|  Projet du Suroît
    à Beauharnois 
   Ou
 Projet sournois de General Electric Power System
  
 Les américains ne veulent
    plus de centrales thermiques dans leurs cours. En effet, les
    États-Unis sont limités dans l'exploitation des
    centrales thermiques dû à la forte pollution généralisée
    à travers le pays par les émissions de GES (gaz
    à effet de serre) provenant également de d'autres
    industries à cheminées et la croissance constante
    des véhicules motorisés sur leurs routes. Alors
    les voici avec des surplus de réacteurs à gaz naturel
    et des besoins croissant d'électricité. Que faire
    ??? Facile. Ils n'ont qu'à venir ici, polluer le Québec
    et nous refiler la facture en se sauvant avec notre électricité
    à bon marché. Comme pour le bois des pins géants
    de Colombie-Britanique.
 On vend propre le jour
    et on achète sale la nuit.
 
 L'électricité est une monnaie "courante".
    Et oui ! Cette société qui se soucie tellement
    de l'environnement achète de l'électricité
    provenant des centrales thermiques et polluantes des É-U
    durant la nuit, à bon marché, pour la revendre
    plus cher durant le jour à tout bon quémandeur.
 
 André Caillé
    et Thierry Vandal et cie sont à la solde des gaziers.
 Il est étrange de voir cette équipe de bons larrons
    batiffoller ensembles avec les gaziers du Québec. On sait
    que Vandal possèdent de très bons amis chez Gaz
    Métropolitain et je ne serais pas surpris de la commission
    % qui leur sera versée dans un compte "offshore"
    par les participants lorsque ce projet sera mis en marche. Je
    ne fais que spéculer, bien entendu.
 Comment nous faire avaler
    un projet aussi incongru que le Suroît ? Toujours la même vieille
    tactique: Problème - Réactions - Solutions! Mais le problème est souvent un mensonge ou coup monté
    bien orchestré derrière les rideaux de la scène.
 
 André Caillé
    affirme que "
 la sécurité énergétique
    des québécois est menacée
 nous ne
    pourrons répondre à la demande en énergie
    et en puissance pour la période de 2003 À 2010
    Ça nous prend Suroît !" Bullshit !
 
 Et nous allons tous mordre dans ce grand discours bidon. Quel
    est le pourcentage d'électricité que la population
    du Québec utilise de sa production. À peine 10-12%.
    Elle en exporte 30-40%. Où est le problème?
 Pourquoi avoir tant vendu et faire baisser les niveaux d'eau
    ? Volontaire pour nous amener au déficit Énergétique
    ???? Ce n'est pas le manque d'eau qui nous afflige ces derniers
    temps et lorsqu'on descend volontairement le niveau des réservoirs
    c'est pour suffire à la demande de l'exportation aux États-Unis
    et des bénéfices que cela rapporte.
 L'Énergie thermique nous rendra dépendants du prix
    spéculatif du gaz. Il n'est pas s'en dire que nous serons
    encore une fois à la merci des producteurs locaux et financiers
    étrangers de cette richesse naturelle dont ils se sont
    accaparés à notre insu... comme les diamants du
    nord du Canada... pour n'en faire profiter que quelques citoyens
    élitistes du pays. Ensuite viendra la déréglementation
    de l'électricité en Amérique du Nord: haut
    prix ! On en a eu la preuve avec la hausse des prix de l'électricité
    qu'Hydro-Québec, une société "des tas",
    qu'on nous a imposée après nous avoir promis qu'il
    n'y aurait pas d'augmentation pour quelques années, et
    qui s'apprête à nouveau à nous en coller
    une autre en 2005. Sûrement pour couvrir l'achat des turbines
    de General Electric "made in US". Il n'y a pas de fin
    à la voracité de ces prédateurs, requins
    du monde de la haute finance, qui s'est rapidement mondialisé
    au point d'en infecter nos propres dirigeants et hommes d'affaires.
 
 Que dire du silence d'Environnement
    Canada ?
 
