Le syndrome de la Terre plate.

 

� Dans les prochaines secondes et sur mon ordre,

les cordes rel�veront le d�cor.

Je vous en prie ne sursautez pas,

rassurez votre �me et m�nagez votre c�ur ï¿½

 

 

 

 

Pierre Hardy

Le 15 d�cembre 2004

 

Introduction

 

� Le doigt pointait la lune alors que l�idiot regardait le doigt. ï¿½

 

 

L�histoire de l�histoire

 

L�histoire ancienne orthodoxe, celle enseign�e dans les �coles, est en r�alit� tr�s simple.

 

L�homme semblable � ce que nous sommes, vit sur terre depuis 400,000 ans.

 

Des hommes des cavernes apprirent a faire du feu et des peintures dans les cavernes il y a 20,000 ans.

 

Il y a 6000 ans : Des tribus et des villages barbares s��tablissaient ici et l� pr�s des cours d�eau et des terres arabes.

 

Il y a 4000 ans : Certaines de ces tribus se regroupent en villages et en micro soci�t� et laissent des vestiges de dimension gigantesques qui, pour la plupart sont identifi�s comme des tributs � leurs Dieux ou� � leurs propres narcissismes.

 

Il y a 3500 ans : Une de ces tribus barbares fit une �chapp� par le d�troit de Bering sur la glace et aboutit au P�rou et en Colombie construisant au passage quelques pyramides.

 

Il y a 2000 ans, le Christ est venu au monde et de cette m�me p�riode origine notre monde moderne tel qu�on le conna�t.

 

Ceci termine � peu de choses pr�s la dorsale de notre histoire ancienne.

 

De la richesse de l�histoire, il nous est possible de tirer le fil tisseur qui nous servira � comprendre le pr�sent et planifier le futur.

 

Pour arriver a rencontrer de tels objectifs, L�histoire, tel tout autre science doit fonctionner selon une m�thode de travail d�butant par un cadre pr�cis d�analyse des donn�es factuelles connues.

 

De l�ensemble de ces donn�s vient la mise au point d�une hypoth�se de travail qui devra, pour �tre valable incorporer l�ensemble des donn�s analys�es. Une telle hypoth�se ou mod�le demeurera valide tant et aussi longtemps que toute nouvelle donn�es acquise pourra s�y imbriquer.

 

Ce concept fut appliqu� par exemple � la physique lorsque Newton d�couvrit les �quations relatives � la gravitation. Alors que le temps passait et que de plus en plus d��l�ments mena�aient le mod�le mis en place par Newton, un nouveau mod�le s�imposa, s�appuyant sur la relativit� d�Einstein, et ainsi de suite.

 

Les p�riodes entre les changement des diff�rents mod�les utilis�s varie consid�rablement selon le domaine de la science ainsi que les niveaux de recherche effectu�s. Le dynamisme ou les restrictions impos�s par les d�cideurs seront d�terminants de la vitesse de l��volution. Il arrive parfois que les concepts stagnent, tel la science mature de la m�tallurgie qui origine de la r�volution industrielle, ou qu�ils subissent une �volution acc�l�r�e comme il fut possible de constater depuis les ann�es 60 dans le domaine de l��lectronique de pointe et de l�informatique..

 

� l�analyse des p�riodes de changements, force est de constater que tout ceci n�est vrai que depuis 400 ans. Jusqu'� ce moment et aussi loin que l�histoire puisse remonter, les pouss�s inquisitrices effectu�es sous le couvert d�un fondamentalisme religieux emp�chaient toute forme de d�veloppement des sciences.

 

L��veil scientifique du 15i�me� et 16i�me si�cles fut directement reli� � la cr�ation d�une communaut� d�int�r�ts duquel il fut possible pour les chercheurs de documenter et de publier le r�sultat de leurs travaux mais aussi de s�appuyer sur des mod�les et des r�sultats de travaux ant�rieurs.

 

Depuis cette �poque, les modifications apport�es aux mod�les scientifiques existants ou les changements de mod�le furent l�gion quelque soit la sph�re de la science observ�e. Physique, chimie, math�matiques, astronomie, g�ologie, tous, sauf l�histoire.

 

Tr�s curieusement l�histoire est en effet, la seule sph�re de la science ou le mod�le n�a pas chang� depuis le d�but de l��re Chr�tienne. Il y a 3500 ans, alors que les Isra�lites poursuivaient leurs travers�s de l��gypte � la Terre Promise, l�histoire se figeait sourdement pour devenir en quelques si�cles exactement ce qu�elle est aujourd�hui.

