Les trouvailles de Ringardus

Anthrax, grippe aviaire, virus du Nil, SARS, SRAS, Clostridium, bactérie mangeuse de chair: toutes manipulées en laboratoire.

Les gens oublient tellemet vite. Pendant qu'on vous gave le cerveau avec des mutations "surnaturelles" de gênes, virus et bactéries, auriez-vous fait le lien avec les décès des microbiologistes qui sont morts après l'attaque du 11 septembre. Coïncidences. En tout cas, le génocide eugénique fait à peine commencer.

Les décès de microbiologistes s’accumulent ...

Dans la période de quatre mois, du 12 novembre 2001 au 11 février 2002, on a rapporté la mort de sept microbiologistes de classe internationale, dans diverses parties du monde. Six sont décédés de causes " non naturelles " et la mort du septième demeure suspecte. De plus, le 12 novembre, DynCorp, sous-contractant majeur du gouvernement en traitement informatique dans les opérations militaires et le travail de renseignement, se vit accorder un contrat de 322 $ millions pour développer, produire et mettre en réserve des vaccins pour le Département de la Défense. DynCorp et Hadron, tous deux fournisseurs de la Défense, associées à la classification des programmes de recherche sur les maladies contagieuses, ont également été liées à un programme de logiciel, connu sous le nom de Promis, qui peut permettre d’identifier et cibler les victimes.

Dans les six semaines précédant le 12 novembre, la mort de deux autres microbiologistes fut rapportée. Certains croient même qu’il y aurait eu cinq microbiologistes de plus d’assassinés durant la période, élevant le total à 14. Ces deux à sept morts additionnelles ne sont toutefois pas au centre de ce récit. Cette même période vit aussi la mort de trois personnes impliquées dans la recherche médicale ou la santé publique.

• 12 novembre : Benito Que, 52 ans, est trouvé dans un état comateux dans la rue près du laboratoire où il travaille, à l’École de Médecine de l’Université de Miami. Il meurt le 6 décembre.

• 16 novembre : Don C. Wiley, 57 ans, disparaît. Sa voiture de location est retrouvée abandonnée sur le pont Hernando de Soto, en dehors de Memphis, au Tennessee. Son corps est retrouvé le 20 décembre.

• 23 novembre : Vladimir Pasechnik, 64 ans, est retrouvé mort à Wiltshire, en Angleterre, près de sa maison.

• 10 décembre : Robert Schwartz, 57 ans, est trouvé assassiné dans sa maison de campagne de Loudoun County, en Virginie.

• 11 décembre : Set Van Nguyen, 44 ans, est retrouvé mort dans le sas d’entrée d’un réfrégirateur dans le laboratoire où il travaillait à Victoria State, en Australie.

• 8 décembre : Vladimir Korshunov, 56 ans, est trouvé sans vie dans une rue de Moscou.

• 11 février : Ian Langford, 40 ans, est trouvé mort dans son foyer de Norwich, en Angleterre.

OUPS !

Avant ces décès, le 4 octobre 2001, un jet commercial, voyageant d’Israël à Novosibirsk, en Sibérie, fut abattu au-dessus de la Mer Noire par un missile ukrainien sol-air " perdu ", tuant tout le monde à bord. Le missile était à plus de 100 milles en dehors de sa course. Malgré que des dépêches de nouvelles l’avaient rapporté très tôt comme étant un affrètement, le Vol Air Sibir 1812 était un vol régulier sur l’horaire.

Selon plusieurs communiqués de presse, de même qu’un article de Barry Chamish écrit le 5 décembre et un autre par Jim Rarey, le 13 janvier (tous deux disponibles en anglais sur www.rense.com), nombreux sont ceux qui croient, en Israël, que l’avion comptait jusqu’à cinq microbiologistes. Israël et Novosibirsk sont des foyers de recherche à la fine pointe de la microbiologie. Novosibirsk est reconnue comme la capitale scientifique de la Sibérie et le site de plus de 50 installations de recherche et 13 universités complètes pour une population de seulement 2,5 millions d’habitants.

Au moment de l’écrasement dans la Mer Noire, des journalistes israéliens sonnaient déjà l’alarme en signalant que deux microbiologistes israéliens venaient d’être assassinés, prétendument par des terroristes. Le 24 novembre, un vol de la Swissair, allant de Berlin vers Zurich, s’écrasa à l’amorce de l’atterrissage. Des 33 personnes à son bord, 24 furent tuées, incluant le chef du département d’hématologie de l’Hôpital Ichilov d’Israël, comme aussi les directeurs du Département de Santé Publique de Tel Aviv et de l’École de Médecine de l’Université Hébraïque. Ils étaient les seuls Israéliens du vol. Les noms de ces morts, comme il fut rapporté dans des nouvelles israéliennes subséquentes qui ne révélaient toutefois pas le titre de leurs fonctions, étaient Avishai Berkman, Amiramp Eldor et Yaacov Matzner.

