Le
syndrome de la Terre plate.
L�histoire ancienne orthodoxe, celle enseign�e dans
les �coles, est en r�alit� tr�s simple.
L�homme semblable � ce que nous sommes, vit sur
terre depuis 400,000 ans.
Des hommes des cavernes apprirent a faire du feu et
des peintures dans les cavernes il y a 20,000 ans.
Il y a 6000 ans : Des tribus et des villages
barbares s��tablissaient ici et l� pr�s des cours d�eau et des terres arabes.
Il y a 4000 ans : Certaines de ces tribus se
regroupent en villages et en micro soci�t� et laissent des vestiges de
dimension gigantesques qui, pour la plupart sont identifi�s comme des tributs �
leurs Dieux ou� � leurs propres
narcissismes.
Il y a 3500 ans : Une de ces tribus barbares fit
une �chapp� par le d�troit de Bering sur la glace et aboutit au P�rou et en
Colombie construisant au passage quelques pyramides.
Il y a 2000 ans, le Christ est venu au monde et de
cette m�me p�riode origine notre monde moderne tel qu�on le conna�t.
Ceci termine � peu de choses pr�s la dorsale de notre histoire ancienne.
De la richesse de l�histoire, il nous est possible
de tirer le fil tisseur qui nous servira � comprendre le pr�sent et planifier
le futur.
Pour arriver a rencontrer de tels objectifs,
L�histoire, tel tout autre science doit fonctionner selon une m�thode de
travail d�butant par un cadre pr�cis d�analyse des donn�es factuelles connues.
De l�ensemble de ces donn�s vient la mise au point
d�une hypoth�se de travail qui devra, pour �tre valable incorporer l�ensemble
des donn�s analys�es. Une telle hypoth�se ou mod�le demeurera valide tant et
aussi longtemps que toute nouvelle donn�es acquise pourra s�y imbriquer.
Ce concept fut appliqu� par exemple � la physique
lorsque Newton d�couvrit les �quations relatives � la gravitation. Alors que le
temps passait et que de plus en plus d��l�ments mena�aient le mod�le mis en
place par Newton, un nouveau mod�le s�imposa, s�appuyant sur la relativit�
d�Einstein, et ainsi de suite.
Les p�riodes entre les changement des diff�rents
mod�les utilis�s varie consid�rablement selon le domaine de la science ainsi
que les niveaux de recherche effectu�s. Le dynamisme ou les restrictions
impos�s par les d�cideurs seront d�terminants de la vitesse de l��volution. Il
arrive parfois que les concepts stagnent, tel la science mature de la
m�tallurgie qui origine de la r�volution industrielle, ou qu�ils subissent une
�volution acc�l�r�e comme il fut possible de constater depuis les ann�es 60
dans le domaine de l��lectronique de pointe et de l�informatique..
� l�analyse des p�riodes de changements, force est
de constater que tout ceci n�est vrai que depuis 400 ans. Jusqu'� ce moment et
aussi loin que l�histoire puisse remonter, les pouss�s inquisitrices effectu�es
sous le couvert d�un fondamentalisme religieux emp�chaient toute forme de
d�veloppement des sciences.
L��veil scientifique du 15i�me� et 16i�me si�cles fut directement
reli� � la cr�ation d�une communaut� d�int�r�ts duquel il fut possible pour les
chercheurs de documenter et de publier le r�sultat de leurs travaux mais aussi
de s�appuyer sur des mod�les et des r�sultats de travaux ant�rieurs.
Depuis cette �poque, les modifications apport�es
aux mod�les scientifiques existants ou les changements de mod�le furent l�gion
quelque soit la sph�re de la science observ�e. Physique, chimie, math�matiques,
astronomie, g�ologie, tous, sauf l�histoire.
Tr�s curieusement l�histoire est en effet, la seule
sph�re de la science ou le mod�le n�a pas chang� depuis le d�but de l��re
Chr�tienne. Il y a 3500 ans, alors que les Isra�lites poursuivaient leurs
travers�s de l��gypte � la Terre Promise, l�histoire se figeait sourdement pour
devenir en quelques si�cles exactement ce qu�elle est aujourd�hui.
M�me le ph�nom�ne de la Renaissance n�eut que peut
d�effet sur le d�veloppement de l�histoire. M�me si le d�veloppement des
sciences n��tait que peu encourag� par les administrations dogmatiques de
l��poque, elles �taient nettement un frein en ce qui concernait l�histoire
contraignant le cautionnement d�un mod�le � l�approbation du Vatican.