M�me le ph�nom�ne de la Renaissance n�eut que peut d�effet sur le d�veloppement de l�histoire. M�me si le d�veloppement des sciences n��tait que peu encourag� par les administrations dogmatiques de l��poque, elles �taient nettement un frein en ce qui concernait l�histoire contraignant le cautionnement d�un mod�le � l�approbation du Vatican.

 

Bien que dans une moindre mesure, cette situation perdure encore aujourd�hui, puisque encore � ce jour, la plupart des d�couvertes arch�ologiques sont soumise � l�approbation de cette organisation qui est de loin le plus important repositoire de l�histoire ancienne de l�homme.

 

�tonnamment, une telle biblioth�que de l�humanit� ne peut-�tre consult� que de certains individus, chaudement recommand�s et tri�s sur le volets par les autorit�s religieuses et de plus, li�s � la plus stricte confidentialit�.

 

 

 

J�illustrerai ces propos avec l�exp�rience de la Biblioth�que de Huntington au �tats-Unis.

 

En 1947, sur le site de Qumr�n dominant la mer morte, des b�douins d�couvrirent des rouleaux de parchemins soigneusement enferm�s dans des jarres d�argiles. Les ann�es suivantes, plusieurs autres manuscrits furent d�couvert dans les grottes avoisinantes.

 

Datant du 2i�me si�cle avant JC. Ces textes d�une grande port�e historique furent attribu�s aux ess�niens qui �tait une communaut� juive en rupture avec la religion officielle de l��poque.

 

D�une simplicit� enfantine car il n�y avait qu�� traduire les documents, les choses furent beaucoup plus complexes. Les pol�miques s�enclench�rent autour de la propri�t� du site et des manuscrits tant et si bien que 50 ans apr�s la d�couverte, certains des manuscrits ne sont toujours pas traduit.

 

Confi�s pour la traduction � une institution dominicaine l��cole publique de J�rusalem seule instance sp�cialis�e dans ce domaine, le rythme de parution des publications sur ces recherches se ralentit rapidement.

 

D�j� en 1977 des voix s��levaient pour d�noncer les retards interminables pris par l��quipe charg� de la traduction des textes, l�anglais John Allegro qui a particip� au travail d��dition de ces documents s��leva contre ses confr�res qu�il accusa de faire volontairement silence sur des documents qui seraient dangereux pour la foi.

 

Une contestation qui s�enfla jusqu�� ce qu�en 1991, La biblioth�que am�ricaine de Huntington, � qui l��tat d�Isra�l avait permis de photographier l�ensemble des manuscrits en assurance � une destruction possible, met fin � cette page d�histoire et d�cide d�en autoriser unilat�ralement l�acc�s aux chercheurs.

 

 

Volont� de cacher des extraits ou incomp�tence des scientifiques ayant travaill� � ces documents, nul ne sait. Accusations et th�ories foisonnent � ce sujet.

 

Dans le livre �  Les manuscrits de la mer morte r�v�l�s ï¿½, les deux chercheurs et auteurs du livre Eisenman et Wise pr�tendent que la recherche scientifique et les publications sur les textes anciens sont sujet � omerta qu�ils leurs faut briser.

 

M�me s�il est possible de conclure que de tels gestes ne sont motiv�s que par la protection d�un dogme religieux et donc n�ont que peu de cons�quence sur notre d�veloppement, il s�av�re rapidement que les choses ne sont pas aussi simples.

 

Aujourd�hui, m�me si les nouvelles recherches ne sont plus l�apanage le plus stricte des autorit�s religieuses depuis le� 18i�me si�cle, il ressort n�anmoins que les t�moignages de notre histoire sont tortur�s entre l�omnipr�sence de l�eccl�siaste, un financement d�ficient faisant figure d�enfant pauvre en comparaison des autres branches de la science, un march� noir tr�s cibl� et tr�s agressif initi�s par des collectionneurs d��lites anonyme capable d�influencer, tel en Suisse, les lois � leurs avantages.

 

Extraits de son livre � Bloodline of the Holy Grail, l�auteur Sir Laurence Gardner nous apprends ceci :

 

� Vers les ann�es 1880, les �tablissements gouvernants sous la tutelle du Christianisme furent effray�s par la venue du domaine de l�arch�ologie. De cet instant, toutes les fouilles arch�ologiques� furent plac�es sous contr�le tr�s stricte et leurs financements ainsi que le d�marrage des travaux se devaient d��tres approuv�s par les autorit�s identifi�es. 