En plus qu’ils soient tous des microbiologistes, six des sept scientistes qui sont morts dans l’intervalle de quelques semaines, sont décédés de causes " non naturelles ". Et quatre des sept accomplissaient un travail de recherche virtuellement identique — recherche dont la signification avait une portée politique et financière globale.

QUE PASA ?

Le bureau des relations publiques de l’École de Médecine de l’Université de Miami se borna à dire que Benito Que était biologiste cellulaire, mêlé aux recherches oncologiques du département d’hématologie. Ces recherches reposent en grande partie sur l’étude des séquences de l’ADN. Les circonstances de sa mort soulevèrent plus de questions qu’elles n’en résolurent.

M. Que avait quitté son travail à un laboratoire de recherche de L’École de Médecine de L’université de Miami et il se dirigeait apparemment vers son Ford Explorer stationné sur la 10ième Avenue NW. Le Miami Herald, qualifiant le décès " d’incident ", rapporta qu’il n’avait pas de porte-monnaie sur lui et cita la police de Miami qui stipulait que sa mort résultait d’une attaque à main armée. La police avançait cet énoncé tout en établissant, d’un autre côté, que le corps de M. Que ne portait pas de trace de lésions. Parmi les amis et la famille de M. Que, l’on croit fermement que le physicien a été attaqué par quatre individus, dont l’un avait un bâton de base-ball. Le décès de M. Que est déclaré officiellement, aujourd’hui, comme provenant de causes " naturelles " dues à un arrêt cardiaque. Le coroner du Comté de Dade, ainsi que la police de Miami ne veulent pas commenter le cas, se contentant de dire que le dossier est clos.

MYSTÈRE À MEMPHIS

Don C. Wiley, de l’Institut Médical Howard Hughes de l’Université Harvard, était un des plus éminents microbiologistes du monde. Il avait remporté bon nombre des plus prestigieux prix dans le domaine, dont le Prix Albert Lasker 1995 de la Recherche Médicale Fondamentale pour ses travaux qui pouvaient permettre de réaliser les vaccins antiviraux. Il était impliqué de près dans la recherche sur les séquences de l’ADN. Wiley fut vu pour la dernière fois vers minuit, le 15 novembre, quittant le souper du Conseil de Recherches Infantiles Saint-Jude tenu à l’Hôtel Peabody de Memphis, au Tennessee. Les collaborateurs qui assistaient au souper affirmèrent qu’il ne montrait aucun signe d’intoxication et aucun ne put admettre avoir bu en sa compagnie.

Sa Mitsubishi Galant de location fut retrouvée environ quatre heures plus tard, abandonnée sur un pont traversant la Rivière Mississippi, tournée en direction de l’Arkansas. Les clés étaient encore dans le contact du démarreur, le réservoir d’essence était plein et les doubles clignotants de détresse n’étaient pas allumés. Le cadavre de Wiley fut trouvé, le 20 décembre, accroché aux branches d’un arbre le long de la Rivière Mississippi, à hauteur de Vidalia, en Louisiane, à 480 kilomètres au sud de Memphis. Tant qu’on eut pas retrouvé son corps, le Dr. Wiley fut considéré comme personne disparue et la police n’entreprit aucune vérification légale.

Les premiers rapports concernant la disparition de Wiley ne firent pas mention des marques de peinture sur sa voiture, ni d’un enjoliveur manquant, lesquels furent relevés dans des rapports subséquents. Le type d’accident pouvant provoquer la perte d’enjoliveurs (en fait, une couverture de roue complète) installés sur les modèles Galant récents, aurait dû causer des dommages notables sur le revêtement métallique de chaque côté de la roue, et probablement à la roue elle-même. Aucun dommage à la carrosserie ou à la roue de la voiture ne furent enregistrés.

La voiture de Wiley fut retrouvée à quelques minutes de l’hôtel où il fut vu pour la dernière fois. Il y a une période de quatre heures, dans sa soirée, que l’on ne peut retracer. Il n’y a également aucune explication à savoir pourquoi il se dirigeait vers l’Arkansas si tard dans la nuit. Wiley demeurait dans la maison de son père, à Memphis.

