Histoire rectifi�e du monde et du reste

Le 17 avril 2005 par Pierre De Ch�tillon

 

 

� N�importe quelle technologie en provenance d�une civilisation suffisamment avanc�e serait indiscernable de la magie. ï¿½

 

Sir Arthur C. Clarke Knight Bachelor 

Soci�t� ant�diluvienne

 

 

Introduction

 

En regardant notre histoire, il est impressionnant de constater les anomalies et la rigueur, voire l�orthodoxie du mod�le.

 

Lorsqu�on se d�barrasse du pr�con�u, la v�rit� est parfois froide et m�me criante. Quoi qu�il en soit et comme le disait si bien Sherlock ce grand d�tective, � ï¿½liminez l�impossible et ce qui reste, aussi invraisemblable soit-il est la solution. ï¿½

 

Tout comme dans l�all�gorie de la caverne de Platon, nous avons le choix. Nous avons le choix de regarder plus loin.

 

Il existe sur terre une classe � part d�hommes qui se pr�tendent privil�gi�s, diff�rent du commun des mortels, des vulgaires, et qui se sont attribu�s l�exclusivit� de ce savoir et beaucoup d�autres choses. Pour ce faire, ils ont commis les plus grand crime de l�humanit�, et de loin.

 

Ce faisant, ces � seigneurs ï¿½ qui ont profit�s de nous et de nos anc�tres, se jouent de notre avenir. Ceci est d�plorable.

 

Hitler �tait � la bonne �cole lorsqu�ils disait � plus le mensonge est gros et plus il y aura de monde pour y croire. ï¿½

 

Ces hommes, cette super � familla ï¿½, est d�sign�e plus loin dans le texte sous le vocable de � Brigade de la Terre Plate ï¿½.

 

Les d�tails du fonctionnement et la cause des cycles, ainsi que les ann�es 1700 � maintenant n�ont pas �t� d�velopp�es outre mesure �tant d�une cat�gorie � part et regorgeant d�une activit� sans pr�c�dent, seront trait� � part.

 

Ce nouveau � Timeline ï¿½ repose sur les anciens livres d�auteurs tels Platon ou Orea Linda ou encore Le manuscrit de Kolbrin ou l�ancient testament et int�grent la quasi totalit� des anomalies de notre histoire actuelle d�une fa�on logique et sens�, dont le � Big Picture ï¿½ a du gros bon sens.

 

Oui, les cons�quences sont assez s�v�re mais pour peu que les gens soient pr�par�s, il sera possible d�assister � cette nouvelle page d�histoire avec le sentiment d�un renouveau.

 

 

Le cycle du � Destructeur ï¿½

 

La terre, tout comme le soleil poss�dent et subissent des cycles qui leurs sont propres. Des cycles qui sont peut de chose � l��chelle humaine mais qui ont de fois en fois de l�influence sur notre qualit� de vie.

 

Un de ces cycles poss�de une fr�quence de 396 ans. Et, � tout les 13 cycles de ce � 396 ans ï¿½ pour diverses raisons, la terre entre dans un cycle plus s�v�re de cons�quence. Ces 13 p�riodes de 396 ann�es donnent un total de + ou � 5128 ans.

 

Ce � supercycle ï¿½ de 5128 ans n�est pas constant, lui m�me inscrit � l�int�rieur d�un autre cycle qui est de la m�me dur�e que la pr�cession des orbites soit 25,900 ans et dont le maximum aurait eu lieu il y a 10256 ans. Les cycles subs�quent incluant celui de 2012 sont le d�clin de ce maximum et celui ci est probablement le dernier pour un moment.

 

Les points de d�marcation choisi sont de ma propre initiative et tendent � respecter des points de d�marcation naturelle des soci�t�s et de la g�ologie. Par ailleurs, � plusieurs reprises les soci�t�s furent dissoutes suite � des changement climatiques s�v�res mais se produisant � une �chelle plus restreinte ou ayant des effets indirects sur l�homme, comme de briser son environnement.

 

La quasi-totalit� des grandes p�riodes de la terre et des soci�t�s de l�homme analys�s s�harmonisent avec ce cycle de 400 ans.

 

 

 

En 3134 avant JC eut lieu le d�luge. Ce n��tait pas le premier. Suivant des cycles climatiques pr�cis, des �v�nements similaires � celui du d�luge se produisent � tous les 5146 ans. Ils se produisirent en 8280 avant JC et en 13426 avant JC.

 

La p�riode actuelle de 5146 ans dans laquelle nous vivons pr�sentement se terminera en 2012. Les changements climatiques et g�ophysiques et cosmologiques actuels, qui n�ont absolument rien � voir avec l�activit� humaine, nous d�montrent qu�un impact s�v�re se fait sentir depuis 20 ans. Ce cycle est une p�riode de 20 ans ayant d�but� en juin� 2000 et se terminera en d�cembre 2020. D�ici l�, suivant les p�riodicit�s de la terre et le positionnement des plan�tes du syst�me solaire des soubresauts g�o climatiques importants sont � pr�voir.

 

La p�riode moderne comprends tout ce qui s�est produit depuis le dernier d�luge jusqu�� ce jour. Elle d�buta en 3134 avant JC et se terminera en 2012.

 

La p�riode m�galithique, qui est la g�n�ration d�avant nous celle des dolmens et des pyramides. D�une dur�e de 5146 ans elle aussi, elle d�buta en 8280 avant JC et se termina en 3134 avant JC.

 

Et la p�riode Terra Incognita identifi�e ainsi � cause de son impact tr�s important sur le d�veloppement des g�n�rations m�galithiques et modernes jusqu�� nous. Cette p�riode d�buta en 13426 avant JC pour se terminer en 8280 avant JC.

 

La p�riode glaci�re laissa sur la plan�te des p�les beaucoup plus importants qu�ils ne le sont aujourd�hui. De lourdes chapes de glaces recouvraient la quasi-totalit� de l�h�misph�re nord et de l�h�misph�re sud, ne laissant que l��quateur et autres endroits �pars.

 

 

Terra incognita

 

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La catastrophe climatique de 8280 avant JC eut un impact beaucoup plus s�v�re que celui de 3134 avant JC. Une des raisons est la pr�sence de ce lourd manteau de glace, puisqu�un d�s�quilibre climatique aura pour effet de gonfler le niveau des mers supprimant ainsi des milliers de kilom�tres de c�tes fertiles et peupl�es d�une civilisation tout aussi d�velopp�e que la n�tre, tant en science qu�en technologie .

 

La chape de glace n�a pas fondue d�une fonte r�guli�re, comme on pourrait s�y attendre d�un r�chauffement graduel et tel que d�montr� par la climatologie orthodoxe, mais brusquement entra�nant des catacyclismes � l��chelle plan�taire digne des pires sc�narios et dont certains surv�curent.

 

Les brusques remont�es de la mer engloutirent des r�gions enti�res parfois en quelques heures. Tout comme aujourd�hui, ces r�gions c�ti�res �taient les lieux de pr�dilections pour l�installation des cit�s, de leurs habitants et de leurs temples du savoir.

 

Les cit�s qui avaient �t� �pargn�es, celles qui avaient eu la chance d��tre construites en hauteur �taient souvent des temples ou les r�sidences secondaires de Rois. En plus de se retrouver ravag�s par cette catastrophe climatique, les monarques d�alors n�avaient simplement pas les ressources pour remettre sur pied un syst�me social viable.