 Surtout ne pas déplaire aux gaziers. Même le ministère
    de l'Environnement, dans un rapport publié le 8 décembre
    2003, émet des réserves quant à la raison
    invoquée par Hydro-Québec et le ministère
    des Ressources naturelles pour justifier le projet (combler le
    "trou" énergétique du Québec entre
    2007 et 2010, en attendant la construction de nouveaux barrages
    hydroélectriques): "La réalité des
    marchés actuels, qui permet d'exporter facilement de l'électricité,
    permet d'en importer tout aussi facilement pour combler la période
    avant la mise en service des nouveaux projets hydroélectriques."
 De toute façon, je n'ai jamais vraiment vu ce ministère
    accomplir quoique ce soit de brillant pour l'environnement. La
    coupe à blanc des arbres persiste encore en dépit
    du fait qu'on nous affirme qu'il l'on légiféré
    et s'occupe de la replantation des arbres, tous des conifères
    (monoculture$). Fini les érables, les ormes et les chênes.
    Mais cette replantation est accomplie pour ceux qui en bénéficieront
    une fois repoussée (papier, meubles, constructions fait
    à l'étranger) et ce ne sera pas nous malheureusement
    qui en tireront les profits à part quelques bûcherons.
 
 Ce département est plutôt là pour protéger
    ou défendre les industries polluantes $$$ vis-à-vis
    le grand public, comme un tampon entre les citoyens et les pollueurs.
    Tout comme on tolère la pollution occasionnée par
    la production de l'aluminium. Ce que l'Alcan (Aluminium Canada)
    a fait au Saguenay/Lac St-Jean, le lac et la rivière inclus,
    en tant que pollution est quasiment irréparable. Mais
    personne n'en parle au ministère, ni même la population
    de la région qui ne veut pas voir son seul revenu local
    disparaître ou fermer ses portes. Les amendes pénales
    qu'on donne aux pollueurs sont plus souvent bénignes et
    non-réparatrices à comparer à l'extension
    des dommages habituellement causés contre leurs profits.
 2,25 millions de tonnes de CO2
    par année ! Ou si vous préférez l'équivalent
    à la pollution de 650,000 nouvelles voitures, dans la
    région de Montréal et les environs. Mais une tonne
    c'est 2000 livres (1000 kilos) ! Mais comment fait-on pour peser
    de la fumée ou pire du CO2 ? Les environnementalistes
    trouvent que les avantages de cette centrale thermique ne valent
    pas le coût environnemental qu'elle engendrera. "Notre
    objectif pour Kyoto est de 6 % et ce seul projet fera augmenter
    nos émissions de gaz à effet de serre de 3 %, dit
    Steven Guilbeault, porte-parole en matière de réchauffement
    climatique chez Greenpeace. Notre objectif vient donc de grimper
    à 9 %." Aucun problème ! Afin d'atteindre un équilibre
    qui permettrait de respecter le protocole de Kyoto, Thierry Vandal,
    président d'Hydro-Québec Production, évoque
    l'achat possible de crédits d'émissions de gaz
    à effet de serre et la poursuite du développement
    hydro-électrique qui contribue à la réduction
    de ces gaz. Est-ce qu'on ne se contredit pas. De toute façon
    il n'y a pas de crise d'énergie au Québec.
 
 Hydro ignore un projet
    de centrale urbaine sans pollution.
 