Le pont Hernando de Soto fait traverser la Route 40 Interstate de Memphis au-delà de la Rivière Mississippi, en direction de l’Arkansas. La circulation sur le pont était réduite à une voie unique dans chaque direction. Cela ralentissait le trafic en direction ouest de Memphis et le forçait à ne prendre qu’une voie. N’importe quoi se trouvant sur les deux voies fermées aurait sauté aux yeux de tout passant. Il n’y a aucun témoin ayant vu Wiley arrêter son véhicule sur le pont.

Le 14 janvier, presque deux mois après sa disparition, le coroner du Comté Shelby, O. C. Smith, annonça que son département avait déclaré la mort de Wiley " accidentelle ", résultat des blessures sévères qu’il avait subies dans sa chute du pont Hernando de Soto. Smith dit qu’il y avait des marques de peinture sur la voiture louée de Wiley similaires à la peinture des signaux de construction du pont, et que l’enjoliveur avant droit du véhicule manquait. Il n’y eut pas de rapport signifiant quels signaux de construction Wiley frappa. Ni d’explication, d’ailleurs, à savoir pourquoi cette preuve ne poussa pas la police de Memphis à considérer d’autres possibilités que celle d’un cas de " personne disparue ".

Smith avança l’hypothèse que Wiley s’était rangé dans la voie extérieure du pont (celle qui était fermée à la circulation à ce moment-là) pour examiner les dégâts causés à sa voiture. Les explications subséquentes de Smith au sujet de la chute exigent que certaines autres choses soient survenues simultanément :

• Wiley devait avoir eu l’une des deux ou trois crises qu’il subissait par année dues à un désordre physique très rare connu seulement des membres de sa famille et de ses amis intimes, cette crise ayant été provoquée par l’usage d’alcool plus tôt dans la soirée ;

• le passage d’un camion oocasionnant un gros déplacement d’air et/ou un sursaut de la voie routière à cause du trafic lourd ; et

• Wiley devait se tenir dans la courbe suivant le garde-fou qui, à cause des 6 pieds et 3 pouces (1 m 90) de Wiley, ne lui venait qu’à mi-cuisse.

Ces conditions auraient fait en sorte que le centre de gravité de Wiley dépassa le parapet du pont et que la crise lui ait fait perdre l’équilibre pendant que le camion provoquait le sursaut et le coup de vent, tout cela faisant qu’il chuta du pont.

LA SCIENCE, PLUS PUISSANTE QUE L’ÉPÉE ?

Robert Schwartz était membre fondateur de l’Association de Biotechnologie de Virginie et directeur exécutif à la Recherche et au Développement du Centre d’Innovation Technologique de Virginie. Il était fort respecté en biophysique et considéré comme faisant autorité dans le domaine des séquences de l’ADN.

Ses collaborateurs s’inquiétèrent de ne pas le voir entrer au bureau, le 10 décembre. Il fut plus tard retrouvé mort chez lui. Les officiers du Shérif du Comté de Loudoun dirent que Schwartz avait été poignardé, le 8 décembre, avec une épée et arborait une coupure en forme de " x " à la base du cou.

Clara, la fille de 19 ans de Schwartz, ainsi que trois autres personnes, ont été accusées dans cette affaire. On a dit qu’elles entretenaient toutes les quatre une sorte de fascination pour les mondes fantastiques, la sorcellerie et l’occultisme. Kyle Hulbert, 18 ans, que l’on suppose avoir commis le meurtre, a un passé d’aliénation mentale et l’on a rapporté, dans le Washington Post, qu’il aurait tué Schwartz pour empêcher l’assassinat de Clara. À la requête des avocats de Clara Schwartz, le 13 février, la juge Pamela Grizzle a ordonné que l’on appose les scellés sur toute nouvelle preuve présentant son rôle dans l’affaire. La juge a également émis une injonction de clôture temporaire couvrant le dossier complet chez la police, ainsi que les avocats de la couronne et de la défense.

RESPIRE À FOND ET PORTE UN GROS BÂTON

Set Van Nguyen a été retrouvé mort, le 11 décembre, dans les installations pour maladies animalières de l’Organisation de Recherches Scientifiques et Industrielles du Commonwealth, à Geelong, en Australie. Il y travaillait depuis 15 ans. Selon un article paru au www.rense.com et écrit par Ian Gurney, en janvier 2001, le magazine Nature publia de l’information à l’effet que deux scientistes de cet aménagement, employant la manipulation génétique et les chaînes de l’ADN, avaient créé une forme incroyablement virulente d’une sorte cousine de la variole. Les chercheurs étaient très inquiets qu’une manipulation similaire puisse être effective sur la variole même, pouvant ainsi en faire une arme terrible.