 

Tant biologiquement que socialement parlant, le genre humain fut mis en p�ril par le chaos de la catastrophe qui an�antit tout sur son passage, recouvrant le peu qui restait de plusieurs couches de s�diments. Ceux qui rest�rent eurent ensuite � survivre � l�horreur, la famine et la maladie avant d��tre � m�me de se r�organiser. Sur toute la surface de la Terre, l�homme �tait coinc� entre la mont�e des eaux et le mur de glace contre lequel ils se butaient.

 

Peu de chose ont pu survivre � un tel bouleversement.

 

Platon nous confie que les trombes de pluies ainsi produites par ces conflagrations plan�taire deviennent acide et ont pour effet de diluer la couche de terre fertile l�emportant jusqu�� la mer.

 

Tout ce qui n��tait pas prot�g� par cette gangue de glace fut dissous pour ne laisser que les terres arides et d�sertes qu�elles sont aujourd�hui. Des for�ts luxuriantes de l��den et de sa splendeur, il ne resta que sable et d�sert.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La g�n�ration d�hommes ayant exist� � la p�riode de Terra Incognita poss�daient un savoir et une connaissance surpassant la n�tre dans beaucoup de domaine. Ils eurent au contraire de nous la possibilit� de construire sur l�histoire des g�n�ration pr�c�dente et n�eurent pas semble t�il, � subir l�effet freinant d�une � Brigade de la Terre Plate ï¿½.

 

En comparaisons, imaginons pour un instant ce qu�aurait pu �tre notre d�veloppement si Faraday avait exist� � l��poque de J�sus Christ et que l�informatique avait fait parti de l��poque m�di�vale. Est-il vraiment possible d�imaginer ce que pourrait �tre notre soci�t� apr�s un autre 2000 ans d��volution.��

 

Les hommes de Terra Incognita nous ressemblaient beaucoup. Ils demeuraient des hommes avec des qualit�s et des d�fauts semblables aux n�tres. Ils eurent � faire face � de pareil interrogations et des crises de croissances similaires, tant dans leurs familles que dans leurs soci�t�s.

 

 

Ils invent�rent l��lectricit�, les ondes, les armes de guerres, les automobiles, les fus�es, les satellites, les bombes atomiques, les banques, la criminalit�, l��tat, les voyages dans l�espace.�

 

En fait, ils poss�daient la vaste majorit� de ce qui compose notre monde moderne. Un savoir tr�s vaste. Non seulement la connaissance acquise durant leur propre g�n�ration � eux, mais une somme de savoir de quelques g�n�rations les pr�c�dant. Un savoir tel, qu�il nous est difficile d�en percevoir la profondeur et la richesse.

 

Leurs sciences du c�leste n�avait rien de religieux. Elle regroupait plut�t la cosmologie et les sciences de la Terre s�y rattachant. Une connaissance incomparable des lois du cosmos, de l�astronomie des cycles et de ses ph�nom�nes suivant des observations astronomiques sur plusieurs mill�naires.

 

Les sciences de l��tre, l�homme, son environnement, ses soci�t�s. La m�decine et la pharmacologie, la chimie des mol�cules,� biologie, alimentation, sociologie, politique, organisation sociale, philosophie, psychologie, religion.

 

Les sciences appliqu�es, applications techniques des connaissances de m�canisation, m�tallurgie, des �uvres et du b�timent, l�harnachement des sources d��nergies et utilisation de leurs puissances � desseins, �lectronique, intelligence artificielle, �ther, gravitation, voyage dans l�espace, et d�autres plus difficile � imaginer.

 

 

Et Platon nous apprends qu�� la fin de Terra Incognita en 8500 avant JC, les hommes qui vivaient sur cette �le appel�e Atlantide engag�rent une guerre contre ceux qui vivaient au moyen orient et sur le pourtour de la M�diterran�e.

 

Selon d�autres sources, une guerre eut lieu. Une guerre dans l�espace, utilisant des armes titanesques.

 

Platon nous apprends aussi qu�� la fin de cette m�me �poque, l�homme faisait face au r�chauffement de la plan�te et se questionnait sur sa possible contribution au chaos climatique.

 

Cette guerre ne se termina jamais. La nature suivant son cycle, repris son cours et nettoyant tout de son coup de balai.

 

Le catacyclisme qui mit fin � la g�n�ration de Terra Incognita� fit monter le niveau de la mer sur plus de 100 m�tres en quelques mois, les tsunamis d�une violence extr�me ainsi que les pluies diluviennes engloutirent tout durant un moment, � l�exception de 5 plateaux du monde ou la grande majorit� des survivants s��taient r�fugi�s.

 

Voici une liste de ce que furent les derniers refuges importants des civilisations de l��poque du catacyclisme de 8280 avant notre �re.

 

 

1.                           Le plateau mexicain devint par la suite le point d�origine de la civilisation m�soam�ricaine.

2.                           L�altiplano p�ruvien qui donna naissance � toute la civilisation de la cote sud am�ricaine.

3.                           Le plateau d�Abyssinie qui fut le point d�origine des peuples noirs de l�Afrique du nord

4.                           Le plateau d�Iran qui fut � l�origine des races nordiques.

5.                           Le plateau de l�Himalaya qui fut � l�origine des races asiatiques.

 

Il y a 8280 ans, � la toute fin de la Terra Incognita, tous les anc�tres des hommes qui peuplent la terre aujourd�hui, furent � l�une ou l�autre de ces Arches de No� lorsque la catastrophe frappa.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

� Comment est il possible de croire que dans cette eau noire et froide, � quelques kilom�tres sous nos pieds gisent ces cit�s des temps anciens. Toutes les g�n�rations pr�c�dentes reposent l�, surplombant leurs propres rivages, couche par couche tels des s�diments. ï¿½

 

 

Serait il possible de parler de ces sites sans parler de tout ceux qui gisent � plusieurs centaines de m�tres de fond dans la grande mer, sur ces anciens rivages.

 

Yonaguni

Des plongeurs amateurs ont d�couvert � Yonaguni, pr�s de la c�te japonaise, un ziggurat. Fait de gigantesques blocs de pierre, ce b�timent imposant qui a la forme d'une pyramide tronqu�e repose par le fond, voisinant une route et une s�rie de construction de facture humaine � plus de trente m�tres de profondeur.

 

Le professeur Kimoura de l'Universit� d'Okinawa, fut le premier scientifique � analyser la d�couverte.� Deux cents m�tres de large par trente de haut, fut dat� � au moins huit mille ans.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sri Lanka

 

R�cemment, sur les suggestions d'un chercheur des vestiges du pass�, la NASA produisit une photographie satellite prise entre les Indes et le Sri Lanka. Celle-ci laisse apercevoir sous les eaux entre la pointe sud des Indes et le Sri Lanka une structure chevauchant les cols de la cha�ne de montagnes sous-marines. D�couvert gr�ce � d�anciens textes des Indes, ce pont qui est maintenant immerg� � 90 m�tres sous le niveau de la mer, mesure plus de 30 kilom�tres de longueur.

Bulle rectangulaire: Pont sous-marin reliant le Sri Lanka aux Indes.

Carte satellite sud des Indes et nord du Sri Lanka

 

Indes

Les restes d'une immense cit� sous 30 m�tres d'eau ont �t� d�couverts dans le Golfe de Cambay pr�s de la c�te des Indes. Cit� tr�s vaste, plus de 8 kilom�tres de long et 3 de larges, qui aurait �t� construite plus de cinq mille ans avant les constructions les plus vieilles de la Terre.

De nombreux sites pal�olithiques datant approximativement de 20,000 ans ont �t� trouv�s un peu partout sur les c�tes des Indes. De plus, les premi�res cit�s de cette dimension ont commenc� � appara�tre en M�sopotamie il y a � peine plus de 4500 ans. Rien de ce qui n�est � l'�chelle de Cambay n��tait connu.