Bien que dans une moindre mesure, cette situation
perdure encore aujourd�hui, puisque encore � ce jour, la plupart des
d�couvertes arch�ologiques sont soumise � l�approbation de cette organisation qui
est de loin le plus important repositoire de l�histoire ancienne de l�homme.
�tonnamment, une telle biblioth�que de l�humanit�
ne peut-�tre consult� que de certains individus, chaudement recommand�s et
tri�s sur le volets par les autorit�s religieuses et de plus, li�s � la plus stricte
confidentialit�.
J�illustrerai ces propos avec l�exp�rience de la
Biblioth�que de Huntington au �tats-Unis.
En 1947, sur le site de Qumr�n dominant la mer
morte, des b�douins d�couvrirent des rouleaux de parchemins soigneusement
enferm�s dans des jarres d�argiles. Les ann�es suivantes, plusieurs autres
manuscrits furent d�couvert dans les grottes avoisinantes.
Datant du 2i�me si�cle avant JC. Ces
textes d�une grande port�e historique furent attribu�s aux ess�niens qui �tait
une communaut� juive en rupture avec la religion officielle de l��poque.
D�une simplicit� enfantine car il n�y avait qu��
traduire les documents, les choses furent beaucoup plus complexes. Les
pol�miques s�enclench�rent autour de la propri�t� du site et des manuscrits
tant et si bien que 50 ans apr�s la d�couverte, certains des manuscrits ne sont
toujours pas traduit.
Confi�s pour la traduction � une institution
dominicaine l��cole publique de J�rusalem seule instance sp�cialis�e dans ce
domaine, le rythme de parution des publications sur ces recherches se ralentit
rapidement.
D�j� en 1977 des voix s��levaient pour d�noncer les
retards interminables pris par l��quipe charg� de la traduction des textes,
l�anglais John Allegro qui a particip� au travail d��dition de ces documents
s��leva contre ses confr�res qu�il accusa de faire volontairement silence sur
des documents qui seraient dangereux pour la foi.
Une contestation qui s�enfla jusqu�� ce qu�en 1991,
La biblioth�que am�ricaine de Huntington, � qui l��tat d�Isra�l avait permis de
photographier l�ensemble des manuscrits en assurance � une destruction
possible, met fin � cette page d�histoire et d�cide d�en autoriser
unilat�ralement l�acc�s aux chercheurs.
Volont� de cacher des extraits ou incomp�tence des
scientifiques ayant travaill� � ces documents, nul ne sait. Accusations et
th�ories foisonnent � ce sujet.
Dans le livre � Les manuscrits de la mer
morte r�v�l�s �, les deux chercheurs et auteurs du livre Eisenman et
Wise pr�tendent que la recherche scientifique et les publications sur les
textes anciens sont sujet � omerta qu�ils leurs faut briser.
M�me s�il est possible de conclure que de tels
gestes ne sont motiv�s que par la protection d�un dogme religieux et donc n�ont
que peu de cons�quence sur notre d�veloppement, il s�av�re rapidement que les
choses ne sont pas aussi simples.
Aujourd�hui, m�me si les nouvelles recherches ne
sont plus l�apanage le plus stricte des autorit�s religieuses depuis le� 18i�me si�cle, il ressort
n�anmoins que les t�moignages de notre histoire sont tortur�s entre
l�omnipr�sence de l�eccl�siaste, un financement d�ficient faisant figure
d�enfant pauvre en comparaison des autres branches de la science, un march�
noir tr�s cibl� et tr�s agressif initi�s par des collectionneurs d��lites
anonyme capable d�influencer, tel en Suisse, les lois � leurs avantages.
Extraits de son livre � Bloodline of the Holy
Grail, l�auteur Sir Laurence Gardner nous apprends ceci :
� Vers les ann�es 1880, les �tablissements
gouvernants sous la tutelle du Christianisme furent effray�s par la venue du
domaine de l�arch�ologie. De cet instant, toutes les fouilles
arch�ologiques� furent plac�es sous
contr�le tr�s stricte et leurs financements ainsi que le d�marrage des travaux
se devaient d��tres approuv�s par les autorit�s identifi�es.
Une de ces autorit�s nouvelles s�appelait le Fond
d�exploration de l��gypte et fut �tabli en Grande Bretagne en 1891. Sur la
toute premi�re page de son m�morandum et autres articles de l�association, il y
�tait stipul� que les objectifs du fond �tait d�effectuer des fouilles dans le
but d��lucider ou d�illustrer les textes de l�ancien Testament. �
Ce qui signifiait que toute nouvelle d�couverte ne respectant pas les enseignements bibliques ne serait pas divulgu� au publique. Ce qui n�existe pas, n�existe simplement pas et n�existera pas.