Selon la police de Victoria, Nguyen est mort après être entré dans une installation d’entreposage réfrigéré. " Il ignorait que la chambre était remplie d’un gaz mortel qui s’était échappé du système de refroidissement par azote liquide. Incapable de respirer, Nguyen s’effondra et mourut, " stipula le rapport officiel.

L’azote n’est pas un gaz " mortel ", c’est un composant de l’air. Une surabondance extrême d’azote dans l’atmosphère immédiat de quelqu’un causerait un souffle court, de l’étourdissement et de la fatigue — conditions qu’un biologiste reconnaîtrait à coup sûr. De plus, une fuite suffisante pour remplir la chambre d’azote aurait inévitablement déclenché l’alerte et aurait été si monumentale qu’elle aurait certainement occasionné une perte complète de refroidissement, entraînant l’élévation de la température, ce qui aurait aussi décollé l’alarme dont ces systèmes sont habituellement équipés.

UN RUSSE, LE RENSEIGNEMENT BRITANNIQUE ET DE VIEUX CADAVRES

En 1989, Vladimir Pasechnik passa de l’ancienne Union Soviétique (URSS) à la Grande Bretagne lors d’un voyage à Paris. Il était alors le plus important scientiste du programme de guerre biologique de l’URSS, lequel programme dépend en grande partie des séquences de l’ADN. Le New York Times rapporta que la mort de Pasechnik était survenue le 23 décembre.

La nécrologie du Times indiquait que l’annonce du décès de Pasechnik avait été faite aux États-Unis par le Dr Christopher Davis, de Virginie, qui signala qu’une attaque cardiaque était à l’origine de son décès. Davis était le membre du Renseignement britannique qui fit faire un compte-rendu au Dr Pasechnik à l’époque de sa défection. Davis dit avoir quitté le Service de Renseignement en 1996, mais, quand on lui demanda pourquoi c’était un ancien membre du Renseignement britannique qui annonçait la mort de Pasechnik aux médias américains, il rétorqua que c’était arrivé à l’occasion d’une conversation avec un reporter envers qui il entretenait des relations depuis longtemps. Le reporter que Davis a nommé n’est pas l’auteur de l’annonce nécrologique du Times, et Davis se refusa à dévoiler pour quelle branche du Renseignement britannique il travaillait. Aucun compte-rendu de la mort de Pasechnik n’apparut en Grande Bretagne pendant plus d’un mois, jusqu’au 29 décembre, où parut alors une notice nécrologique dans le London Telegraph qui ne mentionnait pas la date du décès.

Pasechnik passa les dix années suivant sa défection à travailler au Centre de Microbiologie Appliquée et de Recherches au Département de la Santé du Royaume-Uni, à Salisbury. Le 20 février 2000, on annonça que, en compagnie de son partenaire Caisey Harlington, Pasechnik avait formé une entreprise appelée Regma Biotechnologies Ltd. La Regma se décrivait comme " une nouvelle compagnie de produits pharmaceutiques œuvrant à fournir une puissante alternative aux antibiotiques ". Comme trois autres microbiologistes décrits dans cet article, Pasechnik était impliqué de très près aux recherches sur les séquences de l’ADN. Au cours de la panique causée par l’anthrax, l’automne passé, Pasechnik offrit ses services au gouvernement britannique afin de venir en aide par tous les moyens possibles. Or, malgré que la Regma possédait un département de relations publiques qui a livré de nombreux items à la presse ces deux dernières années, la compagnie n’avait pas annoncé la mort de l’un de ses deux fondateurs...

FÉVRIER, SANGLANT FÉVRIER

Le 9 février, le journal la Pravda rapporta que Victor Korshunov avait été assassiné. À ce moment-là, Korshunov était à la tête du sous-aménagement de microbiologie de l’Université de la Médecine d’État russe. Il fut retrouvé mort sur le pas de sa porte avec une blessure crânienne. La Pravda rapporta que Korshunov avait probablement inventé, soit un vaccin pour se protéger contre les armes biologiques, soit une arme biologique en elle-même.

Le 12 février, un journal de Norwich, en Angleterre, raconta la mort, la veille, de Ian Langford, chercheur senior à l’Université d’East Anglia. Le récit continuait en disant que la police " ne considérait pas la mort comme suspecte ". Le jour suivant, le Times britannique rapportait que Langford fut trouvé coincé sous une chaise, dans " sa maison éclaboussée de sang et apparemment fouillée de fond en comble. "

Le récit du 12 février du Eastern Daily Press fit état d’employés d’un magasin près de chez Langford qui affirmèrent que celui-ci venait tous les jours acheter " une grosse bouteille de vodka ". Deux des employés du personnel du magasin attestèrent que Langford était venu au magasin, deux jours plus tôt, portant " seulement une vareuse et une paire de souliers ". Aucun des employés du magasin n’a voulu révéler son identité.