 

Pr�s des c�tes de l'Inde.

Le mythe de Mahabalipuram fut �crit par un voyageur britannique, J. Goldingham qui a visit� la ville en 1798, moment ou ce souvenir �tait connu des navigateurs des Sept Pagodes. La l�gende veut que six des sept temples aient �t� submerg�es sous les vagues, laissant le septi�me temple, seul sur la rive. Un plateau tr�s �tendu avec une s�rie de structures � une profondeur de cinq � sept m�tres sous les eaux de la ville de Mahabalipuram.

Plus de cinq sites furent trouv�s par diff�rentes �quipes assign�es � ces recherches ont d�montr� la pr�sence de construction de pierre, reste de murs, et de blocs de pierre rectangulaire, une grande plate-forme surmontant une formation g�ologique. La plupart de ces structures sont en mauvais �tat et recouvertes d'une vie sous-marine tr�s active.

�� Entre la p�riode de 5000 avant JC et 15000 avant JC, � la fin du dernier �ge glaci�re, des choses terribles sont arriv�s au monde ou vivaient nos anc�tres. Les grandes couvertures de glace qui recouvraient le nord de l'Europe et l'Am�rique du Nord ont fondu en laissant une quantit� d'eau ph�nom�nale derri�re. Les eaux de la plan�te ont mont� de plus de cent m�tres traversant les terre. Approximativement 25 millions de m�tres carr�s, de terres cultivables et habitables furent aval�es par la mer. ï¿½

 

 

Golfe du Mexique

 

R�cemment Paulina Zelitski, chercheuse canadienne d'origine russe d�couvre sur les images sonars de son syst�me informatique, des relev�s tr�s g�om�trique sous la c�te cubaine � plus de 750 m�tres de profondeur. Ils furent �tonn�s par les �tranges formations prenant place sur une aire de 8 kilom�tres carr�s de la pointe Ouest de Cuba. Une mini cam�ra d�ploy�e l'�t� dernier montres des formes de cubes et de pyramides, travers� par des ruelles, tel qu'on pourrait l'imaginer dans un d�veloppement urbain.� Zelitsky croit avec passion que les structures m�galithiques d�couvertes prouve qu'une civilisation a v�cu il y a des milliers d'ann�es, sur une �le qui s'�tendait de l'archipel de Cuba jusqu'� la p�ninsule du Yucatan, cent quatre vingt kilom�tres plus loin. Les �vidences apport�es par Zelitzky sont loin d'�tre concluantes et ont �t� regard�es avec beaucoup, mais beaucoup de scepticisme des acad�miciens sp�cialis�s en arch�ologie des autres pays, qui de toute fa�on ne souhaitent pas voir la d�couverte se publiciser tant que des preuves ne seront pas apport�es.

 

 

Mer M�diterran�e

 

Le Dr Hubert Zeitlmair, un homme d'affaires allemand et arch�ologue � temps partiel, lors une rencontre du Augsburg Paleo Astronaut Association le 17 ao�t 1999, fit l'annonce de la d�couverte suivante: Malte, Une �le rocheuse situ�e dans la mer M�diterran�e entre la pointe de l'Italie et la c�te de l'Afrique avait pos� une �nigme arch�ologique depuis la d�couverte plut�t dans le courant du si�cle d'une s�rie de structures m�galithique plus vieille que n'importe laquelle autre d'Europe et selon certaines analyses effectu�es, aussi vieille que 3500 B.C.

 

Dans sa pr�sentation le Dr Zeitlmair r�v�la qu'un temple �tait construit au sommet d'un piton rocheux sous-marin d'approximativement 900 x 500 m�tres de long. Le plus haut point, un plateau est situ� 19 m�tres sous le niveau de la mer, d�un diam�tre est d'� peu pr�s 450 m�tres. Le temple se trouve sous huit m�tres d'eau.

 

La structure elle-m�me d�montrait les m�mes caract�ristiques que les autres temples d�couverts sur les �les de Malte. Les gigantesques blocs de pierre align�s suivant ce qui semble �tre des motivations astronomiques et qui aurait pu �tre utilis�es comme un calendrier. Le diam�tre des chambres int�rieures est d'environ 6 - 7 m�tres et certains des murs les plus hauts atteignent 4 ou 5 m�tres de haut. Il y a une avenue qui se rend jusqu'au centre de la structure, croisant une pi�ce en forme de rein indiquant une orientation vers l'Est ce qui co�nciderait avec le Soleil levant (�quinoxes et solstices d'hiver) la principale diff�rence est que la structure est sous l'eau.

 

 

 

Lorsque des chercheurs de notre pass� ancien commenc�rent � scruter les rapports officiels d�observation de structures sous la mer, ils d�couvrirent qu�il existait plus de 600 de ces rapports r�dig�s depuis le d�but du 20i�me si�cle et aucun de ceux-ci n�avait �t� analys� s�rieusement.

 

Subitement comme toujours, une �re nouvelle d�buta, la p�riode m�galithique

 

 

La p�riode m�galithique

 

 

 

 

 

 

 

 


Autour des derniers refuges de l�humanit�, la vie se d�veloppa � nouveau, lentement. Et au fil des g�n�rations qui passaient et des n�cessit�s qui s�ensuivaient, les priorit�s changeaient. Ces tribus �parses n�arrivaient pas � rivaliser avec les �normes moyens scientifiques d�une civilisation industrielle complexe telle qu�elle existait avant. La masse critique d�individus n�y �taient simplement pas.

 

Cette civilisation qui avait appris � manger en appuyant sur un bouton eut � faire face � l�essentiel.

 

Ils parvenaient avec peine � comprendre et � maintenir ce qu�ils conservaient de la science ancienne, ce qui laissaient place � une poign�e de rois narcissiques et d��rudits au succ�s v�n�r�, interpr�tant les �critures anciennes en laissant tomber une pinc�e de sable dans le vent.

 

Ainsi se perdaient la compr�hension et la fa�on de faire de la science et des objets des anciens pour ne laisser place qu�� ce qui avait �t� d�crits � travers les �ges comme �tant vraiment tr�s important, objet de culte � la d�monstration du pouvoir de ceux qui les poss�daient.

 

Jouets pour enfants Ain Ghazal Turquie 7500 avant JC.

 

Tihuanaco m�galithique

 

La science ancienne n��tait plus l�outil, sa possession m�me devenait l�objet.

 

 

Au premier et deuxi�me mill�naire de la g�n�ration m�galithique, tout ce qui repr�sentait la science des anciens avait pris une telle importance, que des groupes d�hommes appel�s � pr�tres ï¿½, jouissant de prestiges particulier, �taient les seuls � pouvoir s�en approcher et la manipuler. L��tude de ce savoir leurs �taient r�serv�s.

 

L�importance de ces objets permettaient une sup�riorit� militaire in�gal�e, ce qui contribuait au bien �tre et au d�veloppement de la communaut�. M�me si tous les efforts �taient mis � ne conserver en bon �tat de fonctionnement que les plus importants, les armes, l��nergie, la capacit� de fonctionnement de ces appareils s��rodaient au fil du temps amoindrissant d�autant le souffle de ces monarques.

 

Dans la foul�e, beaucoup des monarques qui peupl�rent cette �poque choisirent de ne pas �tre d�poss�d�s de cette science divine et de cette sup�riorit� qu�elle procurait au royaume.

 

� Si cet or fait fonctionner mon royaume aujourd�hui, cette science le fera fonctionner demain. L�exclusivit� d�une telle science assurera la sup�riorit� de mon royaume pour toujours ï¿½.

