les journaux passèrent outre ces détails. Sindona devint conseiller a la Banque du Vatican. La loge P2 avait de nombreuses relations avec le Vatican, l'Opus Dei et la CIA, et de ses membres occupèrent des postes élevés dans le gouvernement italien.

En janvier 1966, le magazine "Look" publiait cet article :
"Comment les Juifs réussirent à modifier la pensée de l'Eglise catholique". On y décrit avec force détails les négociations secrètes entre la loge juive B'NAI B'RITH et le cardinal Bea, représentant de l'Eglise catholique. Le Vatican est probablement la plus riche organisation du monde. Une grande partie de son capital se trouve dans les banques Rothschild. Il ne fait aucun doute que le Vatican fut repris au cours des années par le "Comité des 300", ce qui explique les fréquentes visites de Bush, Gorbatchev et d'autres chefs d'Etat chez le pape. (108)

Et ces exemples ne montrent que la pointe de l' "iceberg-Vatican". Un autre exemple : celui de l'assassinat du pape Jean XXIII. L'annonce de sa mort parue par erreur un jour trop tôt dans le quotidien mexicain "El Informador", publié par la grande loge des francs-maçons de l'ouest du Mexique (l'annonce fut publiée le 3 juin 1963, pape Jean mourut le 3 juin 1963 à 19h49). (109)

Un livre interressant à ce sujet : "Im Namen Golles" (Au nom de Dieu) de David A. Yallop.

Le PAPE JEAN PAUL II (le pape actuel) a, lui aussi, un passé interressant et digne d'être mentionné. William Cooper qui a travaillé douze ans pour la "Naval Intelligence" (service secret de la Navy) écrit dans son livre "Behold a Pale Horse" qu'il aurait travaillé pendant la Deuxième Guerre en Allemagne pour I. G. Farben à la production du gaz pour les chambres à gaz des camps de concentration. A la fin de la guerre, de peur d'être exécuté pour avoir collaboré à des crimes de guerre, il se serait enfui en Pologne sous la protection de l'Eglise catholique. Il y serait resté et aurait eu une carrière semblable à celle d'Eisenhower, si ce n'est que cela dura un peu plus longtemps avant qu'il ne soit élu cardinal Wojtyla et qu'il ne devienne pape. (110)

Il remercia aussitôt ses amis en levant le 27 novembre 1983 l'excommunication de tous les francs-maçons, notifiée dans le "Codex luris Canonici". Le pape actuel connaît intimement le langage secret franc-maçonnique, la "poignée de main des francs-maçons" (une pression de la main particulière qui permet aux initiés de se reconnaître entre eux) mais aussi son discours lors d'une audience le 15 septembre 1982 en sont des preuves "manifestes" : A propos de la mort du président libanais Gemayel, il parlait de Jérusalem, la ville de Dieu. Il dit mot à mot : "Jérusalem peut devenir aussi "la cité de l'homme" (City of man)". La "cite de l'homme" est un mot-clé des Illuminati pour la dictature mondiale.

Le 18 avril 1983, le pape reçut toute la "COMMISSION TRILATERALE" c.-à-d. environ 200 personnes, pour une audience. (111)

Cette organisation secrète fut fondée en juin 1973 par David Rockefekker et Zbigniew Brzezinski puisque les organisations établies, comme l'ONU ou d'autres, mettaient trop de temps à instaurer le "gouvernement mondial". La commission trilatérale, organisation élitaire, a pour but de réunir en un seul groupement les géants les plus éminents de l'industrie et de l'économie, donc des nations trilatérales - des Etats-Unis, du Japon et de l'Europe de l'Ouest - pour créer de force et une fois pour toutes le "Nouvel Ordre Mondial". Elle offre à l'élite venant d'horizons divers de la franc-maçonnerie la possibilité d'une collaboration secrète à l'échelle mondiale. Elle doit aussi permettre aux "Bilderberger" d'élargir leur influence en leur donnant une base politique plus large. La plupart des membres européens ont, depuis longtemps, des contacts avec les Rockefeller. La Commission trilatérale se compose de 200 membres environ qui sont, contrairement aux membres de Bilderberger, permanants.

Vous pouvez bien imaginer que le PAPE JEAN PAUL II n'a pas invité tous ces gens pour une tasse de thé.

Mais il existe aussi le Dr. Joseph Retinger. Assez intéressant et surprenant ce que j'ai découvert sur cette page à propos du Vatican. Malheureusement elle est en anglais et fournie d'informations qui se confirment tous. Si vous avez un bon traducteur...