Il est difficile de comprendre comment un homme qui a atteint les plus hauts sommets d’accomplissement dans le domaine scientifique puisse boire " une grosse bouteille de vodka " sur une base quotidienne et se balader dans son voisinage presque nu. Le 14 février, dans un autre volet du récit du Eastern Dailey Press, l’on dit que la police croit que Langford serait mort d’avoir subi " une ou plusieurs chutes ". Elle exprime que ces chutes seraient responsables de ses blessures à la tête et de la grande quantité de sang répandu sur la scène du décès.

L’INSTITUT MÉDICAL HOWARD HUGHES — UN AUTRE MAILLON ?

Il y a un autre lien intriguant entre trois des cinq scientifiques américains qui sont morts. Wiley, Schwartz et Benito Que travaillaient pour des installations de recherche médicale qui recevaient des subventions de l’Institut Médical Howard Hughes (IMHH). L’IMHH finançait un nombre énorme de programmes de recherche dans des écoles, des hôpitaux et des installations de recherche, et l’on suppose depuis longtemps des " opérations noires " de recherches biomédicales pour des organisations de renseignement, incluant la CIA.

La physicienne Patricia Dole, qui enquête depuis longtemps dans le domaine de la guerre biologique, rapporte un récit de personnes reliées à l’IMHH qui ont été assassinées. En 1994, José Trias rencontra un ami à Houston, au Texas, et planifiait de rendre public ce qu’il savait personnellement des subventions de " façade " de l’IMHH qui, par la " porte arrière ", servaient aux opérations noires de la biorecherche. Le lendemain, Trias et son épouse furent trouvés morts dans leur demeure de Chevy Chase, dans le Maryland. L’IMHH a son quartier général à Chevy Chase. La police décrivit le double meurtre comme le fait de professionnels. Tsunao Saitoh, qui travaillait anciennement dans un laboratoire de l’Université Columbia subventionné par l’IMHH, a été fusillé à mort, le 7 mai 1996, alors qu’il était au volant de sa voiture, dans la cour de sa maison, à La Jolla, en Californie. La police a également décrit ceci comme l’œuvre d’un professionnel.

AU-DELÀ DE LA BIZARRERIE

Au début d’octobre, on rapporta que des scientistes britanniques planifiaient d’exhumer les corps de 10 victimes londoniennes de l’épidémie de grippe de type-A de 1918, mieux connue sous le nom de grippe espagnole. Un compte-rendu du 7 octobre de The Independant, UK, dit que les victimes de la grippe espagnole avaient été frappées par " le virus le plus mortel du monde ". Les scientistes britanniques, selon ce récit, espéraient découvrir la composition génétique du virus pour qu’il soit plus facile de le combattre.

Le professeur John Oxford, de l’École de Médecine Queen Mary de Londres, conseiller du gouvernement britannique en matière de grippe, reconnaît que l’exhumation et l’étude subséquente des corps doit se faire avec d’extrêmes précautions pour que le virus ne soit pas relâché et qu’il cause une autre épidémie. La découverte de la structure génétique de l’agent pathogène constitue exactement le travail qu’effectuait Pasechnik chez Regma. Pasechnik mourut six semaines après que l’exhumation fut annoncée. Le besoin de déterrer des cadavres laisse présumer qu’aucun échantillon du virus de la grippe de type-A n’existe dans quelque laboratoire que ce soit dans le monde.

Une dépêche lancée sur les ondes de MSNBC, le 6 décembre, faisait paraître bizarre le plan d’exhumation britannique. Le récit se référait à un article qui devait être publié le lendemain dans le magazine hebdomadaire Science rapportant que l’on avait récemment trouvé la séquence ARN du virus de la grippe de 1918. Des chercheurs avaient retracé et obtenu des échantillons du virus à partir de tissus conservés de poumons ayant appartenus à des soldats de la Première Guerre, ainsi que d’une femme inuit qui avait été enterrée dans le permafrost d’Alaska.