 

C�est cette �poque qui marqua le d�but des grandes religions comme la religion Juive.

 

�lus Roi � vie, de p�re en fils, possesseur d�un savoir exclusif leurs donnant une puissance exclusive, l�attitude ces monarques narcissiques fut � l�origine de la � Conspiration de la Terre Plate ï¿½.

 

L��norme masse de glace qui s��tait retir�e avait offertes au d�veloppement, de nouvelles r�gions auparavant inconnues. Et l�homme avait peupl� la terre.

 

Vers la fin de la g�n�ration du m�galithique, la civilisation de la terre avait vaguement atteinte un d�veloppement �quivalent � notre 18i�me si�cle. Appuy� sur une documentation et une connaissance de l�ancienne science qui �tait beaucoup plus compr�hensible pour eux qu�elle ne l�est pour nous aujourd�hui, il est certain que le d�veloppement de cette g�n�ration se fit d�une mani�re tr�s diff�rente de la notre.

 

L�image qu�il nous en reste aujourd�hui pourrait �tre celles des Quakers ou de la secte des Amish qui ont toujours repouss�es les avantages de la civilisation industrialis�e moderne. Les anc�tres de ces peuples dont la tradition n�a pas chang�, depuis la p�riode m�galithique seraient � l�origine de la construction de Stonehenge et de plusieurs autres constructions m�galithiques.

 

 

 

� Il y a un moulin qui tourne par lui-m�me et bouge de lui-m�me et soul�ve la poussi�re des centaines de m�tres plus loin. Il y a aussi un poteau en or avec une cage en or sur le dessus qui est en m�me temps le Clou du Nord.

 

Il y a un singe tr�s intelligent qui monte et descend ce poteau en or. Lorsqu�il descend le poteau il chante des chansons et lorsqu�il monte, il raconte des l�gendes. ï¿½

 

L�gendes de Ostyaks of the lrtysh

 

 

 

 

Confortablement assise sur la sup�riorit� apport� par cet ancien savoir, la soci�t� en �tait devenue une d��litisme.

 

Extrait d�un document r�dig� � l��poque ou les hommes b�tissaient des �uvres m�galithiques Orea Linda  est le carnet d�histoire d�une cit� �tat lors des tourments du d�luge. �tabli dans une Hollande qui a disparu sous les eaux depuis belle lurette, voici comment ils d�crivent leur r�gion :

 

� CHAP�TRE XXl: CECI EST �CRIT SUR TOUS LES BOURGS.

 

 Avant que viennent le mauvais temps, notre terre �tait la plus belle dans tout le monde, le Soleil se levait haut et il n'y avait que rarement de la gel�e.

 

Les arbres et buissons produisaient des fruits vari�s, qui sont maintenant perdu. Dans les champs, il n�y avait pas que de l'orge et du malte, mais aussi du bl� qui brillait comme de l'or cuit dans les rayons du soleil. Les ann�es n'�taient pas compt�s puisque les unes �taient plus belles que les autres. ï¿½

 

 

Lorsque finalement le compte � rebours se rapprocha de z�ro, les pr�tres, shamans, druides et autres �rudits des anciennes connaissances d�montr�rent beaucoup de nervosit�. Si tous n��tait pas d�accord sur la fa�on dont les �v�nements surviendraient et sur les cons�quences, tous en revanche �taient d�accord sur l�importance du moment qui approchait.

 

�Les civilisations d�alors qui peuplaient la terre durent faire une pause et se questionner sur la fa�on d�interpr�ter l�ancienne science des cycles c�lestes vieille de 5000 ans et tous ces l�gendes, puisque les cons�quences �taient capitales sur les temps � venir.

 

Et les hommes d�alors se rassembl�rent et suivant ce qui restait en m�moire de la fin de Terra Incognita, ils se construisirent des refuges pour passer � travers le mauvais temps � venir.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ils en construisirent aussi beaucoup qui furent d�truit durant le cataclysme ou les 5000 ann�es qui suivirent

 

Bien qu�appartenant � des cultures diff�rentes les r�alisations m�galithiques, des plus impressionnantes structures aux plus modestes, poss�dent beaucoup en commun.

 

Construction extr�mement robuste. Capable de supporter les tremblements de terres et les temp�tes les plus violentes. Le toit est constitu� de telle fa�on qu�il peut r�sister � tout ce qui pourrait �tre re�u sur la t�te, tant les d�jections c�lestes que volcaniques qu�une pluie intense et acide durant de longues p�riodes.

 

Elles furent tous construites en retrait de la mer, � des endroits g�ographiquement �lev�s, beaucoup disposent d�un remblai rempart de plusieurs m�tres, d�un foss� d��vacuation d�eau et d�une porte de pierre. Carnac poss�de m�me une barri�re contre les brisants.

 

Certains utilisaient des caves naturelles ou qu�ils se creusaient � l�int�rieur de parois de montagnes

Ceux qui en avait les moyens creus�rent des noyaux de galeries qu�ils recouvrirent d�une importante balise tel la pyramide. Avec le recouvrement et les �quipements ad�quats, celle-ci avait l�avantage de r�cup�rer de l��nergie �lectrique en provenance de l�atmosph�re � l�usage des familles vivant en dessous.

 

Mais pour tous sans exceptions, ceci constituaient leur dernier refuge, leurs derniers espoirs.

 

Le d�luge

 

� Et celui qu�on appelait Marduk, Apep, Seth, Typhon, N�m�sis, Shiva, Gung-gung, La grande Noire, Le Dragon Rouge, Le grand Ph�nix, Yahweh, Quetzalcoatl, Lucifer, Wormwood, �toile Bleue, �toile Rouge, Fier Messager, Grande �toile, Grande Com�te, La Com�te du Jugement Dernier, The Day of the Lord, Le Jugement Dernier, Le Perturbateur, l�Intrus, Christos, l�Invit� C�leste, Nibiru, revint. ï¿½

 

 

Ce texte d�Orea Linda �crit par un survivant image bien ce que fut le d�luge :

 

 

� CHAP�TRE XXII: COMMENT D�BUTA LE MAUVAIS TEMPS.

 

Durant tout l'�t�, le soleil �tait cach� derri�re les nuages� comme s'il n'osait regarder la terre. C'�tait le calme incessant et le brouillard mouillait les poumons comme la voile expos�e par-dessus les marais. L'air �tait lourd et oppressif et le c�ur des hommes n'�tait pas joyeux.

 

Au milieu de ce calme, Irtha (la terre) commen�a � trembler comme si elle �tait mourante. Les montagnes s'ouvrirent pour vomir feux et flammes. Certaines ont m�me coul� dans le c�ur d'Irtha alors qu�� d'autres endroits les montagnes sortirent de la plaine. Aldland, appel� Atland par les navigateurs, disparut dans les vagues sauvages qui se lev�rent tellement haut sur la c�te que tout disparut sous la mer. Plusieurs personnes furent aval�es par Irtha et les autres qui s'�chapp�rent du feu p�rirent par la mer.

 

Irtha vomit le feu et toutes les for�ts br�l�rent les unes apr�s les autres et quand le vent souffla vers nos terres, elles furent couvertes de cendres. Les rivi�res chang�rent leurs courses et dans leurs estuaires de nouvelles �les se form�rent de sable.