From: “The Messianic Legacy” by Lincoln Leigh Baigent

Chapter 24 “Secret Powers Behind Covert Groups”

page 347 Subtitled “Moves By The CIA”

The man perhaps most responsible for initiating interest in United Europe Movements was Count Richard Coudenhove-Kalergi, who had founded Pan-Europa in 1922 as The Pan European Union. Although it accomplished little on a practical level, Pan-Europa, in the period between the wars, was a prestigious organization. Its membership included a number of esteemed political figures, such as Leon Blum and Aristide Briand in France and Eduard Benes in Czechosolvakia, as well as Winston Churchill. The membership also included Albert Einstein, and such cultural luminaries as Paul Valery, Miguel de Unamuno, George Bernard Shaw and Thomas Mann.
Driven out of Austria by the German Anschluss of 1938, Coudenhove-Kalergi, in 1940, fled to the United States. Here he lobbied tirelessly for his Pan-European ideal, insisting that European unity must be a priority for American Policy after the war. His efforts served to convince a number of important American political figures, such as William Bullitt and Senators Fullbright and Wheeler. When America entered the war, some of Coudenhove-Kalergi’s thinking offered a blueprint for action. It was to be adopted as such by the OSS, precursor of the CIA.
The OSS, or Office of Strategic Services, was created in emulation, and with the aid of, Britains MI6 and SOE. Its first director was General William (Wild Bill) Donovan. Donovans agents were to provide the nucleus for the post war CIA. One of them, Allen Dulles, became director of the CIA from 1953 until the Bay of Pigs debacle forced him to resign in 1961. During the war, Dulles had been based in Switzerland, and he maintained the contacts he had made there with Helmut James von Moltke and the Kreisau Circle.
As director of the OSS, William Donovan was quick to realize the potential significance of the Vatican to intelligence operations. Thousands of Catholic priests were also serving as chaplains in the armed forces of every combatant nation. The network was already engaged in intelligence activity, passing vast qualtities of information back to the Vatican’s own internal intelligences department. One of the four section leaders of Vatican Intelligence was Monsignor Giovanni Montini--later Pope Paul VI. Donovan therefore undertook to establish close links with the Vatican.
Shortly after Americas entry into the war, Donovan forged an alliance with one Father Felix Morlion, founder of a European intelligence service called Pro Deo (For God), based in Lisbon. Under Donovan’s auspices, Pro Deo moved its headquarters to New York, and the OSS undertook to finance its operation. When Rome was liberated in 1944, Donovan and Father Morlion proceeded to install Pro Deo in the Vatican itself. Here, it was particularly well situated to draw on information from Catholic priests who had been, or were still, in Germany or with German Armed Forces. The Jesuits, with their sophisticated training, rigorous discipline and tight knit organization, proved an especially valuable source of intelligence material.
In the period following the war, the United States hastened to capitalize on the apparatus Donovan had established, particularly in Italy. in 1948, with Italian elections scheduled, the newly formed CIA embarked on a complex clandestine operation to preclude any prospects of a communist victory. Under the auspices of James Angleton, Former OSS station chief in Rome, and later CIA head of counter-intelligence, millions of dollars were covertly filtered to the Christian Democrats, while additional funds were pumped into newspapers and other vehicles of propaganda. This procedure was also used to good effect in France.
As stated (Earlier in chapter than is covered here),