AIDE DEMANDÉE, ESPIONS ET UN LIEN AVEC Promis

Presque immédiatement au début de la panique entraînée par l’anthrax, l’administration Bush passa un contrat avec Bayer Pharmaceuticals pour obtenir plusieurs millions de doses de Cipro, un antibiotique qui traite l’anthrax. Cela fut fait en dépit de nombreuses personnes de la communauté médicale certifiant qu’il y a plusieurs alternatives plus économiques et meilleures que le Cipro, lequel n’a jamais démontré son efficacité contre l’anthrax inhalé. Le Centre de Contrôle des Maladies (CCM) stipule, dans son propre site Internet, préférer l’antibiotique doxycycline au Cipro en ce qui a trait à l’anthrax inhalé. Le CCM exprime sa crainte de voir l’utilisation largement répandue du Cipro faire en sorte que d’autres bactéries deviennent immunisées contre les antibiotiques.

Il fut annoncé, le 21 janvier, que le directeur du CCM, Jeffrey Koplan, démissionnera le 31 mars. Six jours plus tôt, il a été annoncé que le Chirurgien Général David Satcher démissionne également. Et il n’y a actuellement pas de directeur à l’Institut National de la Santé — l’INS est présentement dirigé par un directeur intérimaire. Ces récentes démissions laissent simultanément vacants les trois postes médicaux les plus importants du gouvernement fédéral.

Après six mois de rapports contradictoires, il est maintenant officiel, selon des sources militaires américaines, que l’anthrax qui a tué plusieurs Américains depuis le 5 octobre est relié aux recherches de la CIA. Le FBI énonce que seules dix personnes pouvaient y avoir accès ; cependant, en même temps, il rapporte d’incroyables brèches à la sécurité du laboratoire de guerre biologique de Fort Detrick, au Maryland — des infractions telles que des expériences nocturnes non autorisées et des spécimens de laboratoire portés manquants.

L’anthrax militaire employé par les USA a été développé par William C. Patrick III qui détient cinq brevets secrets sur le procédé. Il a travaillé à Fort Detrick ainsi qu’aux Terrains d’Expérimentation Dugway, dans l’Utah. Patrick est maintenant consultant privé en guerre biologique pour le compte de l’Armée et de la CIA. Il a développé le procédé par lequel les spores de l’anthrax peuvent être concentrés à un niveau d’un trillion de particules par gramme. Selon un rapport du 31 janvier fait par Barbara Hatch Rosenberg de la Fédération des Scientistes d’Amérique, l’anthrax qui a été lâché sur l’est des États-Unis, l’automne dernier, était concentré à un trillion de particules par gramme...

Ces dernières années, Patrick a travaillé avec Kanatjan Alibekov. Aujourd’hui connu sous le nom américanisé de " Ken Alibek ", il passa aux États-Unis en 1992. Avant sa défection, Alibek était le numéro deux du programme de guerre biologique de l’ancienne Union Soviétique. Son patron était Vladimir Pasechnik.

Actuellement, Ken Alibek est président des Biosystèmes Avancés Hadron, une filiale d’Alexandria, en Virginie, de Hadron Inc.. Hadron se décrit comme une compagnie spécialisée dans le développement de solutions techniques pour les agences de renseignement. En tant que chef scientiste de Hadron, Alibek donna un ample témoignage à la Chambre du Comité des Services Armés sur les armes biologiques, le 20 octobre 1999 et encore le 23 mai 2000. Hadron annonça, le 20 décembre que, jusqu’à cette date, la compagnie avait reçu 12 $ millions de fonds pour ses recherches en biodéfense médicale, argent provenant de l’Agence des Projets de Recherches Avancées pour la Défense, les Recherches Médicales et Commandes Matérielles de l’Armée des États-Unis, et l’Institut National de la Santé. Hadron dit que tout fonctionnait dans le cadre d’une immunité non déterminée.

Dans les années 1980, Hadron fut fondée et dirigée par le Dr Earl Brian, docteur en médecine, vieil ami de Ronald Reagan et associé à l’ancien procureur-général Edwin Meese. Brian fut condamné, dans ces mêmes années 1980, sous des accusations de fraude. Hadron ainsi que Brian avaient été, dans des documents de la cour et de nombreux rapports crédibles, confirmés depuis le 11 septembre, étroitement reliés au vol du précieux logiciel Promis de son propriétaire, la Corporation Inslaw.

Promis est un programme informatique hautement sophistiqué capable d’intégrer une grande varitété de données informatiques. Ces dernières années, le logiciel aurait été couplé à l’intelligence artificielle. Promis est connu depuis longtemps pour avoir été modifié par des agences de renseignement grâce à une porte arrière qui permet l’extraction clandestine de données emmagasinées. [Pour de plus amples informations au sujet de ce que Promis peut faire et son historique, veuillez utiliser le moteur de recherche au http://www.copvcia.com/].