 

Durant trois ann�es ceci se poursuivit, mais cessa � la longue et les for�ts redevinrent visible. Les rivages �taient m�connaissables. Plusieurs pays furent engloutis et � d'autres endroits la terre sortirent de la mer, et la for�t fut d�truite sur la moiti� du Twiskland (Danemark). Et les gens qui restaient vinrent et s'install�rent dans les places vides. Nos gens, qui �taient dispers�s furent extermin�s ou fait esclaves. La surveillance �tait doublement importante pour nous et le temps nous enseigna que l'union fait la force. ï¿½

 

 

Au contraire des autres textes racontant ces �v�nements , Orea Linda donne une image tr�s conservatrice. Non pas sur la dur�e des �v�nements puisque la plupart des textes s�accordent � dire que la p�riode d�activit� s�v�re dura entre 2 et 3 mois, mais plut�t quant � son intensit�.

 

Si l�une des raisons peut en �tre la localisation g�ographique, une autre en est tr�s certainement que le pr�sent texte se limite au r�cits des �v�nements du moment. � aucun moment Orea Linda n�aborde l�apr�s catastrophe.

 

 

Histoire moderne

 

 

 

 

 

 

 


Platon a dit :

 

Quand, d'un autre cot� les Dieux purgent la terre avec un d�luge d'eau, les survivants furent des vieillards et des bergers qui vivaient sur les montagnes. Mais ceux qui vivaient dans les cit�s �taient happ�s par les rivi�res et transport� jusqu'� la mer.

 

Ce qui n��tait pas mort et emport� par les flots des torrents, devait survivre.

 

Partout il n�y avait que destruction et d�bris. La terre, lav� de sa couche fertile et de ce que l�homme avait construit ne laissait plus rien pousser. M�me l�eau rougie de sulfure �tait impropre � la consommation animale ou humaine.

 

La cha�ne alimentaire mutil�e, du se reconstruire. Ce qu�elle fit presque violemment avec des vagues de mouches et parasites qui infest�rent l�air ambiant transmettant la maladie d�un individu � l�autre. Les troupeaux qui avaient �t� sauv�s de la catastrophe mourraient lentement de leurs plaies b�antes.

 

Un toit, le bois pour le feu, la nourriture, tout manquait. Apr�s quelques semaines seulement, ce qui est moralement consommable comme "nourriture" dans l'esprit humain, dispara�t de la surface de la terre. Apr�s quelques mois � peine, ce qui est consommable physiquement pour le corps humain devient pratiquement inexistant.

 

Les Sum�riens, l�Ancien Empire �gyptien, La Dynastie des Hsia, les Minoens, les Indes Hapar�ennes, la Gr�ce pr�-hellenique, l�Empire Maya.

 

Et les survivants se regroup�rent. Et la vie recommen�a.

 

Hellenia r�pondit:� Non, il me rappelle qu�il y a des gens sur Irtha qui, comme lui, ont leurs maisons dans les temples et les trous et qui vont � la recherche de ce savoir, non pas comme lui de les d�livrer des maladies, mais pour inventer des stratag�mes pour voler les connaissances des autres gens, de fa�on � prendre avantages sur eux et en faire des esclaves.

La censure

 

Le nettoyage continuel exerc� par les brigades de la Terre Plate ne nous laissent qu�une page d�histoire parsem�es d'inconnus, des inconnus qui prennent des proportions invraisemblables d�s que l'on retourne � des dates ant�rieures � l'�re du christianisme.

 

M�me la r�alit� des �v�nements de l�histoire qui nous est parvenus, n�existe qu�� travers la lentille d�form�e de manigances visant � mieux s�amalgamer au mod�le orthodoxe de l�organisation de la Terre plate

 

Il serait difficile de pr�ciser � quel moment la brigade de la Terre Plate se mit en marche.

 

Il est certain qu�en l�an 350 avant JC le moteur de cette censure �tait d�j� en fonction puisque Socrate, condamn� par un tribunal partisan dut boire la cigu� qui est un poison mortel � la suite de ses enseignements interdits. En fait pratiquement tous ses �l�ves eurent mailles � partir � un moment ou � un autre avec les autorit�s Grecques pour avoir eux-m�mes particip�s � ces enseignements pa�ens.

 

Les premi�res v�ritables censures connues furent effectu�es par un roi �gyptien Am�nophis IV qui v�cut en 1500 avant JC. Faisant suite � une p�riode trouble de laquelle naquit le nouvel Empire �gyptien, faste et prosp�rit� s�ensuivirent.

 

Lorsque Am�nophis IV prit possession du tr�ne, il proc�da rapidement � des r�formes dites � religieuses ï¿½ visant � promouvoir le culte du soleil en tant que Dieu unique. En l'an 5 de son r�gne, Akhenaton ordonne de marteler les temples, un martelage syst�matique de ce qui r�f�re aux anciennes croyances est entrepris, les images et les noms des dieux sont effac�s tels Amon, Netjerou et Shou. Le monoth�isme du nouveau roi causa beaucoup d��moi � travers les pr�tres du temple.

 

� la mort d� Am�nophis IV, son nom est � son tour victime d�une campagne de martelage alors qu�il est effac� des murs de tous les temples.

 

Am�nophis a t�il d�cid� qu�il en avait assez de contrer la jalousie et les incessantes guerres provoqu�es par la possession de cette science, nul n�en sait. Mais quelques soit ses motivations, sa volont� n��tait pas de faire dispara�tre cette ancienne science � tout jamais, son souhait �tait de faire dispara�tre cette ancienne science aux yeux du peuple. Ces connaissances �taient beaucoup trop importantes aux yeux de la royaut� pour �tre simplement effac�es de la surface de la terre. Ne serait-ce que la science m�dicale si importante pour vivre ou sauver un �tre cher, ou la connaissance de la guerre si importante pour un royaume fort.

 

La censure ne s�arr�ta pas l� bien au contraire. � une �poque ou le ma�tre du royaume �tait aussi ma�tre de ses sujets, une telle volont� ne pouvait �tre ignor�e. Aussi l�oracle magicien du peuple, cet avide de la magie ancienne n�avait d�autre choix que de se plier ou devenir paria.

 

Les si�cles suivants virent l�apparition d�une magistrature charg�e de mettre en force la loi r�primant ce contact avec ce qui devait s�appeler les croyances pa�ennes. L�histoire nous enseignent que beaucoup choisirent de p�rir ou de s�exiler, n�acceptant pas de se plier � la mascarade de leur classe royale et pr�f�rant la v�rit�. Mais la soumission au Roi n��tait pas un march� de dupe, si l�hurluberlu �tait r�prim�, en revanche celui qui �tait dou� b�n�ficiait d�avantages significatifs dans la hi�rarchie, ne serait-ce que pour permettre � la classe royale de mieux comprendre ce savoir mystique ou encore de s�allier des gens qui poss�dait beaucoup d�influence sur leurs semblables.

 

Si pour le reste du Nouvel Empire �gyptien la censure fut appliqu� par d�cret royal, elle le fut aussi au temps de la Rome Antique qui �tait aussi une monarchie. Si les richesses �taient l�un des objectifs des conqu�tes romaines, l�accumulation de ce savoir en �tait la principale raison et puisqu�ils leurs facilitaient les conqu�tes et la boucle �tait boucl�e.

 

Durant les 500 ann�es pr�c�dant JC, des poches d�individus ayant conserv� des bribes de science se manifest�rent � nouveau. Alexandre le Grand effectua un grand ratissage de l�ancienne science dans le monde et pla�a le tout dans une grande biblioth�que du savoir ancien, La Grande Biblioth�que d�Alexandrie, haut lieu du savoir poss�dant plus de 700,000 volumes.

 

Pythagore de Samos, Thales, Socrate, Hippocrate, Democritos, Platon, Aristote, Erathostenes, Aristarchos, Ptol�m�e. Tous ces hommes qui nous ont laiss� les premiers t�moignages connu de la science sont Grecs et ils nous ont tous laiss�s des enseignements de grandes valeurs encore en usage aujourd�hui. Tous vivaient � l��poque de la Grande Biblioth�que d�Alexandrie.