Dr. Joseph Retingers trip to the United States on behalf of the European Movement led, on March 29 1949, to the creation of the American Committee on a United Europe, or ACUE. Its chairman was William Donovan. Its vice chairman was the former OSS head of Station in Switzerland, Allen Dulles. Its secretary was George S. Franklin, who was also director of the private council on Foreign Relations and subsequently became a co-ordinator of the Trilateral Commission. The executive director of ACUE was a serving CIA operative, Thomas Braden, then chief of the Agency’s International Organizations Department. Under the auspices of these men, ACUE decided to underwrite the European Movement of Joseph Retinger. Funds from American State Department sources were discreetly filtered to the European Movements Brussels headquarters. As the Soviet Union extended its influence across Eastern Europe, the epoch of the ‘Cold War’ began. Conceived originally to foster European Unity, the European Movement was gradually being conscripted to help build a ‘bulwark against communism’--and this bulwark conduced to the atmosphere in which clandestine organizations flourished.
Now partially financed by the CIA, Joseph Retinger and other members of the European Movement forged ties with Prince Bernhard of the Netherlands, with the Italian Prime Minister and with Sir Colin Gubbins, former director of Britains SOE. Together with the then director of the CIA, General Walter Bedell Smith, this group proceeded to create a think tank which met for the first time in May 1954 at the Hotel de Bilderberg, in the Dutch town of Oosterbeek. Thus arose the Bilderberg Conferences.
In the meantime, the CIA had been proceeding on its own initiative as well, embarking on a large-scale program of covert action to support any institutions that might help consolidate the ‘bulwark against communism’. Political leaders, political parties and pressure groups, unions, newspapers and publishers were all heavily subsidised, providing their orientation was sufficiently pro-western and anti-communist. During the 1950’s, an average of between twenty and thirty million dollars a year was reportedly spent in Italy to support cultural activities, youth schemes, publishing ventures, and Catholic groups of one kind or another. Enterprises sponsored by the church, including missions and orphanges, were often co-funded by the CIA. CIA money was dispensed to many bishops and monsignors, one of whom was the future Pope Paul VI. And needless to say, The Christian Democratic Party in Italy remained a particuilart focus of attention. In fact the future Popes father, Georgio Montini, was co-founder in 1919 of the party which became the the Christian Democratic Party, and his elder brother was a Christian Democrat Senator.
Dr. Joseph Retingers CIA-sponsored European Movement was also active in Italy, further consolidating the bonds between the American Intelligence agency and the Vatican. Retinger enlisted the support of Dr. Luigi Gedda, an old personal friend, who was medical advisor to Pope Pius XII and also head of Azione Cattolica, or Catholic Action, the power behind the Christian Democratic Party. Through Gedda, Retinger was also able to conscript the services of the future Pope Paul VI, and Catholic Action became another primary recipient of CIA funds.
The rapport between the CIA and the Vatican became closer in 1963, when Pope John XXIII died and was succeeded by Paul VI, formerly Giovanni Montini, Archbishop of Milan. As we have noted, Montini was already associated with the agency and had already received funds from it. Even during the war, he had worked with the American intelligence services, passing information to and fro between the Vatican and the OSS. After the war, as Archbishop of Milan, he turned over to the CIA comprehensive dossiers on politically active priests. These were to be used to influence the Italian elections of 1960.
The relationship between the Vatican and the CIA has continued to the present. According to Gordon Thomas and Max Gordon-Witts, there occurred, in November 1978, a private meeting between Pope John Paul II and the CIA’s station chief for Rome. As a result of this meeting, an accord was reached whereby the Pope was to receive regular weekly intelligence briefings from the CIA. What the CIA received in return was not specified, but one can make an educated guess.

