Le
syndrome de la Terre plate.
L’histoire ancienne orthodoxe, celle enseignée dans
les écoles, est en réalité très simple.
L’homme semblable à ce que nous sommes, vit sur
terre depuis 400,000 ans.
Des hommes des cavernes apprirent a faire du feu et
des peintures dans les cavernes il y a 20,000 ans.
Il y a 6000 ans : Des tribus et des villages
barbares s’établissaient ici et là près des cours d’eau et des terres arabes.
Il y a 4000 ans : Certaines de ces tribus se
regroupent en villages et en micro société et laissent des vestiges de
dimension gigantesques qui, pour la plupart sont identifiés comme des tributs à
leurs Dieux ou à leurs propres
narcissismes.
Il y a 3500 ans : Une de ces tribus barbares fit
une échappé par le détroit de Bering sur la glace et aboutit au Pérou et en
Colombie construisant au passage quelques pyramides.
Il y a 2000 ans, le Christ est venu au monde et de
cette même période origine notre monde moderne tel qu’on le connaît.
Ceci termine à peu de choses près la dorsale de notre histoire ancienne.
De la richesse de l’histoire, il nous est possible
de tirer le fil tisseur qui nous servira à comprendre le présent et planifier
le futur.
Pour arriver a rencontrer de tels objectifs,
L’histoire, tel tout autre science doit fonctionner selon une méthode de
travail débutant par un cadre précis d’analyse des données factuelles connues.
De l’ensemble de ces donnés vient la mise au point
d’une hypothèse de travail qui devra, pour être valable incorporer l’ensemble
des donnés analysées. Une telle hypothèse ou modèle demeurera valide tant et
aussi longtemps que toute nouvelle données acquise pourra s’y imbriquer.
Ce concept fut appliqué par exemple à la physique
lorsque Newton découvrit les équations relatives à la gravitation. Alors que le
temps passait et que de plus en plus d‘éléments menaçaient le modèle mis en
place par Newton, un nouveau modèle s’imposa, s’appuyant sur la relativité
d’Einstein, et ainsi de suite.
Les périodes entre les changement des différents
modèles utilisés varie considérablement selon le domaine de la science ainsi
que les niveaux de recherche effectués. Le dynamisme ou les restrictions
imposés par les décideurs seront déterminants de la vitesse de l’évolution. Il
arrive parfois que les concepts stagnent, tel la science mature de la
métallurgie qui origine de la révolution industrielle, ou qu’ils subissent une
évolution accélérée comme il fut possible de constater depuis les années 60
dans le domaine de l’électronique de pointe et de l’informatique..
À l’analyse des périodes de changements, force est
de constater que tout ceci n’est vrai que depuis 400 ans. Jusqu'à ce moment et
aussi loin que l’histoire puisse remonter, les poussés inquisitrices effectuées
sous le couvert d’un fondamentalisme religieux empêchaient toute forme de
développement des sciences.
L’éveil scientifique du 15ième et 16ième siècles fut directement
relié à la création d’une communauté d’intérêts duquel il fut possible pour les
chercheurs de documenter et de publier le résultat de leurs travaux mais aussi
de s’appuyer sur des modèles et des résultats de travaux antérieurs.
Depuis cette époque, les modifications apportées
aux modèles scientifiques existants ou les changements de modèle furent légion
quelque soit la sphère de la science observée. Physique, chimie, mathématiques,
astronomie, géologie, tous, sauf l’histoire.
Très curieusement l’histoire est en effet, la seule
sphère de la science ou le modèle n’a pas changé depuis le début de l’ère
Chrétienne. Il y a 3500 ans, alors que les Israélites poursuivaient leurs
traversés de l’Égypte à la Terre Promise, l’histoire se figeait sourdement pour
devenir en quelques siècles exactement ce qu’elle est aujourd’hui.
Même le phénomène de la Renaissance n’eut que peut
d’effet sur le développement de l’histoire. Même si le développement des
sciences n’était que peu encouragé par les administrations dogmatiques de
l’époque, elles étaient nettement un frein en ce qui concernait l’histoire
contraignant le cautionnement d’un modèle à l’approbation du Vatican.