 

Le roi de la Rome Antique �tait le seul � avoir acc�s aux reliques antiques. Les choses chang�rent en 510 avant JC lorsque le dernier roi fut jet� dehors lors d�une r�volution qui mena � l��tablissement de la r�publique Romaine.

 

La t�che religieuse attribu�e pr�c�demment au roi fut transf�r�e � un poste nouvellement cr�e appel� � Rex Sacrorum ï¿½, ce qui signifie � Roi des choses sacr�es ï¿½ et �tait nomm� par le pontifex maximus, chef pr�tre de la religion de l��tat Romain. Le pontifex maximus qui signifie � le constructeur de pont ï¿½, avait r�cup�r� la plupart des t�ches religieuses incombant au roi et comme lui, il �tait le seul � avoir acc�s au reliquaire sacr�. Les derniers a tenir le r�le de pontifex maximus fut Jules C�sar et Aemilius� Lepidus. Au 5i�me si�cle, le titre de rex sacrorum fut transf�r� au Pape qui l�utilise depuis.

 

La capture du savoir ancien et des richesses �taient les objectifs des conqu�tes romaines. Tr�s rapidement, ils se rendirent compte que cet ancien savoir n��tait pas aussi facile � r�cup�rer que les richesses. Alors que les souverains n�h�sitaient pas � recouvrir d�or les toits de leurs palais, les reliques de l�ancienne connaissance qui avaient �t� sacralis�es par les legs sur plusieurs g�n�rations �taient irrempla�ables et �taient gard�es � l�abri.

 

Puisque les peuples conquis n��taient pas aussi � volontaire ï¿½ pour remettre � l�occupant ce qui constituait un tr�sor ancestral les romains n�avaient d�autres solution que d�occuper les terres conquises afin de ratisser convenablement ce qu�il y avait � ratisser

 

Au milieu du premier si�cle de notre �re, alors des Tib�re, Caligula, Claude et N�ron se succ�dent � la t�te de l�emporium, les populations juives composant plus de 10% de la population romaine devenaient un probl�me croissant avec leurs �thiques et leurs moralit�s incompatibles � l�Empire Romain. D�autant que la tradition juive, expression d�une profondeur non-�quivoque, transportait beaucoup de ces connaissances ancestrales � l�int�rieur m�me des pr�ceptes de sa religion, faisant des r�f�rences beaucoup plus directes et irritantes pour ceux qui ne souhaitaient pas voir ce sujet �tal�.

 

Les plus irrit�s parmis ceux-ci faisaient parti d�une puissante famille de l�aristocratie romaine les � Calpurnius Piso ï¿½. Cette irritation n�avait rien � voir avec la protection du peuple ou la protection de l�exclusivit� romaine de ce savoir, mais bien leur propre exclusivit�.

 

C�est � ce moment que cette famille formenta les bases de ce qui devait �tre l�arnaque de la Terre Plate.

 

Le g�nie Manich�en des Piso, aff�t� par des d�cennies d�intrigues et de manigances aristocratiques et politiques, pouvait encore s�apercevoir lorsque Arius Calpurnius Piso provoqua d�lib�r�ment la r�volte des Juifs en 66 de notre �re. Gr�ce � ce stratag�me il put d�truire le temple de J�rusalem et prendre les reliques et textes sacr�s.

 

Gaius et Lucius Piso �taient tous les deux mari�s avec la petite fille � d�H�rode le Grand ï¿½. Les attaques r�p�titives des extr�mistes religieux Jud�ens soulevaient des insurrections contre les dirigeants � H�rodien ï¿½ relations de la femme des Piso. Ils d�cid�rent donc de cr�er un nouveau livre de religion � Juif ï¿½ qui serait une m�thode id�ale de r�soudre les insurrections et de raffermir leurs contr�le de la r�gion.

 

Ce qu�ils firent. D�s 70 de notre �re, Arius Calpurnius Piso �crivait en s�quence les �vangiles de Mathieu, celui de Marc et celui de Luc avec l�aide de Pliny le jeune en s�assurant d�int�grer � cette fiction des relations avec des personnages r�els de l��poque. Arius s�ins�ra lui m�me en jouant non seulement le r�le de J�sus mais eut aussi un plaisir particulier � jouer celui de Joseph. Son souhait �tait ainsi de cr�er un nouveau h�ros Juif, un sauveur.

 

La christianit�, le nouveau testament, l��glise, J�sus, Jean le batiste, Joseph, Marie, Paul, les ap�tres, les disciples, furent la cr�ation exclusive des Calpurnius Piso et n�ont aucune r�alit� historique.

 

Les Piso leurs partenaires orthodoxes juifs et leurs descendants poss�deraient l�exclusivit� de cette science ancienne. Et puisque cette religion murerait les propos pa�ens, ce petit groupe de gens s�lect seraient donc les seuls � savoir qu�ils poss�dent cette exclusivit�, ce qui pourrait s�appeler de � l�exclusivit� anonyme ï¿½. N�est-ce pas l� le meilleur atout de toute guerre?

 

La destruction des temples pa�ens arracha le c�ur des petites cit�s romaines. Lorsque le voile de la Terre Plate se d�ploya, les fen�tres de verres et les planchers de mosa�que fine disparurent pour mille ans.

 

En 200 apr�s JC, � la mort de Ptol�m�e et � la destruction de la biblioth�que d�Alexandrie par les chr�tiens, la science s�arr�ta subitement. Pendant le mill�naire qui a suivi, il n�y eut aucun d�veloppement de la science dans les pays d�Europe.

 

D�s le 3i�me si�cle, l�organisation de la chr�tient� devenait l�unique repositoire de l�ancienne science pour les pays � dominance chr�tiennes et juives. De plus l�organisation de la chr�tient� devint responsable du nettoyage culturel � travers le monde par tous les moyens possibles.

 

Avec la religion, �tat sans territoire, il devenait facile d�investir une contr�e sous la raison de croyances pseudo mystiques, pour peu que l�on grimpait dans la hi�rarchie, les raisons devenaient rapidement des pr�textes.

 

Hadrian's tomb

Mausol�e d�Adrien

 

Le massif �difice du paganisme fut par la suite reli� au Vatican par un passage secret au 6i�me si�cle fournissant ainsi aux papes une fa�on facile de s��chapper.

 

Lorsque que le manuscrit du nouveau testament fut finalement pr�t en 535 apr�s JC, 3 millions de versets furent r�duits � 150,000, le reste fut achemin�s aux biblioth�ques de la Terre Plate.

 

Au fil du temps la pression chr�tienne aupr�s des princes et des rois d�Europe se r�solut par mariage de famille interpos�e, jusqu�� ce que les Piso, M�dicis et toutes les familles royales d�Europe aient un acointement g�n�tique entres elles.

 

Bien sur, aucun de ces gentilhommes ne souhaitaient voir le � vulgare ï¿½ capable d�interpr�ter quoique ce soit de la science ancienne si ce n��tait pour leurs propres fins. Puisque la loi du silence pr�valait, il n�y avait que le sang familial pour assurer un tel secret et l� ou il y avait du sang familial, le secret �tait assur�. Faut-il se surprendre du manque de scolarisation du peuple durant plusieurs si�cles!

 

Les si�cles suivants furent marquant. Les cours royales s�articul�rent autour du roi, du ministre du culte, de l�astrologue, du m�decin, du chevalier responsable de la guerre, le pr�cepteur d�imp�ts et du chevalier noir responsable des t�ches crapuleuses. Le Pape Gr�goire le Grand devint l�un des plus important propri�taire d�esclave de l�Europe.