Cardinal Spellman.
Another of the CIA’s most influential allies within the church was Cardinal Francis Spellman of New York. In 1954, he acted directly for the CIA in Guatemala, helping to stage a coup there which was orchestrated by the agency. But Spellman was also deeply involved in affairs in Italy. He played a crucial role in obtaining large sums of US Government ‘Black Money’ for the use of the Catholic Church. He was intimately associated with Bernardino Nogara, the mastermind behind the Vatican Bank, and with Count Enrico Galeazzi, who with Michele Sindona watched over Vatican investments and banking in the early 1960’s. And it was Cardinal Spellman who, in 1963, first brought to the Pope’s attention Father Paul Marcinkus of Chicago. By 1971, Marcinkus, now Archbishop, was head of the Vatican bank, a close friend of P2 members such as Michele Sindona and Roberto Calvi, and an alleged member of P2 himself.

The origins of the Masonic Lodge P2 are obscure, but it is believed to have been formed in the early 1960’s (Probably much earlier--ours). Whatever its original priorities and objectives may have been, its ultra right wing grand master, Licio Gelli, had soon brought it into the phalanx of groups and organizations which constituted the ‘bulwark against communism’. Certain of its members received generous CIA subsidies. And through individuals such as Calvi and Sindona, P2 provided a means of furnishing anti-communist institutions in Europe and Latin America with both Vatican and CIA funds. Calvi also claimed that he personally had arranged the transfer of 20,000,000.00$ of Vatican money to Solidarity in Poland, although the overall total sent to Solidarity is believed to be in excess of 100,000,000.00$. Prior to his indictment for murder, Michele Sindona was not only P2’s financier, but the Vaticans investment counsellor as well, helping the Church to sell its Italian assetts and re-invest in the United States. His services for the CIA including passing funds to ‘friends’ in Yugoslavia, as well as to the Greek Colonels prior to their seizure of power in 1967. He also channelled millions of dollars into the funds of the Christian Democrats in Italy.
When the existence of P2 first made international headlines in 1981, the scandal surrounding its stranglehold on the upper echelons of government, police, and finance was focused primarily on Italy. According to David Yallop, however:
...there are still branches functioning in Argentina, Venezuela, Paraguay, Bolivia, France, Portugal, and Nicaragua. Members are also active in Switzerland and the USA. P2 interlocks with the Mafia in Italy, Cuba, and the USA. It interlocks with a number of military regimes of Latin America, and with a variety of groups of neo-fascists. It also interlocks very closely with the CIA. It reaches right into the heart of the Vatican. The central common interest of all these elements is apparently the hatred and fear of communism...

It is now generally acknowledged that P2, however influential and powerful it may have been (!) Was, (And probably still is)controlled by some even higher, more shadowy authority, which transmitted its instructions through Licio Gelli, The Lodges Grand Master. According to an Italian parliamentary commission, the organization behind P2 lay ‘beyond the frontiers of italy’. There has been much speculation, both plausible and otherwise, about this organization. Some have identified it as the American Mafia. Some have suggested the KGB, or some other intelligence agency from Eastern Europe. Some have even suggested the Prieure de Sion. In 1979, however, a defector from P2 -- a journalist named Mino Pecorelli -- accused the CIA. Two months after this accusation, Pecorelli was murdered.
In March 1981 Italian Police raided Licio Gelli’s villa. they discovered comprehensive lists of the Lodge’s membership. They also discovered an index to Licio Gelli’s files -- although the files themselves had vanished, apparently being of greater importance than the membership lists. Some of the headings in the index were published in Italian newspapers. They included Opus Dei. They included Giulio Andreotti, currently Italian Foreign Minister and alleged, in a document we received, to be a member of Prieure de Sion. And they included the organization known officially as the soverign and Military Order Of The Temple Of Jerusalem -- the organization, that is, which today claims a direct lineal descent from the Knights Templar.
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What? the land of the free?
Whoever told you that is your enemy...

Yes I know my enemys
They're the teachers who taught me to fight me
Compromise
Conformity
Assimilation
Submission
Ignorance
Hypocrisy
Brutality
The Elite

All of which are American Dreams
All of which are American Dreams

Rage Against The Machine

LES ORIGINES DE LA CROIX DE MALTE
REMONTENT AUX ANNUNAKIS

Knights of Malta


Chevalier Templier

The Sovereign Military Order of Malta, also known as the original Sovereign Military Order of St. John of Jerusalem, is a closed fraternity of the Roman Catholic Church. Its initiated members must be Catholic and have served in the military. They participate in secret ceremonies and feudal ritual dress, and embrace a strong class/caste mentality as part of their initiation into Rosicrucian dogma.

The upper grades are fastidiously aristocratic and must be able to display a family coat-of-arms dating back at least 300 years in unbroken succession from father to son. The Sovereign Grand Master of the order is recognized as a head of state, and his authority is ensured by his secular ranking as a Prince, and his ecclesiastical ranking as a Cardinal. Under international law this organization has independent Sovereign status, which assures nationalistic loyalty from its members, above and beyond allegience to their own country--they also have Permanent Observer status at the United Nations. The current Grand Master, Andrew Willoughby Bertie, is descended from Mary Stuart (Mary Queen of Scots) which places him firmly in the Sion/Grail historical scenario.

The order and its members have been proven to be linked with the "Rat Run", the post-WWII escape route used by high-ranking Nazis and death camp scientists from defeated Germany to the Americas. Sovereign Knight of Malta passports were issued with false identities that allowed escape from prosecution for war crimes. Perversely, after the war the order's highest decoration, the 'Grand Cross of Merit', was awarded to Nazi General Reinhard Gehlen, Hitler's Eastern Front intelligence chief, who was highly complicit in the atrocities carried out by the Nazis in Russia and Eastern Europe - mainly the unprecedented slaughter of Jews and civilian Slavs.

The brotherhood's Catholic and aristocratic roots made the modern knights fervently anti-communist. The order has been largely responsible for the construction of the CIA, and many of its global covert operations. The founding fathers of the CIA William "Wild Bill" Donovan and Allen Dulles were knights, as were many other CIA hierarchy including Ronald Reagan's director William Casey and JFK's director John McCone. According to "Watergate" journalist Carl Bernstein, Casey gave Pope John Paul II unprecedented access to CIA intelligence including spy satellites and agents.