Étant donné sa capacité unique et les liens antérieurs de Hadron avec Promis, il est possible que le logiciel, en pénétrant dans les données informatiques utilisées par chacune des victimes, puisse avoir identifié les quelconques chaînes de recherches qui menaçaient de compromettre une opération voilée plus large, plus sinistre, mais encore non identifiée.

UN MODÈLE ?

Le travail sur les séquences de l’ADN effectué par les quelques microbiologistes mentionnés plus haut, visait à développer des produits pharmaceutiques qui combattront les agents pathogènes en se basant sur le profil génétique de ces derniers. Ce travail aspire également à développer éventuellement des produits pharmaceutiques qui œuvrent en coopération avec le code génétique d’une personne donnée. En théorie, un produit pourrait être développé pour chaque individu bien spécifique. Si c’est le cas, il devient évident que l’on pourrait descendre les marches et un produit pourrait effectivement être développé qui serait en mesure de traiter une plus grande classe de gens partageant un même signe génétique. Le procédé entier pourrait aussi être inversé pour développer un agent pathogène qui pourrait affecter un large éventail de gens partageant un même patrimoine génétique. Ce pourrait être un groupe tel qu’une race, ou les gens aux yeux bruns...

LA VARIOLE

Le 17 octobre, un article dans le USA Today rapporta que le gouvernement des États-Unis voulait commander 300 millions de doses de vaccin contre la variole. Apparemment, ce vœu a été exaucé. Le 28 novembre, un fabricant britannique de vaccins, Acambis, annonça qu’il avait reçu 428 $ millions pour fournir 155 millions de doses de vaccin contre la variole au Département américain de la Santé et des Services Humanitaires (DSSH). C’était le deuxième contrat d’Acambis. La compagnie procède déjà à la production de 54 millions de doses. Le gouvernement américain possède 15,4 millions de doses mises en stock, et le DSSH planifie de les diluer dans des proportions de cinq pour un. Les deux contrats et le programme de dilution amèneraient le total des stock du DSSH à 286 millions de doses.

La variole fut officiellement déclarée éradiquée par l’Organisation Mondiale de la Santé en 1977, après que l’on eut traité le dernier cas connu à Merca, en Somalie.

APMUS — FASCISME MÉDICAL

Une réunion du Centre pour la Loi et la Santé Publique (CLSP) fut convenue, le 5 octobre. Ce groupe est dirigé conjointement par l’École de Droit de l’Université Georgetown et l’École de Médecine Johns Hopkins, et fut fondé sous les auspices du Centre de Contrôle de la Maladie (CCM). Le CLSP fut formé un mois avant les élections présidentielles de 2000. Le but de la réunion d’octobre était d’établir une législation pour réagir à la menace bioterroriste du moment.

Après avoir travaillé seulement 18 jours, le 23 novembre, le CLSP émit un document de 40 pages appelé Actes des Pouvoirs des Modèles d’Urgence Santé (APMUS). C’est une loi " modèle " que le Département de la Santé et des Services Humanitaires (DSSH) suggère voir décrétée par les 50 états afin de contrôler les futures urgences en santé publique, comme le bioterrorisme. Une version révisée fut émise le 21 décembre, contenant une définition plus précise de " l’urgence en santé publique " qui caractérise le bioterrorisme et les agents biologiques, et comprend des clauses pour les états qui veulent utiliser cet acte dans les cas de désastres chimiques, nucléaires ou naturels.

Selon l’Association des Physiciens et Chirurgiens Américains (APCA), après qu’on ait déclaré un " état d’urgence en santé publique ", et sans avoir à consulter les autorités en santé publique, l’application de la loi, la législature ou la cour, un gouverneur d’état qui utilise l’APMUS, ou quiconque qu’il ou elle décide de nommer en pouvoir, peut, entre autre :

• exiger que chaque individu soit vacciné, un refus constituant un crime entraînant la quarantaine ;

• exiger que chaque individu subisse un traitement médical spécifique, un refus constituant un crime entraînant la quarantaine ;

• saisir toute propriété, incluant un immeuble, de la nourriture, des médicaments, de la gazoline ou des vêtements qu’un officier juge nécessaires pour contrôler l’urgence ;

• saisir et détruire toute propriété susceptible d’être dangereuse ; il n’y aura ni compensation ni recours;

• vous affecter, vous et/ou votre entreprise, au service de l’état ;

• imposer le rationnement, le contrôle des prix, le contrôle des quotas et du transport ;

• suspendre n’importe quelle loi d’état, règle ou réglementation que l’on croira interférer à la maintenance de l’état d’urgence déclaré.