 

Une de ces autorit�s nouvelles s�appelait le Fond d�exploration de l��gypte et fut �tabli en Grande Bretagne en 1891. Sur la toute premi�re page de son m�morandum et autres articles de l�association, il y �tait stipul� que les objectifs du fond �tait d�effectuer des fouilles dans le but d��lucider ou d�illustrer les textes de l�ancien Testament. ï¿½

 

Ce qui signifiait que toute nouvelle d�couverte ne respectant pas les enseignements bibliques ne serait pas divulgu� au publique. Ce qui n�existe pas, n�existe simplement pas et n�existera pas.

 

Le caract�re �pur� jusqu�� l�os du peu d�artefact de l�histoire ancienne qui arrivent tant bien que mal jusqu�� nous ne permets que d�alimenter un d�bat d�amateur contre le mod�le orthodoxe qui sera jug� par les instances orthodoxes, tel qu�il se pratiquait couramment dans les donjons de l�inquisition.

 

La mise sur pied il y a quelques ann�es d�une nouvelle science appel� l�arch�oastronomie et qui fit suite � une surprenante explosion de d�couvertes d�montrant la connaissances particuli�rement pr�cise de l�astronomie chez nos anc�tres n�est qu�un exemple de ce manque de connaissance de notre histoire ancienne.

 

Notre histoire est envelopp�e d�une grande noirceur, r�sultat d�un effort soutenu et concert� � travers les si�cles par l�orthodoxie monarchique chr�tienne et juive. Ces actions vise � soustraire de nos yeux des connaissances dites � pa�ennes ï¿½ et implanter ce qui sera convenu d�appeler � L�Organisation de la Terre Plate ï¿½. En fait, l�ensemble des menaces qui se sont oppos�es � la libre connaissance de notre histoire sont telles qu�il est possible d�identifier ceci sous l��tiquette d�un v�ritable g�nocide culturel.

 

 

 

Un crime sans cadavre

 

Il faut songer aux diff�rentes guerres et conqu�tes qui se sont produites au cours de l�histoire et qui visaient une conversion sauvage au christianisme. La conversion de cultures pa�ennes au christianisme fut de loin la plus co�teuse des guerres de l�histoire, prenant plus de 20 millions de vies � travers l�histoire. Ferveur religieuse, m�urs de l��poque.

 

Et si en fait les motivations r�elles n��taient pas tant d�enr�ler dans la chr�tient�, que d�effacer la culture pa�enne � tout prix.

 

Lorsqu�un nouvel artefact de notre pass� ancien; ou que la d�couverte de manuscrit ancien; ou que certaines recherches scientifiques sur les raccords manquants entre notre science et certaines r�miniscence de l�ancienne science se font trop persistante; la gouverne actuelle se met en branle et apporte un feu nourri strat�gique et structur�.

 

Pour ce faire, � la communaut� ï¿½ chr�tienne fera dispara�tre tout ce qui ne rencontre pas le cadre en allant jusqu�� menacer, diminuer ou m�me d�truire la vie du porteur de connaissance pa�ennes.

 

Cette chasse aux sorci�res que fut l�inquisition s�est fait poursuivi jusqu�au d�but 20i�me si�cle alors que des villages Europ�ens �taient ravag�s sous un pr�texte de sorcellerie. Et m�me en 1950 moment jusqu�ou se poursuivit le g�nocide des communaut�s Indiennes de la Colombie Britannique et de l��le de Victoria au Canada.

 

Sherlock Holmes se plaisait � dire �  �liminez l�impossible, il ne reste plus que la v�rit� ï¿½

�l�mentaire mon cher Watson.

 

Crime sans cadavre, la reconstruction d�une Histoire n�est pas chose facile, durant cette grande noirceur, des pans entiers furent escamot�s aux profits de d�autres � saveur plus orthodoxe. Des auteurs tels Velikovsky ou Sitchin ont clairement d�montr�s dans leurs travaux la pr�sence de tels chevauchement et de raccords remontant � la p�riode �gyptienne et Sum�riennes.

 

Des r�f�rences historiques de moments important furent litt�ralement transfigur�s par une arm� de scribes et de moines de fa�on � brouiller les intentions et �v�nements r�els.

 

� Celui qui porte le crayon porte aussi l�histoire. ï¿½ Et il fut une �poque ou l��criture �tait l�apanage des Rois. Un tel effort n�est pas � la port�e de tous et implique de fait un pouvoir peu commun. Un pouvoir semblable � celui dont pouvait disposer la grande famille Italienne Piso dans lequel trouvent racine les Medecis, quelques papes et la plupart des familles Royales au sang bleu de l�Europe actuelle ainsi que de leurs alli�s.