Bien que dans une moindre mesure, cette situation
perdure encore aujourd’hui, puisque encore à ce jour, la plupart des
découvertes archéologiques sont soumise à l’approbation de cette organisation qui
est de loin le plus important repositoire de l’histoire ancienne de l’homme.
Étonnamment, une telle bibliothèque de l’humanité
ne peut-être consulté que de certains individus, chaudement recommandés et
triés sur le volets par les autorités religieuses et de plus, liés à la plus stricte
confidentialité.
J’illustrerai ces propos avec l’expérience de la
Bibliothèque de Huntington au États-Unis.
En 1947, sur le site de Qumrân dominant la mer
morte, des bédouins découvrirent des rouleaux de parchemins soigneusement
enfermés dans des jarres d’argiles. Les années suivantes, plusieurs autres
manuscrits furent découvert dans les grottes avoisinantes.
Datant du 2ième siècle avant JC. Ces
textes d’une grande portée historique furent attribués aux esséniens qui était
une communauté juive en rupture avec la religion officielle de l’époque.
D’une simplicité enfantine car il n’y avait qu’à
traduire les documents, les choses furent beaucoup plus complexes. Les
polémiques s’enclenchèrent autour de la propriété du site et des manuscrits
tant et si bien que 50 ans après la découverte, certains des manuscrits ne sont
toujours pas traduit.
Confiés pour la traduction à une institution
dominicaine l’école publique de Jérusalem seule instance spécialisée dans ce
domaine, le rythme de parution des publications sur ces recherches se ralentit
rapidement.
Déjà en 1977 des voix s’élevaient pour dénoncer les
retards interminables pris par l’équipe chargé de la traduction des textes,
l’anglais John Allegro qui a participé au travail d’édition de ces documents
s’éleva contre ses confrères qu’il accusa de faire volontairement silence sur
des documents qui seraient dangereux pour la foi.
Une contestation qui s’enfla jusqu’à ce qu’en 1991,
La bibliothèque américaine de Huntington, à qui l’état d’Israël avait permis de
photographier l’ensemble des manuscrits en assurance à une destruction
possible, met fin à cette page d’histoire et décide d’en autoriser
unilatéralement l’accès aux chercheurs.
Volonté de cacher des extraits ou incompétence des
scientifiques ayant travaillé à ces documents, nul ne sait. Accusations et
théories foisonnent à ce sujet.
Dans le livre « Les manuscrits de la mer
morte révélés », les deux chercheurs et auteurs du livre Eisenman et
Wise prétendent que la recherche scientifique et les publications sur les
textes anciens sont sujet à omerta qu’ils leurs faut briser.
Même s’il est possible de conclure que de tels
gestes ne sont motivés que par la protection d’un dogme religieux et donc n’ont
que peu de conséquence sur notre développement, il s’avère rapidement que les
choses ne sont pas aussi simples.
Aujourd’hui, même si les nouvelles recherches ne
sont plus l’apanage le plus stricte des autorités religieuses depuis le 18ième siècle, il ressort
néanmoins que les témoignages de notre histoire sont torturés entre
l’omniprésence de l’ecclésiaste, un financement déficient faisant figure
d’enfant pauvre en comparaison des autres branches de la science, un marché
noir très ciblé et très agressif initiés par des collectionneurs d’élites
anonyme capable d’influencer, tel en Suisse, les lois à leurs avantages.
Extraits de son livre « Bloodline of the Holy
Grail, l’auteur Sir Laurence Gardner nous apprends ceci :
« Vers les années 1880, les établissements
gouvernants sous la tutelle du Christianisme furent effrayés par la venue du
domaine de l’archéologie. De cet instant, toutes les fouilles
archéologiques furent placées sous
contrôle très stricte et leurs financements ainsi que le démarrage des travaux
se devaient d’êtres approuvés par les autorités identifiées.
Une de ces autorités nouvelles s’appelait le Fond
d’exploration de l’Égypte et fut établi en Grande Bretagne en 1891. Sur la
toute première page de son mémorandum et autres articles de l’association, il y
était stipulé que les objectifs du fond était d’effectuer des fouilles dans le
but d’élucider ou d’illustrer les textes de l’ancien Testament. »
Ce qui signifiait que toute nouvelle découverte ne respectant pas les enseignements bibliques ne serait pas divulgué au publique. Ce qui n’existe pas, n’existe simplement pas et n’existera pas.