Le caract�re �pur� jusqu�� l�os du peu d�artefact
de l�histoire ancienne qui arrivent tant bien que mal jusqu�� nous ne permets
que d�alimenter un d�bat d�amateur contre le mod�le orthodoxe qui sera jug� par
les instances orthodoxes, tel qu�il se pratiquait couramment dans les donjons
de l�inquisition.
La mise sur pied il y a quelques ann�es d�une
nouvelle science appel� l�arch�oastronomie et qui fit suite � une surprenante
explosion de d�couvertes d�montrant la connaissances particuli�rement pr�cise
de l�astronomie chez nos anc�tres n�est qu�un exemple de ce manque de
connaissance de notre histoire ancienne.
Notre histoire est envelopp�e d�une grande
noirceur, r�sultat d�un effort soutenu et concert� � travers les si�cles par
l�orthodoxie monarchique chr�tienne et juive. Ces actions vise � soustraire de
nos yeux des connaissances dites � pa�ennes � et implanter ce qui
sera convenu d�appeler � L�Organisation de la Terre Plate �. En fait,
l�ensemble des menaces qui se sont oppos�es � la libre connaissance de notre
histoire sont telles qu�il est possible d�identifier ceci sous l��tiquette d�un
v�ritable g�nocide culturel.
Un crime
sans cadavre
Il faut songer aux diff�rentes guerres et conqu�tes
qui se sont produites au cours de l�histoire et qui visaient une conversion
sauvage au christianisme. La conversion de cultures pa�ennes au christianisme
fut de loin la plus co�teuse des guerres de l�histoire, prenant plus de 20 millions
de vies � travers l�histoire. Ferveur religieuse, m�urs de l��poque.
Et si en fait les motivations r�elles n��taient pas
tant d�enr�ler dans la chr�tient�, que d�effacer la culture pa�enne � tout
prix.
Lorsqu�un nouvel artefact de notre pass� ancien; ou
que la d�couverte de manuscrit ancien; ou que certaines recherches
scientifiques sur les raccords manquants entre notre science et certaines
r�miniscence de l�ancienne science se font trop persistante; la gouverne
actuelle se met en branle et apporte un feu nourri strat�gique et structur�.
Pour ce faire, � la communaut� �
chr�tienne fera dispara�tre tout ce qui ne rencontre pas le cadre en allant
jusqu�� menacer, diminuer ou m�me d�truire la vie du porteur de connaissance
pa�ennes.
Cette chasse aux sorci�res que fut l�inquisition
s�est fait poursuivi jusqu�au d�but 20i�me si�cle alors que des
villages Europ�ens �taient ravag�s sous un pr�texte de sorcellerie. Et m�me en
1950 moment jusqu�ou se poursuivit le g�nocide des communaut�s Indiennes de la
Colombie Britannique et de l��le de Victoria au Canada.
Sherlock
Holmes se plaisait � dire � �liminez l�impossible, il ne reste plus que
la v�rit� �
�l�mentaire
mon cher Watson.
Crime sans cadavre, la reconstruction d�une
Histoire n�est pas chose facile, durant cette grande noirceur, des pans entiers
furent escamot�s aux profits de d�autres � saveur plus orthodoxe. Des auteurs
tels Velikovsky ou Sitchin ont clairement d�montr�s dans leurs travaux la
pr�sence de tels chevauchement et de raccords remontant � la p�riode �gyptienne
et Sum�riennes.
Des r�f�rences historiques de moments important furent litt�ralement transfigur�s par une arm� de scribes et de moines de fa�on � brouiller les intentions et �v�nements r�els.
� Celui qui porte le crayon porte aussi
l�histoire. � Et il fut une �poque ou l��criture �tait l�apanage des Rois.
Un tel effort n�est pas � la port�e de tous et implique de fait un pouvoir peu
commun. Un pouvoir semblable � celui dont pouvait disposer la grande famille
Italienne Piso dans lequel trouvent racine les Medecis, quelques papes et la
plupart des familles Royales au sang bleu de l�Europe actuelle ainsi que de
leurs alli�s.
Au cours de notre histoire et encore � ce jour, des
dizaines de gens ont essay�s d�exprimer des visions de l�histoire mena�ant le
mod�le orthodoxe. Tu�, bless�, banni, ridiculis�, censur�, menac�,
l�acharnement contre ces gens fut s�v�re, beaucoup plus s�v�re qu�on ne
pourrait s�attendre de voir contre un illumin� quelconque, quelque soit la
p�riode.