 

Au cours de notre histoire et encore � ce jour, des dizaines de gens ont essay�s d�exprimer des visions de l�histoire mena�ant le mod�le orthodoxe. Tu�, bless�, banni, ridiculis�, censur�, menac�, l�acharnement contre ces gens fut s�v�re, beaucoup plus s�v�re qu�on ne pourrait s�attendre de voir contre un illumin� quelconque, quelque soit la p�riode.

 

Que penser de Socrate, Platon, Bacon, Linda (Orea Linda), Galileo, Newton, Agrippa, Pythagore?

 

Que penser de Schliemann, Mesmer et Nicolas Tesla qui bien qu�� l�origine de toutes les grandes d�couvertes sur l��lectricit� fut priv� de financement de recherche � l�annonce d�une �lectricit� gratuite?

 

Que penser de T.T. Brown dont les r�sultats de travaux de recherche disparurent de la surface de la plan�te � sa mort?

 

Que penser de Velikovsky avec le mouvement des p�les, de Harpgood avec la science des anciens Sea Kings?

 

Santillana fut un professeur d�histoire �m�rite du MIT. Sp�cialis� en histoire ancienne et disposant de ses entr�es � la biblioth�que du Vatican, il fut cong�di� de son poste d�enseignement apr�s avoir publi�s des th�ories historiques qui entraient en contradiction avec le cadre orthodoxe.

 

Fleishman et Pons furent ridiculis�s apr�s leur compte rendu publique sur la fusion froide. Encore aujourd�hui, des �tudes et comptes rendus d�sastreux pour leurs carri�res sont financ�s par l�establishment.

 

Club de Sceptiques, Bureau de brevet, financement, publicit�, Bureau de Censure. Combien de milliers d�autres � ce jour, essaient de faire entendre leurs voix aux repr�sentants de cet establishment esp�rant leurs d�montrer l�importance de leurs d�couvertes, se heurtant a ce qu�ils appellent de l�incompr�hension et de l�indiff�rence alors qu�en r�alit� il s�agit des foudres et cons�quences d�un plan vicieux.

 

Et il y eut aussi bien sur, ceux qui furent port�s en triomphe par l�establishment pour leur immense imagination et grande intelligence, DaVinci, Einstein, Franklin, Edison, Wells, Bell. Si g�niaux qu�ils inventent, con�oivent des douzaines de nouveaut�s dans les sph�res les plus vari�s de la science. Ils d�couvrent et comprennent en quelques temps une foule de concepts sur les sujets les plus vari�s. Pour le moins ahurissant dirions-nous.

 

Ces gens et bien d�autres effleurent ce que furent les connaissances pa�ennes de notre histoire ancienne.

 

Mais qu�est donc ce savoir et ces connaissances pa�ennes tant redout�e par le � Christiendom ï¿½. Tellement redoutable que les tortures cruelles de l�inquisition n�ont eu leur pareil d�imagination nulle part ailleurs dans l�histoire humaine. Que l�establishment n�h�sita pas � d�truire des communaut�s enti�res et � tuer froidement plus de 12 millions de personnes plut�t que de courir un risque. Qu�aujourd�hui m�me, elle n�h�sitera pas � d�truire une carri�re ou m�me utiliser des moyens plus coercitif pour atteindre ses fins.

 

Ou sont donc ces manuscrits et autres t�moignages de la Grande Biblioth�que d�Alexandrie, v�ritable repositoire de la science antique qui contenait plus de 6000 ann�es d�observations astronomiques? Et ceux de la Chine Antique? Et ceux de l�Am�rique Antique? Et ceux de la Gr�ce Antique?

 

Si l�or repr�sente une fa�on de soutenir le royaume aujourd�hui, il faut admettre que la possibilit� d�acqu�rir les particularit�s d�une science diff�rente de la notre, repr�sente une chance facile de s�am�liorer rapidement et d��tre meilleur � soutenir le royaume demain.

 

L�histoire traditionnelle nous apprends qu�ils ont tous �t� br�l�s malicieusement, par peur de l�ancienne magie ou par inconscience. Pour le moins ahurissant dirions-nous.

 

Pythagore de Samos (569 - 475 BC) Voyagea en �gypte et � Babylone. Il exposa la th�orie des nombres r�alit� math�matique de la nature et le fait que la Terre �tait une sph�re.

 

Euclide (325 - 265BC) d�Alexandrie en plus d��crire un livre qu�il intitula � Optique ï¿½ synth�tisa le travail de ses pr�d�cesseurs dans une s�rie de 13 livres qu�il �crit appel�s �Les �l�ments ï¿½ qui devint la source premi�re de raisonnement en g�om�trie pour 2000 ans.