 Même qu'elle a acheté les brevets de cet ingénieur-chercheur
    pour les mettre aux oubliettes (filière 13) le plus rapidement
    possible. Et oui, vous vous rappelez de la roue génératrice
    d'électricité que Général Motor parlait
    d'installer sur un concept de nouvelles voitures hybrides ? Trop
    menaçant pour l'Empire de l'Énergie et du Pétrole.
 Un article parut dans l'édition
    Le Devoir du jeudi 22 janvier 2004 sur le lien suivant: http://www.ledevoir.com/2004/01/22/45494.html
    écrit par Louis-Gilles Francoeur démontre très
    bien les contrôles "occultes" qui s'exercent
    par les magnats de l'Énergie et comment le génie
    canadien est subjugué par les caprices de industrie américaine
    qui n'a jamais accepter de tirer de l'arrière en matière
    de nouvelles technologies encore moins celle de la production
    d'énergie électrique ou autre. Je vous suggère
    fortement le livre "Le Syndrome colonial" de Hans Smart
    chez Louise Courteau Éditrice qui vient de paraître
    et vous comprendrez pourquoi et comment le génie inventif
    des canadiens a toujours été récupérés
    pour ne pas dire volé par nos propres gouvernements pour
    les vendre ou pire les abandonner aux plus offrants et on ne
    nommera personne ici. Vous n'avez qu'à regarder l'achat
    d'hélicoptères de nos compétiteurs américains
    pour 3,5 milliards alors que l'hélico "Cormoran",
    créée par nos propres ingénieurs, aurait
    pu être surpassé bien des fois par le génie
    de notre industrie aéronautique. On aurait pu ré-investir
    ces milliards ici même au Québec. À qui appartient
    Martin? À la banque, comme vous tous. Et ceci se fait partout dans le monde. Demandez aux inventeurs/ingénieurs
    français, belges et suisses qui se sont fait placardés
    par leur propre pairs et/ou gouvernement pour avoir sorti des
    "normes" acceptées par la "science contrôlée".
    L'Énergie est le pouvoir suprême et absolu sur cette
    terre et il doit être absolument et suprêmement possédé
    et contrôlé.
 Pourquoi ne se sont-ils jamais penché, et ce depuis des
    décennies, sur la production d'énergie électrique
    produite des générateurs électromagnétiques?
    Hérésie ! Pas du tout. Au contraire. C'est un des
    secrets les mieux gardé de la "fraternité".
    Il existe même des jouets* sur le marché à
    30-60$ US qui démontre le principe que l'électricité
    produit un champ magnétique et qu'un champ magnétique
    peut être reconverti en électricité. Plus
    propre que cela, tu meurs, comme on dit si bien ici au Québec.
 *http://www.toymagnets.com/specials/levitron.cfm
 Ils n'ont nullement considéré
    les dizaines de brevets sur des méthodes alternatives
    de production d'énergie ou de réduction des GES.
    Non ! Ils s'accrochent aux éoliennes qui soit dit en passant
    sont laides à faire pleurer et te défont un paysage
    en un rien de temps, pire encore que les lignes à transmission.
    Ce n'est pas la solution. On recule dans le temps des moulins
    à vent. On ferait mieux d'utiliser les marées tant
    qu'à y être. Ça monte et ça descend
    quasi-perpétuellement.Ce qui m'attriste le plus est que ce syndrome colonial des canadiens
    a fait en sorte que nous passions à côté
    d'une merveilleuse invention qui aurait pu être davantage
    perfectionnée avec le temps et qui a été
    balayé du revers de la main par les caïds de l'Énergie
    sale, comme l'argent qui découle de leurs magouilles.
 En effet, un concept inédit de centrale aurait permis
    de produire plus de mégawatts que le Suroît et ce,
    sans pollution !
 