Que penser de Socrate, Platon, Bacon, Linda (Orea
Linda), Galileo, Newton, Agrippa, Pythagore?
Que penser de Schliemann, Mesmer et Nicolas Tesla
qui bien qu�� l�origine de toutes les grandes d�couvertes sur l��lectricit� fut
priv� de financement de recherche � l�annonce d�une �lectricit� gratuite?
Que penser de T.T. Brown dont les r�sultats de
travaux de recherche disparurent de la surface de la plan�te � sa mort?
Que penser de Velikovsky avec le mouvement des
p�les, de Harpgood avec la science des anciens Sea Kings?
Santillana fut un professeur d�histoire �m�rite du
MIT. Sp�cialis� en histoire ancienne et disposant de ses entr�es � la
biblioth�que du Vatican, il fut cong�di� de son poste d�enseignement apr�s
avoir publi�s des th�ories historiques qui entraient en contradiction avec le
cadre orthodoxe.
Fleishman et Pons furent ridiculis�s apr�s leur
compte rendu publique sur la fusion froide. Encore aujourd�hui, des �tudes et
comptes rendus d�sastreux pour leurs carri�res sont financ�s par
l�establishment.
Club de Sceptiques, Bureau de brevet, financement,
publicit�, Bureau de Censure. Combien de milliers d�autres � ce jour, essaient
de faire entendre leurs voix aux repr�sentants de cet establishment esp�rant
leurs d�montrer l�importance de leurs d�couvertes, se heurtant a ce qu�ils
appellent de l�incompr�hension et de l�indiff�rence alors qu�en r�alit� il
s�agit des foudres et cons�quences d�un plan vicieux.
Et il y eut aussi bien sur, ceux qui furent port�s
en triomphe par l�establishment pour leur immense imagination et grande
intelligence, DaVinci, Einstein, Franklin, Edison, Wells, Bell. Si g�niaux
qu�ils inventent, con�oivent des douzaines de nouveaut�s dans les sph�res les
plus vari�s de la science. Ils d�couvrent et comprennent en quelques temps une
foule de concepts sur les sujets les plus vari�s. Pour le moins ahurissant
dirions-nous.
Ces gens et bien d�autres effleurent ce que furent les connaissances pa�ennes de notre histoire ancienne.
Mais qu�est donc ce savoir et ces connaissances
pa�ennes tant redout�e par le � Christiendom �. Tellement redoutable
que les tortures cruelles de l�inquisition n�ont eu leur pareil d�imagination
nulle part ailleurs dans l�histoire humaine. Que l�establishment n�h�sita pas �
d�truire des communaut�s enti�res et � tuer froidement plus de 12 millions de
personnes plut�t que de courir un risque. Qu�aujourd�hui m�me, elle n�h�sitera
pas � d�truire une carri�re ou m�me utiliser des moyens plus coercitif pour
atteindre ses fins.
Ou sont donc ces manuscrits et autres t�moignages
de la Grande Biblioth�que d�Alexandrie, v�ritable repositoire de la science
antique qui contenait plus de 6000 ann�es d�observations astronomiques? Et ceux
de la Chine Antique? Et ceux de l�Am�rique Antique? Et ceux de la Gr�ce
Antique?
Si l�or repr�sente une fa�on de soutenir le royaume
aujourd�hui, il faut admettre que la possibilit� d�acqu�rir les particularit�s
d�une science diff�rente de la notre, repr�sente une chance facile de
s�am�liorer rapidement et d��tre meilleur � soutenir le royaume demain.
L�histoire traditionnelle nous apprends qu�ils ont
tous �t� br�l�s malicieusement, par peur de l�ancienne magie ou par
inconscience. Pour le moins ahurissant dirions-nous.
Pythagore de Samos (569 - 475 BC) Voyagea en �gypte
et � Babylone. Il exposa la th�orie des nombres r�alit� math�matique de la
nature et le fait que la Terre �tait une sph�re.
Euclide (325 - 265BC) d�Alexandrie en plus d��crire un
livre qu�il intitula � Optique � synth�tisa le travail de ses
pr�d�cesseurs dans une s�rie de 13 livres qu�il �crit appel�s �Les
�l�ments � qui devint la source premi�re de raisonnement en g�om�trie pour
2000 ans.
Aristarchus (310 - 230
BC) Postula pour un univers h�liocentrique et appliqua la trigonom�trie pour
estimer les distances et les dimensions du soleil et de la lune
Archim�de de Syracuse
(287 - 212 BC) Exposa la valeur de pi.