 

En l�an 500 jusqu�� l�an 1100 apr�s JC, la science se d�veloppa avec rapidit� � nouveau mais cette fois-ci dans les pays de l�Islam du moyen orient. Cet autre sursaut de la science fut brusquement stopp� par les croisades dont les chevaliers de la Terre Plate venaient r�cup�rer la connaissance.

 

En 1431, la fameuse sorci�re Jeanne d�Arc fut br�l�e sur le b�cher. Selon certaines estimations, les chr�tiens auraient tortur�s, br�l�s ou noy�s 250,000 sorci�res pratiquant des rituels pa�ens

 

Les h�r�tiques non repentants subissaient un sort peu enviable. Devant �tre ex�cut�s devant la foule leurs bourreaux leur br�lait le visage en pr�sence de la cour royale. Ceux qui s��chappaient �taient br�l�s en effigies.

 

 

En 1252, le Pape Innocent IV d�marra l�Inquisition contre les h�r�tiques en Italie. L�inquisition �tait le racket d�extorsion le plus �labor� jamais imagin�. Non seulement il permettait au Papes et aux Rois� de mettre la main sur les bribes de ce savoir ancien ici et l�, mais aussi d�truire leurs porteurs et par la m�me occasion prendre possession de ses biens. Sous la menace de la prison, la s�v�rit� des amendes �taient sans limite.

 

Des milliers de � sorci�res ï¿½ ont �t� tortur�es et br�l�es vivantes par les soldats de la Terre Plate au 15i�me et 16i�me si�cle� en Espagne, en Suisse, en Allemagne, en France. La torture par un inquisiteur demeura l�gale jusqu�� son abolition en 1816. Les Inquisiteurs �taient reconnu comme �tant au dessus de la Loi et leur autorit� ou leurs d�cisions ne pouvant �tre remise en question.

 

Le terme Moyen-�ge tire son origine d�un nom compos� qui fut forg� durant la Renaissance et qui signifiait � le moment ou l�homme n�a pas accompli de progr�s ï¿½, pour d�signer la p�riode qui s��tendait entre l��ge d�or antique et sa red�couverte, celle qui fut le si�ge de l�inquisition. M�me s�il est g�n�ralement reconnu que cette p�riode d�buta en 500 apr�s JC avec la chute de l�empire Romain, compte tenue du peu d�information qui nous est parvenu de cette p�riode, il serait beaucoup plus ad�quat de r�ajuster cette date � la p�riode d�Am�nophis IV.

 

Quoiqu�il en soit, apr�s �tre pass� par les croisades qui visaient � ramasser cette ancienne science sur le territoire de l�Islam, le Moyen-�ge se termina avec le d�but de la Renaissance� et l�invention de la presse de Gutenberg, le voyage de Christophe Colomb et les inventions de Leonardo Da Vinci.

 

Jusqu�� ce jour, l��lite royale de la Terre Plate s��tait content�e de percevoir des imp�ts et de ramener au reliquaire toute r�f�rence � la connaissance ancienne, non sans oublier de nettoyer ad�quatement ceux qui �taient susceptibles de transmettre la science pa�enne. Toutefois, les choses chang�rent avec la pouss�e scientifique de l�Islam. Cette red�couverte fut durement r�prim�e par les brigades de la Terre Plate avec les Croisades. P�riode qui vit le jour des Templiers et des leurs descendants les Francs-Ma�ons, p�riode de la d�couverte du Saint Graal.

 

Et les presses de Gutenberg qui d�mocratisait le savoir. Il �tait temps d�ouvrir la valve du d�veloppement scientifique et de tramer des nouveaux h�ros qui porteraient le flambeau de la d�couverte pour l�organisation de la Terre Plate.

 

Leonardo DaVinci en fut un des premiers. Alchimiste, astrologue et peintre exceptionnel, l�histoire le retiendra toujours comme �tant un artiste d�un grand talent.

 

 

Un tel talent ne passait pas inaper�u aux yeux de � Laurent de M�dicis le magnifique ï¿½, descendant de la famille Calpurnius Piso. Il le prit donc sous son aile et lui ouvrit acc�s aux reliquaires de la science ancienne dans le but de les exploiter gr�ce aux grand talents de DaVinci. Ceci ne se fit pas sans mani�re puisque du m�me souffle il le fit grand ma�tre du prieure de Sion, une de ces organisations occultes bastion du savoir occulte et pa�ens.

 

Cette �poque de Renaissance allait devoir �tre dirig�e et pour ce faire Da Vinci serait d�un grand secours.

 

Dans une lettre au Duc Milanais de Sforza, L�onard �crivait ceci en 1482 :

 

� Je peux construire des ponts tr�s l�gers, solides, robustes, facilement transportables, pour poursuivre et, quelquefois fuir l'ennemi [...] J'ai �galement des moyens pour faire des bombardes, tr�s commodes et faciles � transporter, qui lancent de la pierraille presque comme la temp�te, terrorisant l'ennemi par leur fum�e [...] En temps de paix, je crois pouvoir donner aussi enti�re satisfaction que quiconque, soit en architecture, pour la construction d'�difices publics et priv�s, soit pour conduire l'eau d'un endroit � un autre ï¿½

 

Talentueux en tout, il a invent� � la fois l�h�licopt�re, les principales composantes d�un avion, le parachute, le sous marin, les appareils de respiration sous marine, les flotteurs de survie, les palmes de natations, un m�canisme de pompe, de turbine, de mesure de temp�rature de la vapeur, de creusage de puits � l�eau, de pont levis, de canaux, d�instrument de mise � niveau et de terrassement, de r�trochargeuse, de syst�me de poulie, d��clairage de rues, de r�tisserie � convection, de scie m�canique, de tour � bois au pied, de compas, de lentille de contact, fusil multi baril, d�arbal�te g�ante, arbal�tes multiples.

 

Il proposa aussi quelques th�ories scientifiques tr�s � point, comme celle que la terre tourne autour du Soleil, celle que la lumi�re de la lune �tait en r�alit� une r�flexion de celle du Soleil, il expliqua pourquoi des morceaux de coquilles provenant de la mer �taient retrouv�s sur le dessus des montagnes. Il cr�a aussi le premier livre d�anatomie humaine, la Mona Lisa, le Dernier Souper, l�Adoration des Trois Rois, Le Bapt�me du Christ.

 

Il avait pu voir ces reliques �tonnantes et incompr�hensible d�un �ge ancien et ces armes effrayantes du reliquaire priv� des Medecis et r�cup�r� durant les derni�res croisades. Et tout ces livres �crits dans des langages incompr�hensibles avec des images semblables � des vues sur un autre monde. Bien �videmment que ce savoir ancien avait d�j� �t� traduit � quelques reprises par les pr�tres de la g�n�ration pr�c�dente et qu�en plus ils avaient laiss�s de la documentation sur des r�alisations adapt�es aux moyens de l��poque. Mais il ne fut s�rement pas chose facile pour Da Vinci d�arriver � d�busquer des � inventions ï¿½ d��poques, exploitables explicables, reproductibles, de fa�on � en cacher les origines. Il va sans dire que Laurent de Medecis dit Laurent le Magnifique b�n�ficiera d�un magistral pourcentage sur les diff�rentes r�alisations ainsi qu�un privil�ge � tout �preuve sur tout d�veloppement.