 

Aristarchus (310 - 230 BC) Postula pour un univers h�liocentrique et appliqua la trigonom�trie pour estimer les distances et les dimensions du soleil et de la lune

 

Archim�de de Syracuse (287 - 212 BC) Exposa la valeur de pi.

 

Eratosth�nes (275-194 BC), Le troisi�me libraire d�Alexandrie, en plus de r�pertorier 44 constellations et 475 �toiles, il exposa la circonf�rence de la terre avec une marge d�erreur de 1%, la longueur de l�ann�e de 365 � jours et mit de l�avant l�id�e d�intercaler la journ�e bissextile; Il sugg�ra que les mers du globe �taient interconnect�s entres elles et que l�inde pouvait �tre atteinte en navigant vers l�ouest.

 

Appolonius de Perga (262-190 BC) De son livre � Conique ï¿½ il introduisit les termes Parabole, ellipse, Hyperbole et polyh�dre. Dans un autre de ses livres � Le miroir qui br�le ï¿½ il d�crivit les propri�t�s focales du miroir parabolique. Pour expliquer l�apparent mouvement des plan�tes � travers le ciel, il d�crivit ce mouvement excentrique et �picyclo�de. Il d�veloppa h�micyclium, un cadran solaire d�une grande pr�cision.

 

Hipparque de Bithynie (190 - 120 BC) exposa et mesura la pr�cession des �quinoxes, la dimension et la trajectoire du soleil et de la lune. Il r�pertoria les constellations et le fait que les �toiles puissent avoir une naissance et un d�clin. Il importa de Babylone l�unit de mesure de 360 degr�s et calcula la longueur de l�ann�e avec 6 minutes de pr�cisions.

 

Ptol�m�e Claudius ( 87 -150 AD) S�appliqua � supporter son syst�me g�ocentrique, il �crivit un trait� sur l�astrologie.

 

 

Dans son excellent livre � Hamlet Mill ï¿½, l�historien Santillana nous dit les choses suivantes :

 

� Peu� apr�s Pythagore enseigna que les choses �taient des nombres. De ce moment, les math�matiques furent n�s. Le myst�re entourant l�origine r�elle des math�matiques est encore avec nous � ce jour. ï¿½

 

� son vieil �ge, le math�maticien et philosophe Bertrand Russel qui �tudia toute sa vie durant les travaux de Pythagore se sentit forc� d�avouer que s�il est une conclusion qu�il pouvait tirer des enseignements de Pythagore elle concernerait la nature de la clart� de la logique et qu�elle n�avait rien � voir avec la philosophie.

 

� L�utilisation des nombres tel qu�il l�a fait continue d��tre un myst�re � ce jour et de ce myst�re est n�e la m�taphysique. ï¿½

 

Il est constant � la lecture des anciens textes d��tre frapp� par cette clart� d�esprit et cette logique qui caract�rise les gens cultiv�s et matures issues de soci�t� �volu�es, terreau n�cessaire a un tel r�sultat. Bref, tout � fait � l�oppos� de l�image traditionnelle de barbares vivant dans des huttes.

 

Des soci�t�s d�velopp�es utilisant des techniques bas�es sur des connaissances similaires aux n�tres et qui parfois se servent de mat�riaux de fa�on inusit� et incomprise.

 

Que dire des cartes g�ographiques des anciens � Sea Kings ï¿½ qui provenant du fond des �ges nous montrent des continents diff�rents et des cotes inexistantes.

 

Que dire de ces constructions m�galithiques �tonnants qui jonchent la surface de la plan�te.

 

Que dire de ces sites m�galithiques qui pars�ment le fond de l�oc�an.

 

Que dire de cette connaissance particuli�re de l�astronomie. Tant par les dizaines de r�f�rences fournis par Santillana et bien d�autres historiens, que dans les centaines d�artefacts retrouv�s aux quatre coins du monde, une de ces science antique �tait sans aucun doute celle du ciel, de ces dieux dont Aristote disait � qui voulait l�entendre que les dieux des anciens �taient en fait les �toiles du firmament.

 

De par le monde aujourd�hui, tous les b�timents connus datant de l��re pr�-chr�tienne qui ont surv�cu au passage du temps, poss�dent des r�f�rences astronomiques tr�s pr�cises � l�int�rieur de leurs constructions. Et dans les b�timents les plus anciens, se trouve les r�f�rences astronomiques les plus incroyables.

 

Devant l�explosion de telles d�couvertes faisant suite aux th�ories de Santillana , une nouvelle dimension de l�arch�ologie fut cr�e depuis une dizaines d�ann�es, l�astroarch�ologie. Cette science a pour objectif sp�cifique de d�couvrir les diff�rentes relations qui existaient entre les monuments antiques et les r�f�rences c�lestes. Du m�me souffle venait un avantage non n�gligeable suppl�mentaire � l�acad�misation de cette connaissance, celle de donner � l�establishment la capacit� du contr�le de l�information.