 L'inventeur du moteur-roue
    d'Hydro-Québec, le scientifique Pierre Couture, a mis
    au point, il y a plus de 10 ans, un projet de centrale électrique
    pompée en milieu urbain qui aurait permis de produire
    en pleine ville de Montréal les 1000 MW de la centrale
    du Suroît pour une fraction du prix et sans impact environnemental
    important.
 http://radio-canada.ca/nouvelles/Index/nouvelles/
 200401/22/004-hydro-tarifs-rb.shtml
 Même les scientifiques
    de l'Institut de recherche en électricité du Québec
    (IREQ), affilié à Hydro-Québec ont qualifié
    ce projet de "véritable percée technologique".
    L'Hydro-Québec ne lui a accordé ni l'attention
    et, surtout, l'argent qu'il aurait fallu y investir pour l'utiliser
    au Québec et dans plusieurs grandes villes nord-américaines.
    Les chercheurs ont en plus affirmé que le recours à
    ce mode de production en période de pointe aurait sensiblement
    réduit les rejets de GES du réseau de production
    thermique de tout le nord-est du continent. Pierre Couture fut
    l'objet d'un véritable boycottage et, dans certains cas,
    de tentatives de dénigrement, ce qui fait qu'à
    ce jour les inventions importantes de cet inventeur demeurent
    sur les tablettes aux oubliettes. Il faut absolument conscientiser
    les gens sur cet infâme vol technologique au nom des citoyens
    du Québec et du monde qui auraient pu en bénéficier.
 La centrale pompée en milieu urbain conçue par
    ce chercheur serait composée d'un puits vertical de trois
    kilomètres de profondeur sur deux mètres de largeur.
    Comme un puits de mine traditionnel, qu'on pourrait creuser avec
    des taupes mécaniques conventionnelles.
 Trois turbines seraient installées à chaque kilomètre
    de profondeur, de sorte qu'avec un pipeline d'un diamètre
    aussi peu que deux mètres, les trois turbines pourraient
    produire de façon optimale aux environs de 1000 mégawatts
    (MW), soit un peu plus que les 968 MW que le Suroît pourra
    produire à Beauharnois mais sans cracher dans le ciel
    les 2,25 millions de tonnes annuelles de CO2. À l'extrémité
    de ce puits profond, plusieurs galeries latérales seraient
    creusées avec des équipements de tunellage classiques
    pour stocker temporairement l'eau du fleuve avant que cette dernière
    ne soit ré-acheminée au cours d'eau après
    les heures de pointe.
 La nuit, quand la consommation d'électricité chute
    à son niveau le plus bas et au moment où les centrales
    thermiques des États-Unis fonctionnent à 40 % de
    leur régime optimal, ces centrales produisent des surplus
    d'électricité peu coûteux, difficiles à
    écouler et qu'on pourrait acheter pour extraire l'eau
    des galeries souterraines. Il faudrait 1200 MW pour extraire
    cette eau qui en aurait produit 1000 par sa chute dans les profondeurs
    de la terre. Ce coût est beaucoup moins élevé
    que celui d'une centrale de pointe, qui ne sert en réalité
    qu'aux moments où la demande porte le réseau hydro-québécois
    aux limites de sa capacité. "Un tel système
    nécessite encore des analyses de modélisation et
    d'optimisation mais repose sur des équipements déjà
    disponibles sur le marché ou nécessitant un minimum
    d'adaptation", lit-on dans un document-synthèse de
    l'IREQ obtenu par Le Devoir.
 Ce projet serait très court à construire, et pourtant,
    c'est ce qu'Hydro Québec désire. Le coût
    de construction est de 20% de celui d'une centrale régulière,
    d'où son grand intérêt économique,
    sauf évidemment pour le lobby industriel, affamé
    de projets, qui salive à la perspective des 550 millions
    de dollars éventuellement dépensés pour
    construire la centrale du Suroît.
 Enfin, cette super-centrale à pompes de type urbain pourrait
    être dotée de trois réservoirs souterrains.
    Le premier pourrait servir à écrêter la pointe
    de la demande, soit le matin et le soir. Le deuxième pourrait
    même servir à fournir de l'énergie garantie
    ou à prix garanti alors que le troisième pourrait
    servir en situation d'urgence, comme une immense batterie de
    secours en plein coeur de la métropole.
 Avec un tel équipement de production, note le rapport
    de recherche, la puissance de cette centrale souterraine serait
    disponible sur demande "en moins de dix secondes" lors
    d'une situation d'urgence ou dans le but d'équilibrer
    le réseau. Un autre avantage de ce projet, c'est qu'il
    ne requiert aucune ligne de transport parce qu'on peut le construire
    sur les lieux mêmes de la consommation, à la porte
    du réseau de distribution.
 
 En réalité, rien n'empêcherait d'en construire
    plusieurs le long du Saint-Laurent, à Trois-Rivières
    ou à Québec, car le débit minimal du fleuve
    -- 3000 mètres à la seconde en étiage --
    ne serait affecté que marginalement par une prise d'eau
    de deux mètres de diamètre. Le BAPE nous dit que
    "la consommation d'électricité a connu une
    croissance de 5,5 % en 2003, une croissance dépassant
    toutes les prévisions. Cette croissance est notamment
    attribuable à une progression sans précédent
    de la nouvelle construction résidentielle au Québec
    (80 000 nouvelles habitations construites depuis deux ans). S'est
    ajoutée la demande en énergie nécessaire
    pour une nouvelle aluminerie, Alouette-2, soit 500 MW. Cette
    nouvelle aluminerie consommera à elle seule l'équivalent
    de la demande résidentielle d'une ville comme Laval. Mais
    c'est bien en quoi! Pourquoi ne pas diversifier ces centrales
    le long du fleuve et toute la production pourra être ré-acheminée
    là où elle sera requise.
 
 Ce projet aurait été
    absolument formidable !
 