Le caractère épuré jusqu’à l’os du peu d’artefact
de l’histoire ancienne qui arrivent tant bien que mal jusqu’à nous ne permets
que d’alimenter un débat d’amateur contre le modèle orthodoxe qui sera jugé par
les instances orthodoxes, tel qu’il se pratiquait couramment dans les donjons
de l’inquisition.
La mise sur pied il y a quelques années d’une
nouvelle science appelé l’archéoastronomie et qui fit suite à une surprenante
explosion de découvertes démontrant la connaissances particulièrement précise
de l’astronomie chez nos ancêtres n’est qu’un exemple de ce manque de
connaissance de notre histoire ancienne.
Notre histoire est enveloppée d’une grande
noirceur, résultat d’un effort soutenu et concerté à travers les siècles par
l’orthodoxie monarchique chrétienne et juive. Ces actions vise à soustraire de
nos yeux des connaissances dites « païennes » et implanter ce qui
sera convenu d’appeler « L’Organisation de la Terre Plate ». En fait,
l’ensemble des menaces qui se sont opposées à la libre connaissance de notre
histoire sont telles qu’il est possible d’identifier ceci sous l’étiquette d’un
véritable génocide culturel.
Un crime
sans cadavre
Il faut songer aux différentes guerres et conquêtes
qui se sont produites au cours de l’histoire et qui visaient une conversion
sauvage au christianisme. La conversion de cultures païennes au christianisme
fut de loin la plus coûteuse des guerres de l’histoire, prenant plus de 20 millions
de vies à travers l’histoire. Ferveur religieuse, mœurs de l’époque.
Et si en fait les motivations réelles n’étaient pas
tant d’enrôler dans la chrétienté, que d’effacer la culture païenne à tout
prix.
Lorsqu’un nouvel artefact de notre passé ancien; ou
que la découverte de manuscrit ancien; ou que certaines recherches
scientifiques sur les raccords manquants entre notre science et certaines
réminiscence de l’ancienne science se font trop persistante; la gouverne
actuelle se met en branle et apporte un feu nourri stratégique et structuré.
Pour ce faire, « la communauté »
chrétienne fera disparaître tout ce qui ne rencontre pas le cadre en allant
jusqu’à menacer, diminuer ou même détruire la vie du porteur de connaissance
païennes.
Cette chasse aux sorcières que fut l’inquisition
s’est fait poursuivi jusqu’au début 20ième siècle alors que des
villages Européens étaient ravagés sous un prétexte de sorcellerie. Et même en
1950 moment jusqu’ou se poursuivit le génocide des communautés Indiennes de la
Colombie Britannique et de l’île de Victoria au Canada.
Sherlock
Holmes se plaisait à dire « Éliminez l’impossible, il ne reste plus que
la vérité »
Élémentaire
mon cher Watson.
Crime sans cadavre, la reconstruction d’une
Histoire n’est pas chose facile, durant cette grande noirceur, des pans entiers
furent escamotés aux profits de d’autres à saveur plus orthodoxe. Des auteurs
tels Velikovsky ou Sitchin ont clairement démontrés dans leurs travaux la
présence de tels chevauchement et de raccords remontant à la période Égyptienne
et Sumériennes.
Des références historiques de moments important furent littéralement transfigurés par une armé de scribes et de moines de façon à brouiller les intentions et évènements réels.
« Celui qui porte le crayon porte aussi
l’histoire. » Et il fut une époque ou l’écriture était l’apanage des Rois.
Un tel effort n’est pas à la portée de tous et implique de fait un pouvoir peu
commun. Un pouvoir semblable à celui dont pouvait disposer la grande famille
Italienne Piso dans lequel trouvent racine les Medecis, quelques papes et la
plupart des familles Royales au sang bleu de l’Europe actuelle ainsi que de
leurs alliés.