Eratosth�nes (275-194
BC), Le troisi�me libraire d�Alexandrie, en plus de r�pertorier 44
constellations et 475 �toiles, il exposa la circonf�rence de la terre avec une
marge d�erreur de 1%, la longueur de l�ann�e de 365 � jours et mit de l�avant
l�id�e d�intercaler la journ�e bissextile; Il sugg�ra que les mers du globe
�taient interconnect�s entres elles et que l�inde pouvait �tre atteinte en
navigant vers l�ouest.
Appolonius de Perga
(262-190 BC) De son livre � Conique � il introduisit les termes
Parabole, ellipse, Hyperbole et polyh�dre. Dans un autre de ses livres
� Le miroir qui br�le � il d�crivit les propri�t�s focales du miroir
parabolique. Pour expliquer l�apparent mouvement des plan�tes � travers le
ciel, il d�crivit ce mouvement excentrique et �picyclo�de. Il d�veloppa
h�micyclium, un cadran solaire d�une grande pr�cision.
Hipparque de Bithynie
(190 - 120 BC) exposa et mesura la pr�cession des �quinoxes, la dimension et la
trajectoire du soleil et de la lune. Il r�pertoria les constellations et le
fait que les �toiles puissent avoir une naissance et un d�clin. Il importa de
Babylone l�unit de mesure de 360 degr�s et calcula la longueur de l�ann�e avec
6 minutes de pr�cisions.
Ptol�m�e Claudius ( 87
-150 AD) S�appliqua � supporter son syst�me g�ocentrique, il �crivit un trait�
sur l�astrologie.
Dans son excellent livre � Hamlet Mill �,
l�historien Santillana nous dit les choses suivantes :
� Peu�
apr�s Pythagore enseigna que les choses �taient des nombres. De ce
moment, les math�matiques furent n�s. Le myst�re entourant l�origine r�elle des
math�matiques est encore avec nous � ce jour. �
� son vieil �ge, le math�maticien et philosophe
Bertrand Russel qui �tudia toute sa vie durant les travaux de Pythagore se
sentit forc� d�avouer que s�il est une conclusion qu�il pouvait tirer des
enseignements de Pythagore elle concernerait la nature de la clart� de la
logique et qu�elle n�avait rien � voir avec la philosophie.
� L�utilisation des nombres tel qu�il l�a fait
continue d��tre un myst�re � ce jour et de ce myst�re est n�e la
m�taphysique. �
Il
est constant � la lecture des anciens textes d��tre frapp� par cette clart�
d�esprit et cette logique qui caract�rise les gens cultiv�s et matures issues
de soci�t� �volu�es, terreau n�cessaire a un tel r�sultat. Bref, tout � fait �
l�oppos� de l�image traditionnelle de barbares vivant dans des huttes.
Des soci�t�s d�velopp�es utilisant des techniques bas�es sur des connaissances similaires aux n�tres et qui parfois se servent de mat�riaux de fa�on inusit� et incomprise.
Que dire des cartes g�ographiques des anciens
� Sea Kings � qui provenant du fond des �ges nous montrent des
continents diff�rents et des cotes inexistantes.
Que dire de ces constructions m�galithiques
�tonnants qui jonchent la surface de la plan�te.
Que dire de ces sites m�galithiques qui pars�ment
le fond de l�oc�an.
Que dire de cette connaissance particuli�re de
l�astronomie. Tant par les dizaines de r�f�rences fournis par Santillana et
bien d�autres historiens, que dans les centaines d�artefacts retrouv�s aux
quatre coins du monde, une de ces science antique �tait sans aucun doute celle
du ciel, de ces dieux dont Aristote disait � qui voulait l�entendre que les
dieux des anciens �taient en fait les �toiles du firmament.
De par le monde aujourd�hui, tous les b�timents
connus datant de l��re pr�-chr�tienne qui ont surv�cu au passage du temps,
poss�dent des r�f�rences astronomiques tr�s pr�cises � l�int�rieur de leurs
constructions. Et dans les b�timents les plus anciens, se trouve les r�f�rences
astronomiques les plus incroyables.
Devant l�explosion de telles d�couvertes faisant
suite aux th�ories de Santillana , une nouvelle dimension de l�arch�ologie fut
cr�e depuis une dizaines d�ann�es, l�astroarch�ologie. Cette science a pour
objectif sp�cifique de d�couvrir les diff�rentes relations qui existaient entre
les monuments antiques et les r�f�rences c�lestes. Du m�me souffle venait un
avantage non n�gligeable suppl�mentaire � l�acad�misation de cette
connaissance, celle de donner � l�establishment la capacit� du contr�le de
l�information.