 

Durant ce temps, Hernan Cortez le conquistadore espagnole se dirigeait vers la nouvelle am�rique, charg� par la Terre Plate d�enrichir le royaume et de faire le nettoyage de ceux qui portait le savoir ancien. Et il y avait beaucoup de gens qui portait le savoir ancien et nettoyage fut fait puisque 12,000,000 d�autochtones furent �radiqu�s sur les deux continents en 2 si�cles seulement.

 

Aussit�t l�implantation militaire compl�t�e, les J�suites, ces dignes alli�s de la Terre Plate, particuli�rement dou�s pour les manipulations machiav�liques, se d�p�chaient d�envahir la r�gion tout en faisant un inventaire tr�s pr�cis du mat�riel pa�ens avant que les soldats ne saisissent tout, en rassurant l�histoire que les manuels �taient bien d�truit par le feu.

 

Puisque g�n�ralement les temples Maya ou Aztecs ou Indiens d�am�rique soulignaient les �lots de survie du dernier d�luge, les J�suites urgeaient la construction de nouveaux temples en utilisant les lieus et les mat�riaux des temples pa�ens. Ils colmataient les br�ches et passages donnant acc�s aux sous sols, d�truisant ou enterrant tout ce qui pouvait donner des indices sur ce savoir.

En 1583 le pr�tre J�suite Alessandro Valigrano fit la d�claration suivante :

� Nous n�avons aucune emprise sur les Japonais. Nous ne pouvons les forcer � accomplir ce qu�ils ne veulent pas accomplir et ceci ne peut �tre fait qu�avec la persuasion et forces d�arguments. Ils ne souffrent pas d��tre frapp�s ou battus ou emprisonn�s ou tout autre m�thode normalement utilis�e avec d�autres chr�tiens. ï¿½

 

Lorsque la population locale devenait trop irrit�e de voir le pass� sacr� de leurs anc�tres �tre ainsi pi�tin�, on �liminait des couches de la population, maillon essentiel � la transmission de la connaissance de ces soci�t�s.

 

Bien sur l�organisation de la Terre Plate devrait aussi s�adapter � la Renaissance. Puisque l�orthodoxie religieuse ne poss�dait plus d�autorit� sur le savoir � travers la chr�tient�, cette autorit� devrait se manifester autrement. Si la Renaissance devrait avoir l�air d�une franche ouverture sur la lib�ralisation et la d�mocratisation du savoir, elle ne devra �tre en r�alit� que la mise en route d�un stratag�me permettant d��couler anonymement un distillat du savoir des anciens, tout en conservant une autorit� diff�rente de la chr�tient�.

 

 

L�orthodoxie religieuse devint une orthodoxie scientifique.

 

Sous le couvert d��litisme, le dou�, celui qui avait soif de connaissances et qui �tait autrefois enr�l� dans une organisation religieuse � deux facettes, la facette populaire et la vraie, se retrouvait maintenant dans une organisation scientifique � deux facettes la populaire et la vraie.

 

Le distillat du savoir ancien assurait aux brigades de la Terre Plate des places de choix aux Panth�on de ces nouvelles organisations leurs permettant une influence outrageuse.

 

La grogne populaire devait �tre maintenu � un niveau tol�rable.

 

Si dans le pass�, le � vulgare � �changeait beaucoup sur le parvis de l��glise, ce n��tait plus d�sormais le cas. Une crainte certaine quant � la soi-disant impartialit� de l��glise et l�am�lioration des moyens de communications et l�instruction populaire amenait une contrepartie � l�histoire �crite. Pour que l�histoire puisse continuer de repr�senter cette image � cousue de fils d�or ï¿½ , il devait y avoir un certain recul de la classe dirigeante de la Terre Plate d�avec les op�rations.

 

L�inquisition devait se poursuivre certes, mais dans le secret ou par l�utilisation de la manipulation populaire. Ce qui aurait pour r�sultat de cesser de ternir par la m�me occasion l�image de la monarchie et la chr�tient�.

 

Ces probl�mes trouv�rent leurs solutions avec la cr�ation d�une organisation charg�e de r�aliser ces t�ches sous le parrainage �troit de la tr�s puissante famille Rothschild, membre en r�gle de la Terre Plate et appel�e � Illuminatis ï¿½ .

 

L�avantage des Illuminatis �tait significatif.

 

Ils pouvaient se pr�occuper de la logistique de coordination des conqu�tes et du contr�le des pays � la place des cours royales.� Ils auront donc plus de facilit� � infiltrer les derniers refuges secrets de ces sciences ancestrales comme la soci�t� secr�te des Francs Ma�ons ou celle des Templiers ainsi que beaucoup de � religions ï¿½ natives qui devait suivre des plans couvrant parfois plusieurs d�cennies visant � r�gir l�opinion populaire.

 

Par leurs implications � la mise en place du syst�me financier international, ils pourraient prendre plus facilement le contr�le sur les b�n�fices reli�s � l�exploitation de ces connaissances et sur les divers m�diums d�informations qui manipulent l�opinion populaire. Ils seraient plus � m�me de conduire ces nouveaux groupes � mafieux ï¿½ qu��taient devenus les chevaliers noirs sans impliquer les chevaliers de la Terre Plate.

 

Le territoire Suisse devint le nouveau repositoire des richesses de la Terre Plate. Les diff�rents reliquaires royaux ou priv�s seraient plus facile � prot�ger. Dor�navant, les guerres feraient le tour de leur territoire. Tant pour l�or que les reliques anciennes, ses lois pleines de trous �taient construites pour permettre l�introduction rapide et anonyme au pays et assurer la nouvelle propri�t� des anciens vestiges ou richesse.

 

Que l�argent proviennent de groupe mafieux siciliens ou qu�ils proviennent des dons non imposables re�u par l��glise, des taxes ou qu�ils proviennent des multiples entreprises de l�organisation de la Terre Plate, il n�y avait qu�un seul canal possible. Puisque les religions n�ont pas � d�clarer leurs revenues dans la majorit� des pays du monde, et que la banque du Vatican est une banque Suisse, toute aum�ne devient imm�diatement une taxe non sollicit� � l�organisation de la Terre Plate.

 

Pendant que l�exploitation du troupeau battait son plein, pendant que la colonialisation battait son plein, la science se d�veloppait en accord avec les volont�s des chevaliers de la Terre Plate.

 

Avec les places d�influences que les chevaliers poss�daient des � l�int�rieur des sph�res de d�cision acad�miques, ils leurs �taient facile de d�terminer ce qui ne pouvait atteindre le grand public.

 

DaVinci, Copernic, Galileo, Paracelse, Descartes, Kepler, Newton, Halley, Amp�re, Darwin, Lavoisier, Montgolfier, Edison, Curie, Einstein, Mendele�ev, Nobel, Pasteur, Tesla, Von Braun, Oppenheimer.

 

Ces personnages de renom de notre histoire ainsi que beaucoup d�autres encore se frott�rent � un moment ou � un autre sur cette science provenant du pass� ou � l�organisation de la Terre Plate.

 

D�s que les lois permettant aux entreprises d�avoir plus d�un propri�taire unique, la Banque Royale d�Angleterre fut en mesure de devenir partenaire dans la vingtaine d�imprimeries qui existaient en Angleterre � cette �poque. L�incessant harc�lement de la royaut� contre des imprimeurs subversifs cessa, magiquement. Les imprim�s subversifs cess�rent tout comme cessa la grogne du peuple.

 

Notre soci�t� �tait n�e guerre, domination, contr�le, consommation, corporations, religion, politique, famine, destruction, soci�t� secr�te, malheur, douleur, pauvret�, quel bilan.

 

 

 

 

Que ceci soit un tribut � la v�rit�.

 

Bien respectueusement,

 

Pierre De Ch�tillon

 

[email protected]