Au cours de notre histoire et encore à ce jour, des
dizaines de gens ont essayés d’exprimer des visions de l’histoire menaçant le
modèle orthodoxe. Tué, blessé, banni, ridiculisé, censuré, menacé,
l’acharnement contre ces gens fut sévère, beaucoup plus sévère qu’on ne
pourrait s’attendre de voir contre un illuminé quelconque, quelque soit la
période.
Que penser de Socrate, Platon, Bacon, Linda (Orea
Linda), Galileo, Newton, Agrippa, Pythagore?
Que penser de Schliemann, Mesmer et Nicolas Tesla
qui bien qu’à l’origine de toutes les grandes découvertes sur l’électricité fut
privé de financement de recherche à l’annonce d’une électricité gratuite?
Que penser de T.T. Brown dont les résultats de
travaux de recherche disparurent de la surface de la planète à sa mort?
Que penser de Velikovsky avec le mouvement des
pôles, de Harpgood avec la science des anciens Sea Kings?
Santillana fut un professeur d’histoire émérite du
MIT. Spécialisé en histoire ancienne et disposant de ses entrées à la
bibliothèque du Vatican, il fut congédié de son poste d’enseignement après
avoir publiés des théories historiques qui entraient en contradiction avec le
cadre orthodoxe.
Fleishman et Pons furent ridiculisés après leur
compte rendu publique sur la fusion froide. Encore aujourd’hui, des études et
comptes rendus désastreux pour leurs carrières sont financés par
l’establishment.
Club de Sceptiques, Bureau de brevet, financement,
publicité, Bureau de Censure. Combien de milliers d’autres à ce jour, essaient
de faire entendre leurs voix aux représentants de cet establishment espérant
leurs démontrer l’importance de leurs découvertes, se heurtant a ce qu’ils
appellent de l’incompréhension et de l’indifférence alors qu’en réalité il
s’agit des foudres et conséquences d’un plan vicieux.
Et il y eut aussi bien sur, ceux qui furent portés
en triomphe par l’establishment pour leur immense imagination et grande
intelligence, DaVinci, Einstein, Franklin, Edison, Wells, Bell. Si géniaux
qu’ils inventent, conçoivent des douzaines de nouveautés dans les sphères les
plus variés de la science. Ils découvrent et comprennent en quelques temps une
foule de concepts sur les sujets les plus variés. Pour le moins ahurissant
dirions-nous.
Ces gens et bien d’autres effleurent ce que furent les connaissances païennes de notre histoire ancienne.
Mais qu’est donc ce savoir et ces connaissances
païennes tant redoutée par le « Christiendom ». Tellement redoutable
que les tortures cruelles de l’inquisition n’ont eu leur pareil d’imagination
nulle part ailleurs dans l’histoire humaine. Que l’establishment n’hésita pas à
détruire des communautés entières et à tuer froidement plus de 12 millions de
personnes plutôt que de courir un risque. Qu’aujourd’hui même, elle n’hésitera
pas à détruire une carrière ou même utiliser des moyens plus coercitif pour
atteindre ses fins.
Ou sont donc ces manuscrits et autres témoignages
de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie, véritable repositoire de la science
antique qui contenait plus de 6000 années d’observations astronomiques? Et ceux
de la Chine Antique? Et ceux de l’Amérique Antique? Et ceux de la Grèce
Antique?
Si l’or représente une façon de soutenir le royaume
aujourd’hui, il faut admettre que la possibilité d’acquérir les particularités
d’une science différente de la notre, représente une chance facile de
s’améliorer rapidement et d’être meilleur à soutenir le royaume demain.
L’histoire traditionnelle nous apprends qu’ils ont
tous été brûlés malicieusement, par peur de l’ancienne magie ou par
inconscience. Pour le moins ahurissant dirions-nous.
Pythagore de Samos (569 - 475 BC) Voyagea en Égypte
et à Babylone. Il exposa la théorie des nombres réalité mathématique de la
nature et le fait que la Terre était une sphère.
Euclide (325 - 265BC) d’Alexandrie en plus d’écrire un
livre qu’il intitula « Optique » synthétisa le travail de ses
prédécesseurs dans une série de 13 livres qu’il écrit appelés “Les
Éléments » qui devint la source première de raisonnement en géométrie pour
2000 ans.