 "Sans compter que l'eau serait par la suite ré-acheminée
    au fleuve sans avoir été altérée
    après que son énergie et celle de la gravité
    terrestre auraient été transformées en électricité.
    Enfin, il ne serait aucunement question de sacrifier un site
    touristique exceptionnel en raison de sa chute d'eau ou d'ajouter
    au fardeau des gaz à effet de serre du Québec.
    Le projet pourrait même donner lieu à des crédits
    dont profiterait éventuellement Hydro-Québec pour
    annuler les GES de ses barrages..."
 Et c'est là toute la différence fondamentale. Imaginez
    un tel système ou projet répandu à travers
    le monde où se trouve une source d'eau importante (fleuves,
    rivières, voire même la mer) qui pourrait être
    canalisée et de laquelle on récupérerait
    des mégawatts d'électricité propre et abordable.
    Et l'eau étant retourné à sa source, ce
    système n'affecterait pas l'écologie et tandis
    qu'on y est on pourrait en profiter pour la purifier pendant
    qu'elle circule dans ces aqueducs. Pourquoi pas ? Ce n'est pas
    le génie humain qui manque, c'est l'avidité de
    l'Élite mondiale qui est trop grande et sa soif du pouvoir,
    donc du contrôle.
 Comme Hydro-Québec prétend que le Suroît
    servira aux besoins du Québec pendant les deux ou trois
    ans où elle appréhende un déficit de production
    d'électricité, une centrale de pointe de ce type
    suffirait en principe à combler cet écart. Évidemment,
    la chose serait différente si, malgré le discours
    sur les besoins imminents du Québec, Hydro souhaite alimenter
    les Américains, déjà en situation de surplus
    d'électricité thermique, avec une centrale comme
    le Suroît, qui laisserait aux Montréalais la pollution,
    aux Québécois un surcroît de gaz à
    effet de serre et au ministre des Finances les millions de dollars
    des ventes américaines ainsi qu'une part des profits accrus
    de Gaz Métropolitain pendant que les barrages, en grande
    partie vidés pour mener la lutte contre le déficit
    budgétaire, se rempliraient de nouveau, tout doucement.
 En bout de ligne pour remplir les poches de General Electric,
    les É-U et la Banque du Canada, (qui n'oubliez pas, n'appartient
    nullement au Canada, encore moins aux canadiens), et celles des
    gaziers, on se préoccupe davantage de fournir la demande
    américaine que celle du Québec, même si nous
    sommes de grands consommateurs "privilégiés
    sans le savoir" et qui parfois abusent de cette grâce
    accordée par mère Nature, l'abondance d'eau de
    notre pays.
 
 Ni le ministère de l'Environnement, des Ressources Naturelles,
    de la Faune et Forêt, ni Hydro Québec, ni le BAPE,
    ni la régie de l'Énergie ont le droit de légiférer
    et prendre à eux seuls la décision concernant ce
    projet qui réduira l'espérance de vie des québécois,
    leur qualité d'air, d'eau et de vie et fera monter le
    coût du gaz et de l'électricité. Non ! Non!
    Non! Ce sont nous, et seulement nous, les citoyen(nes) du Québec
    qui peuvent et doivent décider par référendum
    d'un tel projet. Il faut se prononcer ouvertement et fermement
    lors des audiences et consultations publiques qui se dérouleront
    cet automne. Il faut agir avec fermeté sinon on va se
    faire passer un beau sapin...
 dans le Suroît !
 
 L'énergie et les ressources naturelles d'un pays appartiennent
    à ses habitants et citoyens en premier lieu et non à
    quelques avocats/bureaucrasses, ministres ou hommes d'affaire
    qui pensent pouvoir tout acheter et contrôler avec leurs
    $$$. Ne manquez pas de syntoniser et faire connaître le
    site de Nenki: http://conspiration.cc, là où les
    penseurs libres et les vérités cachées sortent
    à la lumière du jour. Amicalement, Nenki alias
    François Pierre.
 Liens sur le dossier du Dr. Pierre
    Couture, physicien et ingénieur Moteur-roue + magouilles + biographieshttp://www.esoterisme-exp.com/francais/dossiers/revoltants/
 auto_electrique/auto.htm
 http://cyberie.qc.ca/dixit/20040520.html http://www.quebecoislibre.org/980606-3.htm http://www.src.ca/actualite/decouverte/flash/moteur-roue.html http://www.phys.umontreal.ca/bulletin/Bulletin_E98/Portrait_E98.html |