In fact, one could blame the start of the Cold War upon "Wild Bill" Donovan personally. At the end of the First World War Donovan led a secret mission to Siberia to observe the Russian Revolution. Due to his reconnaissance an American unit was sent to fight the Russian Bolsheviks who were broadly considered Allies, as they were still fighting the Germans alongside the British and the French in the trenches of Europe. The American troops could not understand why they were being ordered to burn the villages and kill "these poor and hungry peasants, who've been treated so terribly by their rulers", as one "doughboy" wrote to his wife. It is historically un-American to side with the aristocratic powers of Europe against the common man. Donovan's motives for fighting the Bolsheviks could only have been due to his Vatican/Knights of Malta allegiances, as at this time the Russian Revolution was no threat to the American Republic. As a consequence in July 1944 Pope Pius XII awarded Donovan the 'Grand Cross of the Order of St. Sylvester', the oldest and most prestigious of papal knighthoods, and the highest Catholic award ever received by an American. Less than one hundred men have received this award throughout history.

The Knights of Malta's key spheres of control are Africa and Latin America, and include many dictators such as mass murderer General Pinochet in their ranks.

Membership in Latin America includes Masonic lodge "P2" fascists and many surviving Nazi players, who are directly responsible for the formation of the modern neo-Nazi movement. Knight and Nazi escapee Otto "Scarface" Skorzeny, who led a commando raid on the Cathar region of France in search of occult artifacts including the Holy Grail, played a major role in the Vatican's "Rat Run". He was a close friend of Argentinian president and knight Juan Peron, who recent CIA documents prove was also involved in the laundering of Nazi gold through the Vatican Bank. Conveniently for Nazi members who did not escape Europe, William Donovan served as chief aide to the American prosecutor at the post-war Nuremberg trials, after handing over the reigns of the OSS/CIA to fellow knight Allen Dulles.

As Roman Catholic author Penny Lernoux reveals in her "People of God": "After the war, the Vatican, the OSS, the SS, and various branches of the Sovereign Military Order of Malta joined to do battle against the common Soviet enemy - and to help Nazi war criminals escape... Baron Luigi Parrilli, an Italian aristocrat and Knight of Malta/papal chamberlain, took part in negotiations between SS leaders and the CIA's Allen Dulles."

Prior to working for the OSS (he headed the OSS station in Switzerland during the war) Allen Dulles and his law partner John Foster had served as business managers and lawyers to John D. Rockefeller's Standard Oil. They personally brokered the partnership between Standard Oil and I.G. Farben chemical corporation. I.G.Farben not only produced gasoline for the Nazi war machine, it manufactured "Zyklon B", used slave labor before and during the war (including their huge petro-chemical factory adjacent to Auschwitz death camp), owned Bayer Pharmaceuticals which according to a current lawsuit was directly involved in Dr. Josef Mengele's horrific Auschwitz experiments, and was spared from Allied bombings due to its Rockefeller interests. Leading war-time journalist George Seldes attempted to reveal this "unholy alliance" through his newspaper articles, but was rarely published at the time, and efforts were made to kill him. Joseph Heller's satirical novel "Catch 22" made light of this insanity with his "we agreed to bomb our own bases in return for the Nazis buying our chocolate covered cotton".

As the Cold War intensified, former Vatican agent and knight Joseph H. Retinger, acting on behalf of the Vatican and the Priory of Sion, effectively forged ties with the European Council of Princes (the respectable name for the Dragon Sovereignty), the CIA, and Britain's MI6 to create the New World Order think-tank "The Bilderberg Group", of which Henry Kissinger is a permanent member. It's first chairman was Prince Bernhard of the Netherlands, who held that position for the next 22 years, until a financial scandal forced him to resign. His daughter, Shell Oil co-owner Queen Beatrix regularly attends meetings, as do ample other European aristocratic players. The undemocratic "Bilderberg Group" continues to play a major part in international affairs, and remains closed to public scrutiny and participation.