Du m�me coup Santillana se questionnait concernant
les t�moignages anciens :
� On ne peut que s��tonner de cette obsession continuelle des �toiles et de leurs mouvements �
Santillana avait bien raison. Il est tr�s vrai qu��
la lecture de l�histoire ancienne, on ne peut que s��tonner de cette obsession.
Elle y est v�ritablement omnipr�sente jusque dans les cours Royales d�Europe.
Platon, qui v�cut en 350 de l��re pr�c�dente nous
donnent quelques indices lorsqu�il parle des multiples catastrophes qui ont
frapp� la terre de fa�on cyclique.
La description qu�en font les r�cits d�Orea Linda
de ces m�mes catastrophes sont terrifiants. Il n�y a pas de fa�on d�envisager
qu�une telle description ne puissent �tre qu�a une �chelle locale.
Une partie de cette chape de secret est soulev�
lorsque � cette analyse est ajout� les cartes de l�Amiral Piri Reis r�put�
utiliser des r�f�rences tr�s anciennes.
Il y a 5000 ans, les calottes polaires �taient
beaucoup plus grande qu�elle ne le sont aujourd�hui, et par cons�quent
recouvraient une partie beaucoup plus importantes des continents. Les mers
affect�es par cette quantit� d�eau en moins laissaient appara�tre des rivages
diff�rents. Ceci explique la raison pour laquelle il n�y a pas de t�moignage de
l��poque du m�galithique � l�ext�rieur de cette zone, il n�y en a aucun. Ni
ancienne culture, ni monuments, ni tombes anciennes.
L�Atlantide la cit�-�tat, �tait situ� sur une
grande p�ninsule s��tendant du Belize � la Floride en passant par Cuba et
Ha�ti.
L�Atlantide le domaine, en plus de comprendre les
terres d�j� d�crites, poss�daient aussi l�int�rieur des deux Am�riques incluant
les haut sommet du P�rou, le nord ouest de l�Afrique, du Nigeria � la Lybie.
Les cartes de Piri Reis utilisant un syst�me de
positionnement angulaire inconnu de nos jours, d�montre bien la situation de la
Terre � cette �poque.
Carte de Piri Reis, Antarctique avec la pointe de
l'Afrique du Sud et de l'Am�rique du Sud.
De plus, l�amiral Reis nous apprends que
l�Antarctique d�une certaine �poque lointaine poss�dait des cotes d�garnies de
glace.
Les mers du globe �taient sillonn�es par une marine
commerciale permettant l��change des ressources entre les cit�s �tats.� Le savoir, riche de milliers d�ann�es
d�observations �tait r�pandu de fa�on homog�ne � travers les peuples de la
Terre.
Il y a 5000 ans, le quotidien de l�homme fut chang�
� jamais lorsqu�un �v�nement inconnu vint rompre la balance isostatique de la
plan�te terre lib�rant du m�me coup des quantit�s gigantesques de lave et de gaz
carbonique dans l�atmosph�re. Une catastrophe d�envergure plan�taire que
l�histoire biblique appelle le d�luge.
Platon nous dit que les terres furent emport�es par
la pluie jusqu'� la mer, ne laissant que la rocaille la mis�re et la famine.
Et la fonte des glaces se fit � une vitesse
vertigineuse. Les surfaces qui n��taient pas prot�g�es par la lourde protection
de la glace �taient d�pouill�es par la pluie jusqu�� en faire des d�serts. Le
niveau des mers remonta a une vitesse inimaginable, engloutissant les villes
�tabli le long des littoraux.
Tous les peuples de la Terre ont leur propre
l�gende traitant de la d�vastation des leurs lors d�une catastrophe majeure.
Mais Orea Linda, un ancien texte originaire de la r�gion des basses terres
hollandaise nous le d�crit avec une simplicit� d�sarmante :
CHAP�TRE
XXl: CECI EST �CRIT SUR TOUS LES BOURGS.
1.
Avant que viennent le mauvais temps, notre terre �tait la plus belle dans tout
le monde, le Soleil se levait haut et il n'y avait que rarement de la gel�e.
Les arbres et buissons produisaient des fruits vari�[1]s,
qui sont maintenant perdu. Dans les champs, nous n'avions pas seulement de
l'orge et du malte, mais il y avait aussi du bl� qui brillait comme de l'or, et
qui pouvait �tre cuit dans les rayons du soleil. Les ann�es n'�taient pas
compt�s puisque les unes �taient plus belles que les autres.