Lorsque le gouvernement fédéral voulut que les états mettent en vigueur la limite de vitesse de 90 km/h, il contraignit les états en utilisant la menace de supprimer les argents fédéraux. La même tactique sera probablement employée avec l’APMUS. Alors que j’écris ceci, la loi a été adoptée au Kentucky. Selon l’APCA, elle a été introduite en législation en Arizona, en Californie, au Delaware, en Illinois, au Massachusetts, au Minnesota, au Mississippi, au Michigan, au Nebraska, au Nevada, au New Jersey, au Nouveau-Mexique, dans l’état de New York, en Pennsylvanie et au Tennessee. On s’attend à ce qu’elle soit prochainement introduite au Colorado, au Connecticut, à Hawaii, au Maine et au Wisconsin. L’APMUS est présentement évalué par les branches exécutives en Caroline du Nord, en Ohio, en Oklahoma, en Caroline du Sud, au Texas, en Virginie et à Washington, DC.

Les recherches que les microbiologistes effectuaient auraient pu développer des méthodes de traitement des maladies, comme l’anthrax et la variole, sans les vaccins et les antibiotiques conventionnels. Les contrats pharmaceutiques passés pour soigner ces maladies auront atteint un total de centaines de millions de dollars, sinon des milliards. Si les épidémies pouvaient être traitées de manière non conventionnelle, l’APMUS pourrait s’avérer non nécessaire. Considérant les actions du gouvernement annulant de nombreuses libertés civiles, depuis septembre, l’APMUS semble être une loi se cherchant une excuse pour être décrétée. Peut-être les microbiologistes barraient-ils la route à l’agenda de certaines gens ou certaines entreprises...

Nous savons également que la recherche sur les séquences de l’ADN peut être employée pour développer des agents pathogènes qui ciblent des groupes spécifiques génétiquement reliés. Une compagnie, DynCorp, manipule le processus de données informatiques de nombreuses agences fédérales, comprenant le CCM, le Département de l’Agriculture, certaines branches du Département de la Justice, l’Administration de la Nourriture et Produits Pharmaceutiques (ANPP) et l’Institut National de la Santé (INS). Le 12 décembre, DynCorp annonça que sa filiale, DynPort Vaccine, s’était vue accorder pour 322 $ millions de contrats pour développer, produire, tester et emmagasiner des vaccins sous licence de l’ANPP à être utilisés par le Département de la Défense. Il serait incroyablement facile pour DynCorp de cacher de l’information concernant la structure exacte, la sécurité, l’efficacité et le dessein des produits pharmaceutiques et des vaccins que le gouvernement américain a commandés.

Les raisons de soupçonner DynCorp de comportement criminel ne sont pas difficiles à trouver. La reporter d’enquête, Kelly O Meara, du magazine Insight, dans un article datant du 4 février, divulgua une massive enquête militaire américaine dévoilant de quelle manière les employés de DynCorp, en Bosnie, étaient impliqués dans un réseau largement étendu d’esclaves sexuels, marchandant des enfants, pouvant être aussi jeunes que 8 ans, et enregistrant sur vidéo des relations sexuelles forcées. O Maera passa en revue des documents du gouvernement et interviewa des enquêteurs de l’Armée ayant scruté les activités qui pullulaient dans les opérations contractuelles de DynCorp pour offrir des services d’hélicoptères et de fournitures d’entrepôt aux militaires américains. Des vidéos et autres preuves de ces crimes sont en possession de l’Armée. Et, dans un récit du 23 février, le vétéran journaliste, Al Giordano, de www.narconews.com, rapporta qu’une poursuite en procès avait été enregistrée à Washington, DC., par plus de 10 000 fermiers équatoriens et une union syndicale contre DynCorp pour son épandage effréné d’herbicides qui ont détruit les récoltes, affaibli l’écosystème et provoqué plus de 10 000 cas documentés de maladies.

Le président actuel de DynCorp, Paul Lombardi, a réagi à la poursuite en expédiant des lettres intimidantes dans l’inutile tentative de forcer les plaignants à se retirer.

DynCorp a aussi été directement reliée au développement et à l’utilisation du logiciel Promis par son créateur, Bill Hamilton de l’Inslaw. L’ancien président de DynCorp, et actuel membre du comité de direction et principal investisseur de la Société Capricorn, est Herbert " Pug " Winokur. Ce dernier était, jusqu’à tout récemment, président du Comité de Finance de Enron. Il clama son ignorance face aux frauduleuses activités financières du Comité de direction d’Enron, même s’il était chargé de leur surveillance..."

Et on se demande pourquoi les jeunes ne veulent pas se diriger en science...