Documents show that New York's Cardinal Francis Spellman was directly involved in the 1954 right-wing military coup of Guatemala, which led to the murder of thousands, and of which the CIA has acknowledged complicity. He has also been linked to neo-Nazi group "P2" and the Mafia by his long involvement with "P2" member Archbishop Paul Marcinkus of Chicago, former head of the Vatican Bank, who was under serious suspicion by Italian authorities for the untimely death of Pope John Paul I. Cardinal Spellman was not only an old friend of CIA creator "Wild Bill" Donovan (who previously had a law firm in New York) but was the actual head of the Knights of Malta in America throughout the 40's, 50's and 60's, and was responsible for vast sums of money raised from its members, who have to pay thousands annually to remain in the order.


Anciens de l'Inquisition

The Sovereign Military Order of Malta (SMOM) are ideologically and historically allied with international Freemasonry, ultimately sharing the same goal of bloodline supremacy, whether their members accept this or not. The Masonic grades of The Knight of Malta and The Knight Templar are the Rosicrucian upper-degrees of Freemasonry, and clearly reveal their heritage.

According to "Knights of Darkness" author Francois Hervet: "Freemasonry generally purports to be hostile to Catholicism... nevertheless in December of 1969 an exclusive meeting was held in the Rome office of Count Umberto Ortolani, the ambassador of the Knights of Malta to Uruguay, who has been called 'the brains' behind the "P2" Masonic lodge. In addition to Ortolani, the meeting included only Licio Gelli, Roberto Calvi, and Michele Sindona"; all of whom have been implicated in the death of Pope John Paul I and massive bank fraud.

Ironically, in recent years a belief in the Catholic faith has not been an essential prerequisite for potential members who have the right connections. Non-aristocratic parties can now be initiated by the "Magistral Grace" of the Grand Master, although not in Britain, Germany and other European countries with a strong tradition of nobility. However, this has allowed many Americans to join, and an "Order of Merit" is bestowed upon those who have outstandingly served the Knights or their works. Past Presidents Ronald Reagan and George Bush are such honorary initiates, and Reagan was the toast of an extravagant dinner held by the Order in 1989.

With more than 11,000 knights worldwide, the Grand Master and Sovereign Council remain based in Rome. Their goal of political Feudalism is clearly seen in the actions of Prince Hans Adam II, the Habsburg-supported ruling monarch of Liechtenstein, and a prominent Knight of Malta and member of the Vatican's Opus Dei, who in October 1999 was reprimanded by the European Court of Human Rights for claiming he had final constitutional authority over his country's Supreme Court. While recent successful attempts at maneuvering Europe towards accepting a European President have been led by Knight of Malta Gistard d'Estaing, and backed by Britain, France, Germany, Italy & Spain.

The Protestant equivalent of the Catholic Knights of Malta, also known as the Order of St. John of Jerusalem, gained greater credibility when the head of the British Empire HM Queen Victoria became their Sovereign Head in 1888. This Order of St. John, whose current Sovereign Head is HM Queen Elizabeth II, similarly use the Cross of Malta insignia as their emblem. While they too claim that charity and protecting the poor are their main cause, this has been used as a tool of Western Imperialism for the last 1000 years, and began with the first Crusades to occupy Jerusalem. These "charitable concerns" are unlikely to take precedence over their secret historical agenda--the fulfillment of the prophecies of St. John the Divine, whose Revelation acts as a political template for these historically-intoxicated and reactionary-minded organizations. It is additionally disturbing that the Protestant Order of St. John was recently granted non-Governmental membership of the United Nations. Like its Catholic counterpart, this UN position gives the Protestant Order greater access to UN decision-making and vulnerable developing countries. Undoubtedly, the interests of the Vatican, the British Crown, and its Rosicrucian fraternity, will take precedence over any genuine aid offered to the world's poorest and needy.



The unusually shaped Cross of Malta was the original emblem of the controversial Knights Templar, and was adopted as the official insignia of the Knights of Malta, when the Knights Templar were forced to submit to the authority of the Vatican.

Occult initiates will discover that just like the inverted pentagram or five-pointed star, the Cross of Malta is similarly a cryptogram for the Goat of Mendes, the androgenous Templar idol Baphomet, representing the goat's beard and horns.

This is the symbol of ruling matter and spirit by the Will, and the controlled magickal direction of sexual energies.

Past Grand Masters of the Knights of Malta, including Manuel de Fonseca, are known to have been initiates of the Templar tradition, and according to the Dragon Order's current Sovereign Grand Master Prince Nicholas de Vere von Drakenberg, who is a direct descendant of the originator of the Knights Templar Godfroi de Vere de Bouillon, the Templars were "a Satanic order, whose rituals included infanticide, sodomy and witchcraft".