CHAP�TRE
XXII: COMMENT D�BUTA LE MAUVAIS TEMPS.
1.
Durant tout l'�t�, le soleil �tait cach� derri�re les nuages,� comme s'il n'osait regarder Irtha. C'�tait
le calme perp�tuel et le brouillard mouillait les poumons comme une voile
expos� par-dessus une maison des marais est mouill�. L'air �tait lourd et
oppressif et le c�ur des hommes n'�tait pas joyeux.
2.
Au milieu de ce calme, Irtha commen�a � trembler comme si elle �tait mourante.
Les montagnes s'ouvrirent pour vomir feux et flammes. Certaines ont m�me coul�
dans le c�ur d'Irtha alors qu�� d'autres endroits les montagnes sortirent de la
plaine. Aldland, appel� Atland par les navigateurs, disparut dans les vagues
sauvages qui se lev�rent tellement haut sur la c�te que tout disparut sous la
mer. Plusieurs personnes furent aval�es par Irtha et les autres qui
s'�chapp�rent du feu p�rirent par la mer.
3.
C'�tait aussi sur la terre de Finda que Irtha vomit le feu et au Twiskland.
Toutes les for�ts br�l�rent les unes apr�s les autres et quand le vent souffla
vers nos terres, elles furent couvertes de cendres. Les rivi�res chang�rent
leurs courses et dans leurs bouches, de nouvelles �les se form�rent de sable.
4,
Durant trois ann�es, ceci se poursuivit, mais � la longue cessa et les for�ts
redevinrent visible. Les rivages �taient m�connaissables. Plusieurs pays furent
engloutis et d'autres places la terre sortirent de la mer et la for�t fut
d�truite sur la moiti� du Twiskland. Et les gens qui restaient vinrent et
s'install�rent dans les places vides. Nos gens, qui �taient dispers�s furent
extermin�s ou fait esclaves. La surveillance �tait doublement importante pour
nous et le temps nous enseigna que l'union fait la force.
Platon disait : � Les cit�s
disparaissaient, il ne restait que l�inculte et le montagnard pour reb�tir la
soci�t�. �
D�s le passage de la crise, les survivants se regroupaient et repartaient une soci�t�. Tout � fait comme si ce genre de catastrophe �tait cyclique.
Le savoir ancien prenait � un moment ou � un autre une valeur inestimable, ceux qui sauraient le conserver se verraient nettement avantag�. L�or pour aujourd�hui mais le savoir pour demain.
La soci�t� d�aujourd�hui est au prise avec les cons�quences d�une conspiration qui enjambe l�histoire.
Une filiation de malfrats puissants et sans scrupules,
r�fugi� derri�re des ic�nes orthodoxes de notre soci�t�, poss�dant des moyens
et une capacit� d�action hors de la port�e du commun des mortels. Cette meute,
profitant des cons�quences d�une catastrophe astro-climatique, d�cimant la vie
sur Terre de fa�on p�riodique, s�est appropri�e les connaissances et
l�intelligence des g�n�rations ancestrales.
Brandissant Feux, sang, meurtres, guerres, g�nocides, loi divines, Bibles, religion, b�ton, science et dollars, ils ont termin�s le ramassage de ce qui en restait de cette science. Distiller au � vulgaire � de la fa�on la plus profitable possible au prix du march� servile, l�ancienne science en attendant sagement le prochain tiraillement astro-climatique pr�vu et il n�y avait qu�� tout recommencer.
Amput� de notre histoire ancienne, il ne nous reste maintenant que mythes et l�gendes fantastiques et des monuments ahurissants.� Le rythme d��volution de notre soci�t� s�est pratiquement arr�t� ensuite sur plus de 4500 ans.
Mutilations des suites de ce g�nocide culturel, nous vivons dans une soci�t� rempli de tabou face � des mots tels conspirations, catastrophes, force c�leste p�riodiques, alignements de plan�tes, g�nocides, le tabou du mot �tant une promesse de la protection du concept. Significativement plus religieux, les petits morceaux d�histoire restants furent soigneusement cach�s et transmis � l�int�rieur d�ordre secrets.
Une soci�t� contr�l�e, dans laquelle le m�rite financier est le moteur m�me de sa censure et dans laquelle la lumi�re du succ�s se manifeste honteusement plus forte et plus souvent le long de certaines affiliations g�n�tiques. Une soci�t� dans laquelle des DaVinci, Einstein, Franklin, Edison, Wells, Bell n�ont pas jou� le r�le g�nial que l�histoire leur a attribu�.