 

Du m�me coup Santillana se questionnait concernant les t�moignages anciens :

 

� On ne peut que s��tonner de cette obsession continuelle des �toiles et de leurs mouvements ï¿½

 

Santillana avait bien raison. Il est tr�s vrai qu�� la lecture de l�histoire ancienne, on ne peut que s��tonner de cette obsession. Elle y est v�ritablement omnipr�sente jusque dans les cours Royales d�Europe.

 

Platon, qui v�cut en 350 de l��re pr�c�dente nous donnent quelques indices lorsqu�il parle des multiples catastrophes qui ont frapp� la terre de fa�on cyclique.

 

La description qu�en font les r�cits d�Orea Linda de ces m�mes catastrophes sont terrifiants. Il n�y a pas de fa�on d�envisager qu�une telle description ne puissent �tre qu�a une �chelle locale.

 

Une partie de cette chape de secret est soulev� lorsque � cette analyse est ajout� les cartes de l�Amiral Piri Reis r�put� utiliser des r�f�rences tr�s anciennes.

 

 

 

 

 

 

Il y a 5000 ans, les calottes polaires �taient beaucoup plus grande qu�elle ne le sont aujourd�hui, et par cons�quent recouvraient une partie beaucoup plus importantes des continents. Les mers affect�es par cette quantit� d�eau en moins laissaient appara�tre des rivages diff�rents. Ceci explique la raison pour laquelle il n�y a pas de t�moignage de l��poque du m�galithique � l�ext�rieur de cette zone, il n�y en a aucun. Ni ancienne culture, ni monuments, ni tombes anciennes.

 

L�Atlantide la cit�-�tat, �tait situ� sur une grande p�ninsule s��tendant du Belize � la Floride en passant par Cuba et Ha�ti.

 

L�Atlantide le domaine, en plus de comprendre les terres d�j� d�crites, poss�daient aussi l�int�rieur des deux Am�riques incluant les haut sommet du P�rou, le nord ouest de l�Afrique, du Nigeria � la Lybie.

 

 

 


 

Les cartes de Piri Reis utilisant un syst�me de positionnement angulaire inconnu de nos jours, d�montre bien la situation de la Terre � cette �poque.

 

 

 

 

Carte de Piri Reis, Antarctique avec la pointe de l'Afrique du Sud et de l'Am�rique du Sud.

 

De plus, l�amiral Reis nous apprends que l�Antarctique d�une certaine �poque lointaine poss�dait des cotes d�garnies de glace.

 

Les mers du globe �taient sillonn�es par une marine commerciale permettant l��change des ressources entre les cit�s �tats.� Le savoir, riche de milliers d�ann�es d�observations �tait r�pandu de fa�on homog�ne � travers les peuples de la Terre.

 

Il y a 5000 ans, le quotidien de l�homme fut chang� � jamais lorsqu�un �v�nement inconnu vint rompre la balance isostatique de la plan�te terre lib�rant du m�me coup des quantit�s gigantesques de lave et de gaz carbonique dans l�atmosph�re. Une catastrophe d�envergure plan�taire que l�histoire biblique appelle le d�luge.

 

Platon nous dit que les terres furent emport�es par la pluie jusqu'� la mer, ne laissant que la rocaille la mis�re et la famine.

 

Et la fonte des glaces se fit � une vitesse vertigineuse. Les surfaces qui n��taient pas prot�g�es par la lourde protection de la glace �taient d�pouill�es par la pluie jusqu�� en faire des d�serts. Le niveau des mers remonta a une vitesse inimaginable, engloutissant les villes �tabli le long des littoraux.

 

Tous les peuples de la Terre ont leur propre l�gende traitant de la d�vastation des leurs lors d�une catastrophe majeure. Mais Orea Linda, un ancien texte originaire de la r�gion des basses terres hollandaise nous le d�crit avec une simplicit� d�sarmante :

 

 

CHAP�TRE XXl: CECI EST �CRIT SUR TOUS LES BOURGS.

 

1. Avant que viennent le mauvais temps, notre terre �tait la plus belle dans tout le monde, le Soleil se levait haut et il n'y avait que rarement de la gel�e. Les arbres et buissons produisaient des fruits vari�[1]s, qui sont maintenant perdu. Dans les champs, nous n'avions pas seulement de l'orge et du malte, mais il y avait aussi du bl� qui brillait comme de l'or, et qui pouvait �tre cuit dans les rayons du soleil. Les ann�es n'�taient pas compt�s puisque les unes �taient plus belles que les autres.