Aristarchus (310 - 230
BC) Postula pour un univers héliocentrique et appliqua la trigonométrie pour
estimer les distances et les dimensions du soleil et de la lune
Archimède de Syracuse
(287 - 212 BC) Exposa la valeur de pi.
Eratosthènes (275-194
BC), Le troisième libraire d’Alexandrie, en plus de répertorier 44
constellations et 475 étoiles, il exposa la circonférence de la terre avec une
marge d’erreur de 1%, la longueur de l’année de 365 ¼ jours et mit de l’avant
l’idée d’intercaler la journée bissextile; Il suggéra que les mers du globe
étaient interconnectés entres elles et que l’inde pouvait être atteinte en
navigant vers l’ouest.
Appolonius de Perga
(262-190 BC) De son livre « Conique » il introduisit les termes
Parabole, ellipse, Hyperbole et polyhèdre. Dans un autre de ses livres
« Le miroir qui brûle » il décrivit les propriétés focales du miroir
parabolique. Pour expliquer l’apparent mouvement des planètes à travers le
ciel, il décrivit ce mouvement excentrique et épicycloïde. Il développa
hémicyclium, un cadran solaire d’une grande précision.
Hipparque de Bithynie
(190 - 120 BC) exposa et mesura la précession des équinoxes, la dimension et la
trajectoire du soleil et de la lune. Il répertoria les constellations et le
fait que les étoiles puissent avoir une naissance et un déclin. Il importa de
Babylone l’unit de mesure de 360 degrés et calcula la longueur de l’année avec
6 minutes de précisions.
Ptolémée Claudius ( 87
-150 AD) S’appliqua à supporter son système géocentrique, il écrivit un traité
sur l’astrologie.
Dans son excellent livre « Hamlet Mill »,
l’historien Santillana nous dit les choses suivantes :
« Peu
après Pythagore enseigna que les choses étaient des nombres. De ce
moment, les mathématiques furent nés. Le mystère entourant l’origine réelle des
mathématiques est encore avec nous à ce jour. »
À son vieil âge, le mathématicien et philosophe
Bertrand Russel qui étudia toute sa vie durant les travaux de Pythagore se
sentit forcé d’avouer que s’il est une conclusion qu’il pouvait tirer des
enseignements de Pythagore elle concernerait la nature de la clarté de la
logique et qu’elle n’avait rien à voir avec la philosophie.
« L’utilisation des nombres tel qu’il l’a fait
continue d’être un mystère à ce jour et de ce mystère est née la
métaphysique. »
Il
est constant à la lecture des anciens textes d’être frappé par cette clarté
d’esprit et cette logique qui caractérise les gens cultivés et matures issues
de société évoluées, terreau nécessaire a un tel résultat. Bref, tout à fait à
l’opposé de l’image traditionnelle de barbares vivant dans des huttes.
Des sociétés développées utilisant des techniques basées sur des connaissances similaires aux nôtres et qui parfois se servent de matériaux de façon inusité et incomprise.
Que dire des cartes géographiques des anciens
« Sea Kings » qui provenant du fond des âges nous montrent des
continents différents et des cotes inexistantes.
Que dire de ces constructions mégalithiques
étonnants qui jonchent la surface de la planète.
Que dire de ces sites mégalithiques qui parsèment
le fond de l’océan.
Que dire de cette connaissance particulière de
l’astronomie. Tant par les dizaines de références fournis par Santillana et
bien d’autres historiens, que dans les centaines d’artefacts retrouvés aux
quatre coins du monde, une de ces science antique était sans aucun doute celle
du ciel, de ces dieux dont Aristote disait à qui voulait l’entendre que les
dieux des anciens étaient en fait les étoiles du firmament.
De par le monde aujourd’hui, tous les bâtiments
connus datant de l’ère pré-chrétienne qui ont survécu au passage du temps,
possèdent des références astronomiques très précises à l’intérieur de leurs
constructions. Et dans les bâtiments les plus anciens, se trouve les références
astronomiques les plus incroyables.
Devant l’explosion de telles découvertes faisant
suite aux théories de Santillana , une nouvelle dimension de l’archéologie fut
crée depuis une dizaines d’années, l’astroarchéologie. Cette science a pour
objectif spécifique de découvrir les différentes relations qui existaient entre
les monuments antiques et les références célestes. Du même souffle venait un
avantage non négligeable supplémentaire à l’académisation de cette
connaissance, celle de donner à l’establishment la capacité du contrôle de
l’information.