Une soci�t� qui doit aujourd�hui supporter les actions et les cons�quences d�un crime qui n�aura jamais pu �tre emp�ch�. Le succ�s aussi odieux soit-il, �tant la ran�on du secret. Comment pardonner le motif d�une soif obsc�ne de pouvoir alors que ce devait �tre au nom d�une ferveur religieuse.
Celui qui poss�de le crayon poss�de l�histoire. Celui qui poss�de le m�gaphone poss�de la foule.
� Gloire � Jay, Gloire � Jay �
Hommes
en noir ll
� S�il y avait moyen d��viter ces r�voltes populaires, elles sont si lassantes. �
Un
Roi
Le savoir pa�en
Mais qu�est donc ce savoir et ces connaissances pa�ennes tant redout�s par le � Christiendom �.
Aux dire de nos anc�tres ayant v�cu sur terre � la suite du d�luge, le savoir des anciens pr�c�dant le d�luge �tait incomparable et provenait de leurs p�res ou d�une g�n�ration pr�c�dente.
Ces connaissances permettaient l�utilisation � dessein de force incomprise ayant des cons�quences titanesques. La connaissance de la vo�te c�leste et des forces la r�gissant. La science appliqu�e, une science de m�canisation, m�tallurgie, qui ont permis la construction de certains monuments m�galithiques. Les sciences de l��tre avec la sociologie, la politique, la m�decine, la pharmacologie.
Bref, une soci�t� au niveau de d�veloppement � tout le moins semblable au n�tre.
La soci�t� d�apr�s d�luge n�avait plus la masse d�individus suffisants pour poursuivre cette connaissance, la perdant au fil des g�n�rations sans �ducation ne conservant que l�essentiel. Toujours aux dire de nos anc�tres d�apr�s d�luge, cette connaissance, ce savoir s�est peu � peu transform� en objet de pouvoir et d�adoration, suscitant convoitise et envie � travers mythes et l�gendes. L��tablissement du rituel et de la l�gende devint n�cessaire pour se rem�morer de g�n�ration en g�n�ration ce qui ne devenait gu�re plus qu�un mythe
Le peu de monument, temple, �crit et artefacts de l��poque m�galithique sont les t�moins de cette science que nous ayons, vu � travers d��normes catacyclismes et 5000 ans de chasse aux sorci�res meurtri�res fait de main de ma�tres par cette meute de loups affam�es que nous appellerons � Les chevaliers de la Terre Plate �
Voici avec le recul d�une analyse objective et du haut de notre science actuelle, les bribes de ce savoir ancestral parvenues jusqu�� nous.
La reconstruction de notre histoire ancienne ne sera pas chose facile. Il nous faut faire une analyse objective des bribes de ce savoir ancestral parvenues jusqu�� nous, du haut de ce que nous permets la science d�aujourd�hui.
Vannevar Bush, � l�instar des Da Vinci et Edison, fut l�un
de ces chevaliers de la Terre plate. Affiliation de sang bleu, il fut l�un des
traducteurs de l�ancienne science au monde moderne des plus prolifiques.
Le Dr Bush n�est pas le premier venu. Scientifique au
collet blanc, il fut directeur du bureau de la recherche et du d�veloppement
scientifique des �tats-Unis de l�apr�s guerre des ann�es 40 et 50. Il fut
responsable de la coordination des activit�s de plus de 6000 scientifiques de
haut calibre dans l�application de la science de la guerre incluant Einstein,
Von neuman, Von Braun, Oppenheimer.
En charge des laboratoires Princeton, il fut entre autres
responsable du d�veloppement de l�informatique, de la bombe atomique, du
programme spatial et du fameux comit� MJ12.
Voici un commentaire �loquent, tir� de son discours de
juillet 1945, � Comme on pourrait le penser �
� S�il avait �t� donn� � un Pharaon d��gypte les
plans et usages d�taill�s d�une automobile; et s�il avait �t� donn� � ce m�me
Pharaon de les comprendre enti�rement, il aurait eu alors � taxer toutes les
ressources de son royaume pour en fabriquer les pi�ces et ne r�ussir qu��
fa�onner un prototype qui aurait flanch� � son premier voyage � Giza. �
Histoire
rectifi�e du monde nous montrent ce qu�il en fut.
Impact sur notre histoire
moderne, soci�t� actuelle et futur
Bien
respectueusement,
Pierre Hardy
[1] Ce
commentaire en lui-m�me implique un changement de temp�rature durant une
p�riode prolong�e.