 

CHAP�TRE XXII: COMMENT D�BUTA LE MAUVAIS TEMPS.

 

1. Durant tout l'�t�, le soleil �tait cach� derri�re les nuages,� comme s'il n'osait regarder Irtha. C'�tait le calme perp�tuel et le brouillard mouillait les poumons comme une voile expos� par-dessus une maison des marais est mouill�. L'air �tait lourd et oppressif et le c�ur des hommes n'�tait pas joyeux.

 

2. Au milieu de ce calme, Irtha commen�a � trembler comme si elle �tait mourante. Les montagnes s'ouvrirent pour vomir feux et flammes. Certaines ont m�me coul� dans le c�ur d'Irtha alors qu�� d'autres endroits les montagnes sortirent de la plaine. Aldland, appel� Atland par les navigateurs, disparut dans les vagues sauvages qui se lev�rent tellement haut sur la c�te que tout disparut sous la mer. Plusieurs personnes furent aval�es par Irtha et les autres qui s'�chapp�rent du feu p�rirent par la mer.

 

3. C'�tait aussi sur la terre de Finda que Irtha vomit le feu et au Twiskland. Toutes les for�ts br�l�rent les unes apr�s les autres et quand le vent souffla vers nos terres, elles furent couvertes de cendres. Les rivi�res chang�rent leurs courses et dans leurs bouches, de nouvelles �les se form�rent de sable.

 

4, Durant trois ann�es, ceci se poursuivit, mais � la longue cessa et les for�ts redevinrent visible. Les rivages �taient m�connaissables. Plusieurs pays furent engloutis et d'autres places la terre sortirent de la mer et la for�t fut d�truite sur la moiti� du Twiskland. Et les gens qui restaient vinrent et s'install�rent dans les places vides. Nos gens, qui �taient dispers�s furent extermin�s ou fait esclaves. La surveillance �tait doublement importante pour nous et le temps nous enseigna que l'union fait la force.

 

 

 

Platon disait : � Les cit�s disparaissaient, il ne restait que l�inculte et le montagnard pour reb�tir la soci�t�. ï¿½

 

D�s le passage de la crise, les survivants se regroupaient et repartaient une soci�t�. Tout � fait comme si ce genre de catastrophe �tait cyclique.

 

Le savoir ancien prenait � un moment ou � un autre une valeur inestimable, ceux qui sauraient le conserver se verraient nettement avantag�. L�or pour aujourd�hui mais le savoir pour demain.

 

 

La soci�t� d�aujourd�hui est au prise avec les cons�quences d�une conspiration qui enjambe l�histoire.

 

Une filiation de malfrats puissants et sans scrupules, r�fugi� derri�re des ic�nes orthodoxes de notre soci�t�, poss�dant des moyens et une capacit� d�action hors de la port�e du commun des mortels. Cette meute, profitant des cons�quences d�une catastrophe astro-climatique, d�cimant la vie sur Terre de fa�on p�riodique, s�est appropri�e les connaissances et l�intelligence des g�n�rations ancestrales.

 

Brandissant Feux, sang, meurtres, guerres, g�nocides, loi divines, Bibles, religion, b�ton, science et dollars, ils ont termin�s le ramassage de ce qui en restait de cette science. Distiller au � vulgaire ï¿½ de la fa�on la plus profitable possible au prix du march� servile, l�ancienne science en attendant sagement le prochain tiraillement astro-climatique pr�vu et il n�y avait qu�� tout recommencer.

 

Amput� de notre histoire ancienne, il ne nous reste maintenant que mythes et l�gendes fantastiques et des monuments ahurissants.� Le rythme d��volution de notre soci�t� s�est pratiquement arr�t� ensuite sur plus de 4500 ans.

 

Mutilations des suites de ce g�nocide culturel, nous vivons dans une soci�t� rempli de tabou face � des mots tels conspirations, catastrophes, force c�leste p�riodiques, alignements de plan�tes, g�nocides, le tabou du mot �tant une promesse de la protection du concept. Significativement plus religieux, les petits morceaux d�histoire restants furent soigneusement cach�s et transmis � l�int�rieur d�ordre secrets.

 

Une soci�t� contr�l�e, dans laquelle le m�rite financier est le moteur m�me de sa censure et dans laquelle la lumi�re du succ�s se manifeste honteusement plus forte et plus souvent le long de certaines affiliations g�n�tiques. Une soci�t� dans laquelle des DaVinci, Einstein, Franklin, Edison, Wells, Bell n�ont pas jou� le r�le g�nial que l�histoire leur a attribu�.