Du même coup Santillana se questionnait concernant
les témoignages anciens :
« On ne peut que s’étonner de cette obsession continuelle des étoiles et de leurs mouvements »
Santillana avait bien raison. Il est très vrai qu’à
la lecture de l’histoire ancienne, on ne peut que s’étonner de cette obsession.
Elle y est véritablement omniprésente jusque dans les cours Royales d’Europe.
Platon, qui vécut en 350 de l’ère précédente nous
donnent quelques indices lorsqu’il parle des multiples catastrophes qui ont
frappé la terre de façon cyclique.
La description qu’en font les récits d’Orea Linda
de ces mêmes catastrophes sont terrifiants. Il n’y a pas de façon d’envisager
qu’une telle description ne puissent être qu’a une échelle locale.
Une partie de cette chape de secret est soulevé
lorsque à cette analyse est ajouté les cartes de l’Amiral Piri Reis réputé
utiliser des références très anciennes.
Il y a 5000 ans, les calottes polaires étaient
beaucoup plus grande qu’elle ne le sont aujourd’hui, et par conséquent
recouvraient une partie beaucoup plus importantes des continents. Les mers
affectées par cette quantité d’eau en moins laissaient apparaître des rivages
différents. Ceci explique la raison pour laquelle il n’y a pas de témoignage de
l’époque du mégalithique à l’extérieur de cette zone, il n’y en a aucun. Ni
ancienne culture, ni monuments, ni tombes anciennes.
L’Atlantide la cité-état, était situé sur une
grande péninsule s’étendant du Belize à la Floride en passant par Cuba et
Haïti.
L’Atlantide le domaine, en plus de comprendre les
terres déjà décrites, possédaient aussi l’intérieur des deux Amériques incluant
les haut sommet du Pérou, le nord ouest de l’Afrique, du Nigeria à la Lybie.
Les cartes de Piri Reis utilisant un système de
positionnement angulaire inconnu de nos jours, démontre bien la situation de la
Terre à cette époque.
Carte de Piri Reis, Antarctique avec la pointe de
l'Afrique du Sud et de l'Amérique du Sud.
De plus, l’amiral Reis nous apprends que
l’Antarctique d’une certaine époque lointaine possédait des cotes dégarnies de
glace.
Les mers du globe étaient sillonnées par une marine
commerciale permettant l’échange des ressources entre les cités états. Le savoir, riche de milliers d’années
d’observations était répandu de façon homogène à travers les peuples de la
Terre.
Il y a 5000 ans, le quotidien de l’homme fut changé
à jamais lorsqu’un événement inconnu vint rompre la balance isostatique de la
planète terre libérant du même coup des quantités gigantesques de lave et de gaz
carbonique dans l’atmosphère. Une catastrophe d’envergure planétaire que
l’histoire biblique appelle le déluge.
Platon nous dit que les terres furent emportées par
la pluie jusqu'à la mer, ne laissant que la rocaille la misère et la famine.
Et la fonte des glaces se fit à une vitesse
vertigineuse. Les surfaces qui n’étaient pas protégées par la lourde protection
de la glace étaient dépouillées par la pluie jusqu’à en faire des déserts. Le
niveau des mers remonta a une vitesse inimaginable, engloutissant les villes
établi le long des littoraux.
Tous les peuples de la Terre ont leur propre
légende traitant de la dévastation des leurs lors d’une catastrophe majeure.
Mais Orea Linda, un ancien texte originaire de la région des basses terres
hollandaise nous le décrit avec une simplicité désarmante :
CHAPÎTRE
XXl: CECI EST ÉCRIT SUR TOUS LES BOURGS.
1.
Avant que viennent le mauvais temps, notre terre était la plus belle dans tout
le monde, le Soleil se levait haut et il n'y avait que rarement de la gelée.
Les arbres et buissons produisaient des fruits varié[1]s,
qui sont maintenant perdu. Dans les champs, nous n'avions pas seulement de
l'orge et du malte, mais il y avait aussi du blé qui brillait comme de l'or, et
qui pouvait être cuit dans les rayons du soleil. Les années n'étaient pas
comptés puisque les unes étaient plus belles que les autres.
CHAPÎTRE
XXII: COMMENT DÉBUTA LE MAUVAIS TEMPS.
1.
Durant tout l'été, le soleil était caché derrière les nuages, comme s'il n'osait regarder Irtha. C'était
le calme perpétuel et le brouillard mouillait les poumons comme une voile
exposé par-dessus une maison des marais est mouillé. L'air était lourd et
oppressif et le cœur des hommes n'était pas joyeux.
2.
Au milieu de ce calme, Irtha commença à trembler comme si elle était mourante.
Les montagnes s'ouvrirent pour vomir feux et flammes. Certaines ont même coulé
dans le cœur d'Irtha alors qu’à d'autres endroits les montagnes sortirent de la
plaine. Aldland, appelé Atland par les navigateurs, disparut dans les vagues
sauvages qui se levèrent tellement haut sur la côte que tout disparut sous la
mer. Plusieurs personnes furent avalées par Irtha et les autres qui
s'échappèrent du feu périrent par la mer.
3.
C'était aussi sur la terre de Finda que Irtha vomit le feu et au Twiskland.
Toutes les forêts brûlèrent les unes après les autres et quand le vent souffla
vers nos terres, elles furent couvertes de cendres. Les rivières changèrent
leurs courses et dans leurs bouches, de nouvelles îles se formèrent de sable.
4,
Durant trois années, ceci se poursuivit, mais à la longue cessa et les forêts
redevinrent visible. Les rivages étaient méconnaissables. Plusieurs pays furent
engloutis et d'autres places la terre sortirent de la mer et la forêt fut
détruite sur la moitié du Twiskland. Et les gens qui restaient vinrent et
s'installèrent dans les places vides. Nos gens, qui étaient dispersés furent
exterminés ou fait esclaves. La surveillance était doublement importante pour
nous et le temps nous enseigna que l'union fait la force.
Platon disait : « Les cités
disparaissaient, il ne restait que l’inculte et le montagnard pour rebâtir la
société. »
Dès le passage de la crise, les survivants se regroupaient et repartaient une société. Tout à fait comme si ce genre de catastrophe était cyclique.
Le savoir ancien prenait à un moment ou à un autre une valeur inestimable, ceux qui sauraient le conserver se verraient nettement avantagé. L’or pour aujourd’hui mais le savoir pour demain.
La société d’aujourd’hui est au prise avec les conséquences d’une conspiration qui enjambe l’histoire.
Une filiation de malfrats puissants et sans scrupules,
réfugié derrière des icônes orthodoxes de notre société, possédant des moyens
et une capacité d’action hors de la portée du commun des mortels. Cette meute,
profitant des conséquences d’une catastrophe astro-climatique, décimant la vie
sur Terre de façon périodique, s’est appropriée les connaissances et
l’intelligence des générations ancestrales.
Brandissant Feux, sang, meurtres, guerres, génocides, loi divines, Bibles, religion, bâton, science et dollars, ils ont terminés le ramassage de ce qui en restait de cette science. Distiller au « vulgaire » de la façon la plus profitable possible au prix du marché servile, l’ancienne science en attendant sagement le prochain tiraillement astro-climatique prévu et il n’y avait qu’à tout recommencer.
Amputé de notre histoire ancienne, il ne nous reste maintenant que mythes et légendes fantastiques et des monuments ahurissants. Le rythme d’évolution de notre société s’est pratiquement arrêté ensuite sur plus de 4500 ans.
Mutilations des suites de ce génocide culturel, nous vivons dans une société rempli de tabou face à des mots tels conspirations, catastrophes, force céleste périodiques, alignements de planètes, génocides, le tabou du mot étant une promesse de la protection du concept. Significativement plus religieux, les petits morceaux d’histoire restants furent soigneusement cachés et transmis à l’intérieur d’ordre secrets.
Une société contrôlée, dans laquelle le mérite financier est le moteur même de sa censure et dans laquelle la lumière du succès se manifeste honteusement plus forte et plus souvent le long de certaines affiliations génétiques. Une société dans laquelle des DaVinci, Einstein, Franklin, Edison, Wells, Bell n’ont pas joué le rôle génial que l’histoire leur a attribué.