 

Une soci�t� qui doit aujourd�hui supporter les actions et les cons�quences d�un crime qui n�aura jamais pu �tre emp�ch�. Le succ�s aussi odieux soit-il, �tant la ran�on du secret. Comment pardonner le motif d�une soif obsc�ne de pouvoir alors que ce devait �tre au nom d�une ferveur religieuse.

 

Celui qui poss�de le crayon poss�de l�histoire. Celui qui poss�de le m�gaphone poss�de la foule.

 

� Gloire � Jay, Gloire � Jay ï¿½

Hommes en noir ll

 

� S�il y avait moyen d��viter ces r�voltes populaires, elles sont si lassantes. ï¿½

Un Roi

 

 

Le savoir pa�en

 

Mais qu�est donc ce savoir et ces connaissances pa�ennes tant redout�s par le � Christiendom ï¿½.

 

Aux dire de nos anc�tres ayant v�cu sur terre � la suite du d�luge, le savoir des anciens pr�c�dant le d�luge �tait incomparable et provenait de leurs p�res ou d�une g�n�ration pr�c�dente.

 

Ces connaissances permettaient l�utilisation � dessein de force incomprise ayant des cons�quences titanesques. La connaissance de la vo�te c�leste et des forces la r�gissant. La science appliqu�e, une science de m�canisation, m�tallurgie, qui ont permis la construction de certains monuments m�galithiques. Les sciences de l��tre avec la sociologie, la politique, la m�decine, la pharmacologie.

 

Bref, une soci�t� au niveau de d�veloppement � tout le moins semblable au n�tre.

 

La soci�t� d�apr�s d�luge n�avait plus la masse d�individus suffisants pour poursuivre cette connaissance, la perdant au fil des g�n�rations sans �ducation ne conservant que l�essentiel. Toujours aux dire de nos anc�tres d�apr�s d�luge, cette connaissance, ce savoir s�est peu � peu transform� en objet de pouvoir et d�adoration, suscitant convoitise et envie � travers mythes et l�gendes. L��tablissement du rituel et de la l�gende devint n�cessaire pour se rem�morer de g�n�ration en g�n�ration ce qui ne devenait gu�re plus qu�un mythe

 

Le peu de monument, temple, �crit et artefacts de l��poque m�galithique sont les t�moins de cette science que nous ayons, vu � travers d��normes catacyclismes et 5000 ans de chasse aux sorci�res meurtri�res fait de main de ma�tres par cette meute de loups affam�es que nous appellerons � Les chevaliers de la Terre Plate ï¿½

 

Voici avec le recul d�une analyse objective et du haut de notre science actuelle, les bribes de ce savoir ancestral parvenues jusqu�� nous.

 

La reconstruction de notre histoire ancienne ne sera pas chose facile. Il nous faut faire une analyse objective des bribes de ce savoir ancestral parvenues jusqu�� nous, du haut de ce que nous permets la science d�aujourd�hui.

 

Vannevar Bush, � l�instar des Da Vinci et Edison, fut l�un de ces chevaliers de la Terre plate. Affiliation de sang bleu, il fut l�un des traducteurs de l�ancienne science au monde moderne des plus prolifiques.

 

Le Dr Bush n�est pas le premier venu. Scientifique au collet blanc, il fut directeur du bureau de la recherche et du d�veloppement scientifique des �tats-Unis de l�apr�s guerre des ann�es 40 et 50. Il fut responsable de la coordination des activit�s de plus de 6000 scientifiques de haut calibre dans l�application de la science de la guerre incluant Einstein, Von neuman, Von Braun, Oppenheimer.

 

En charge des laboratoires Princeton, il fut entre autres responsable du d�veloppement de l�informatique, de la bombe atomique, du programme spatial et du fameux comit� MJ12.

 

Voici un commentaire �loquent, tir� de son discours de juillet 1945, � Comme on pourrait le penser ï¿½

 

� S�il avait �t� donn� � un Pharaon d��gypte les plans et usages d�taill�s d�une automobile; et s�il avait �t� donn� � ce m�me Pharaon de les comprendre enti�rement, il aurait eu alors � taxer toutes les ressources de son royaume pour en fabriquer les pi�ces et ne r�ussir qu�� fa�onner un prototype qui aurait flanch� � son premier voyage � Giza. ï¿½

 

Histoire rectifi�e du monde nous montrent ce qu�il en fut.

 

Impact sur notre histoire moderne, soci�t� actuelle et futur

 

 

Bien respectueusement,

 

Pierre Hardy

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[1] Ce commentaire en lui-m�me implique un changement de temp�rature durant une p�riode prolong�e.