Une société qui doit aujourd’hui supporter les actions et les conséquences d’un crime qui n’aura jamais pu être empêché. Le succès aussi odieux soit-il, étant la rançon du secret. Comment pardonner le motif d’une soif obscène de pouvoir alors que ce devait être au nom d’une ferveur religieuse.
Celui qui possède le crayon possède l’histoire. Celui qui possède le mégaphone possède la foule.
« Gloire à Jay, Gloire à Jay »
Hommes
en noir ll
« S’il y avait moyen d’éviter ces révoltes populaires, elles sont si lassantes. »
Un
Roi
Le savoir païen
Mais qu’est donc ce savoir et ces connaissances païennes tant redoutés par le « Christiendom ».
Aux dire de nos ancêtres ayant vécu sur terre à la suite du déluge, le savoir des anciens précédant le déluge était incomparable et provenait de leurs pères ou d’une génération précédente.
Ces connaissances permettaient l’utilisation à dessein de force incomprise ayant des conséquences titanesques. La connaissance de la voûte céleste et des forces la régissant. La science appliquée, une science de mécanisation, métallurgie, qui ont permis la construction de certains monuments mégalithiques. Les sciences de l’être avec la sociologie, la politique, la médecine, la pharmacologie.
Bref, une société au niveau de développement à tout le moins semblable au nôtre.
La société d’après déluge n’avait plus la masse d’individus suffisants pour poursuivre cette connaissance, la perdant au fil des générations sans éducation ne conservant que l’essentiel. Toujours aux dire de nos ancêtres d’après déluge, cette connaissance, ce savoir s’est peu à peu transformé en objet de pouvoir et d’adoration, suscitant convoitise et envie à travers mythes et légendes. L’établissement du rituel et de la légende devint nécessaire pour se remémorer de génération en génération ce qui ne devenait guère plus qu’un mythe
Le peu de monument, temple, écrit et artefacts de l’époque mégalithique sont les témoins de cette science que nous ayons, vu à travers d’énormes catacyclismes et 5000 ans de chasse aux sorcières meurtrières fait de main de maîtres par cette meute de loups affamées que nous appellerons « Les chevaliers de la Terre Plate »
Voici avec le recul d’une analyse objective et du haut de notre science actuelle, les bribes de ce savoir ancestral parvenues jusqu’à nous.
La reconstruction de notre histoire ancienne ne sera pas chose facile. Il nous faut faire une analyse objective des bribes de ce savoir ancestral parvenues jusqu’à nous, du haut de ce que nous permets la science d’aujourd’hui.
Vannevar Bush, à l’instar des Da Vinci et Edison, fut l’un
de ces chevaliers de la Terre plate. Affiliation de sang bleu, il fut l’un des
traducteurs de l’ancienne science au monde moderne des plus prolifiques.
Le Dr Bush n’est pas le premier venu. Scientifique au
collet blanc, il fut directeur du bureau de la recherche et du développement
scientifique des États-Unis de l’après guerre des années 40 et 50. Il fut
responsable de la coordination des activités de plus de 6000 scientifiques de
haut calibre dans l’application de la science de la guerre incluant Einstein,
Von neuman, Von Braun, Oppenheimer.
En charge des laboratoires Princeton, il fut entre autres
responsable du développement de l’informatique, de la bombe atomique, du
programme spatial et du fameux comité MJ12.
Voici un commentaire éloquent, tiré de son discours de
juillet 1945, « Comme on pourrait le penser »
« S’il avait été donné à un Pharaon d’Égypte les
plans et usages détaillés d’une automobile; et s’il avait été donné à ce même
Pharaon de les comprendre entièrement, il aurait eu alors à taxer toutes les
ressources de son royaume pour en fabriquer les pièces et ne réussir qu’à
façonner un prototype qui aurait flanché à son premier voyage à Giza. »
Histoire
rectifiée du monde nous montrent ce qu’il en fut.
Impact sur notre histoire
moderne, société actuelle et futur
Bien
respectueusement,
Pierre Hardy